Sunday, August 13, 2006

Orania, terre promise (Editorial du Libre Arverne n°79 - 22/04/2004)

Orania. Pour des milliers de Français opprimés dans ce pays, ce nom est synonyme d’espoir. Depuis quelque temps, la presse s’intéresse à cette petite communauté blanche qui marche avec détermination sur la route de l’indépendance sous la houlette du professeur Carel Boshoff. Devant l’imposition jour après jour du racisme, de l’incompétence, de la corruption et de la nullité des Cafres, quelques Blancs déterminés et pieux ont décidé de prendre en main leur destin. Exemple à admirer et à méditer. Ils se sont installés le long du fleuve Orange sur l’ancien chantier du barrage de Vanderkloof, ils ont pris comme drapeau l’étendard bleu de l’ancien état Boer de 1892, ils ont à la force de leur poignet bâti un micro-état viable, alimenté par les énergies renouvelables et dont la principale ressource est l’exportation de produits bio et la technologie. Organisés comme les Amish américains ou encore les pionniers qui jadis incarnaient les valeurs du sionisme véritable, national-socialiste, ils représentent l’avenir du peuple blanc céans, comme le prouve l’immigration blanche croissante dans ce petit paradis. Si les résistants du Boeremag voulaient avoir une vision réaliste de la situation géopolitique du pays et accepter de devenir les forces armées de cet état, nul doute qu’un vent d’espoir soufflerait sur tout le pays. Orania a demandé au gouvernement azanien, conformément à la Charte de l’ONU, de leur accorder l’autonomie sinon l’indépendance… On comprend que cette réussite attise la haine, l’exemple le plus flagrant de celle-ci étant l’article de L’Humanité du 30 janvier 1998, véritable pensum caricatural et raciste écrit par Pierre Barbancey et qui finit par une quasi-demande de destruction de cette enclave. Cette initiative est des plus intéressantes, surtout quand on se place dans le contexte politico-social du pays et de son voisin « zimbabwéen ». La Rhodésie du Sud occupée est l’illustration flagrante de la validité des théories génétiques du professeur Philippe Rushton et des observations sociologiques du docteur Albert Schweitzer. Jadis grenier à maïs de l’Afrique, état potentiellement prospère tout comme l’Ouganda, il suffit de voir l’état des lieux après bientôt 25 ans de gestion noire : 600 % d’inflation, 70 % de chômeurs, famine. Dirigée par un dictateur d’une rare nullité et dont la seule doctrine consiste à la haine des Blancs, les seuls qui empêchent le pays de mourir de faim, le pays sombre dans la misère, ses rares élites noires ayant préféré aller voir ailleurs, dans des pays dirigés par les Blancs, là où au moins ce n’est pas le plus m’as-tu-vu, le plus tape à l’œil, le plus beau parleur, généralement le plus sauvage et le plus corrompu qui dirige. En Afrique du Sud, depuis 1991, 1254 fermiers blancs ont été assassinés, parfois dans des conditions atroces, et une part non négligeable de l’élite intellectuelle du pays est partie. Généralement celle-là même qui refusait l’Apartheid. On aurait dû les obliger à rester ! Nous faisons la promesse, si jamais nous réussissons à avoir notre propre pays, d’offrir un état sûr à nos frères afrikaners et nous proposerons, non seulement à nos frères d’Orania, mais à tous les Sud-Africains d’origine française puis à ceux de souche Boer de venir s’installer en France avec le statut de «réfugiés politiques ». Le Limousin serait la terre d’accueil la plus parfaite. Peuple d’agriculteurs, d’éleveurs et de mineurs, vous vous adapterez parfaitement à la terre limousine, qui manque désormais de bras. Vous ferez revivre ces petits villages, et les écoles, les listes d’état civils se peupleront de petits Rousseau, De Villiers, mais aussi de Leclerc (jadis De Klerk), Vervort (Verwoerd), Courvoisier (Boshoff), Montstie (Steeberg)… Vous ferez paître vos vaches dans les prés de la Haute-Vienne, vous exploiterez les mines, vous nous apporterez vos compétences. Vos frères transfuges de Rhodésie du Sud pourraient cultiver le tabac en Corrèze. Il y a des mines d’or à La Bourneix et à Saint-Yrieix (Haute-Vienne), ainsi qu’une mine d’antimoine vers Ambazac. Quelle chance pour l’équipe de rugby de Brive de pouvoir compter sur votre apport ! Et pour l’équipe de football de Limoges ! Vous serez, amis Boers… UNE CHANCE POUR LA FRANCE !!!

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