Thursday, November 02, 2006

La biche et les tigresses (Editorial du Libre Arverne n°206 - 28/09/2006)


(Légende : dans le film Born Innocent, Linda Blair est victime d'un viol collectif par les autres filles du centre pour jeunes délinquantes. Tourné en 1974, ce film évoquait déjà la plus taboue des violences...)

Ils l’ont maintenant l’égalité des sexes. En quelques mois, plusieurs affaires de barbarie féminine à connotation raciale ont éclaté. Il y a eu d’abord le calvaire de Sandra, simplette martyrisée par des gitans pendant 5 ans (voir Le Libre Arverne n°185), puis celui de Mulhouse où trois beurettes torturèrent Alexia pour une sombre histoire de dettes faites par son copain maghrébin (voir Le Libre Arverne n°185), puis la petite Elodie torturée à Saint-Quentin suite à une accusation de « racisme » totalement imaginaire (voir Le Libre Arverne n°199), puis la petite autochtone torturée à Vénissieux par des « amies » allochtones (voir Le Libre Arverne n°160), puis Marion (voir Le Libre Arverne n°117)… Une nouvelle victime est à ajouter sur la liste des sévices ethno-centrés : Alice, 14 ans. L’information a été révélée par Le Parisien Libéré du 13 septembre. Les faits se sont passés le 4 septembre au château de Princeloup à Sonchamp, dans les Yvelines. Trois jeunes filles dont les prénoms n’ont pas été communiqués (elles sont mineures) ont torturé une gamine qui était scolarisée dans ce centre pour mineur en difficulté. La nature des tortures infligées sont similaires à de nombreux supplices infligés par des filles du désert aux filles de la forêt. Le motif de la « punition » a été futile : la fillette a été martyrisée parce qu’elle les aurait dénoncées alors qu’elles fumaient. Après l’avoir tabassée et déshabillée, elles l’ont brûlée à la cigarette essentiellement aux mains et aux pieds, coupé les cheveux, barbouillée sur tout le corps de crème épilatoire, forcée à lécher par terre, puis, jugeant le supplice trop « léger », elles lui infligèrent des sévices sexuels avec un cintre. La veille, le quotidien maoisto-bancaire Libération s’est indigné qu’un couple d’Angers ait abandonné la procédure d’adoption de Darline, une haïtienne de 8 ans. Non contente d’insulter ses parents adoptifs, de s’automutiler, de refuser de se scolariser, de danser sur la table des rituels vaudous, elle martyrisait l’enfant naturel du couple, une jeune fille de 17 ans lourdement handicapée. Darline a été déclarée « pupille de l’état français » et placée dans un centre où, nous en faisons le pari, elle exercera ses « talents » sur une petite gauloise sans défense d’ici quelques années, avec la bénédiction occulte des éducateurs. Notons que dans un foyer pour mineur de Beauvais, une adolescente fut victime de viols collectifs à répétition par 5 garçons, alors que les 15 éducateurs n’ont évidemment « rien vu ». L’ethnie des bourreaux et de la victime n’a pas été communiquée.
La presse interrogea des « sociologues » qui, comme d’ordinaire, racontèrent les mêmes explications convenues d’avance en éludant le fond de l’affaire. Tous font mine « de ne pas comprendre ». C’est vraiment se moquer du peuple ! Dans Le Parisien, un certain Xavier Pommereau, psychiatre (on s’attend au pire…), « explique » l’histoire, mais sans analyser la dimension ethnique de la chose. Totalement à côté de la plaque le brave toubib ! Pour lui, elles ne font que calquer les hommes. On se demande où Diafoirus a été pêcher ses cas d’études. Comme le chante Devo : « No comprende, it's a riddle ».Pour qui a étudié un tant soi peu la question, la barbarie féminine n’a strictement rien à voir avec la masculine. Nous avons vu dans Le Libre Arverne n°69 quelques cas de femmes barbares de Rosemary West à Marie-Louise, la marâtre de la petite Aurore Gagnon, nous n’y reviendrons pas. Généralement, la femme ou la jeune fille violente prend son temps pour humilier au maximum sa victime et les rituels de rasage y sont souvent omniprésents, volonté délibérée de tuer la féminité de sa victime, soit en enlevant ce qui fait son charme (tonte des cheveux), soit – et dans ce cas la victime est généralement adolescente ou jeune femme – en l’infantilisant (rasage du sexe). Elle est beaucoup plus subtile que les pulsions masculines, plus cruelle, plus élaborée. Encore faut-il distinguer l’ethnie de la tortionnaire en jupon. Généralement, les femmes les plus élaborées dans la cruauté sont dans la sphère anglo-saxonne (Rosemary West et Myra Hindsley étaient anglaises ; Marie-Louise et « Barbie », du duo de criminels Barbie & Ken, étaient canadiennes), ce qui n’enlève en rien à celles de la sphère méridionale. Pour prendre une comparaison animalière, la nordique criminelle joue au chat et à la souris avec sa victime, alors que la méridionale carnassière la dévore. Métaphoriquement, cela va de soi. Dans les cas qui nous intéressent présentement, à savoir les sévices infligés pour des raisons ethniques, notons l’omniprésence de la torture à la cigarette et la volonté de forcer la victime à lécher le sol. On y retrouve la volonté de détruire une jeune fille sur laquelle les Maghrébines ont un fort sentiment d’infériorité. Outre leur vulnérabilité, notons que les victimes européennes de la barbarie des filles d’Allah ont la particularité d’avoir la plupart du temps les cheveux clairs. Dans l’immense majorité des cas, même de manière sous-jacente, leurs tortionnaires veulent leur faire payer l’attrait qu’elles suscitent chez leurs hommes, la blondinette ou la rouquine étant très recherchée, souvent aussi comme victime… La barbarie féminine dans les foyers pour jeunes filles n’est pas un phénomène spécifiquement récent : dans le film Born Innocent, datant de 1974 et réalisé par Donald Wrye (réalisateur 13 ans plus tard du fameux et très politiquement incorrect Amerika dont nous avons parlé dans l’éditorial du n°121), l’héroïne jouée par Linda Blair (une inoubliable bouille de grosse pouponne enfantine) est violée avec le manche d’un déboucheur ventouse par un gang de délinquantes dans la douche du foyer pour mineurs. Cependant, il s’est particulièrement développé ces dernières années et a pris une connotation ethnique. Les principaux responsables de ces horreurs sont bien entendu ceux qui répercutent l’ordre planétarien, à savoir les enseignants et les médiats. L’Education Nationale, ce n’est pas un scoop, est gangrénée par les gauchistes, ce qui explique pourquoi elle est aussi dévoreuse de budget qu’inefficace, politisée et sclérosée. Au moment même où l’on annonçait le calvaire d’Alice, plusieurs groupuscules révolutionnaires camouflés en « regroupements d’éducateurs » s’opposaient aux « mesures purement coercitives » contre leurs chers sauvageons. Il est temps d’expliquer le pourquoi du comment. Tout d’abord, la propagande antiraciste provoque dans le cerveau généralement frustre des filles du désert un cocktail Molotov mêlant victimisation, haine de l’autre et sentiment de légitimation de sa violence, d’autant plus que les crimes du FLN ou des Barbaresques sont cautionnés activement ou passivement par les enseignants, alors que la blanche est culpabilisée et la blonde l’est doublement avec en plus l’accusation d’être une germanique, donc une nazie. Ensuite, l’histoire a toujours prouvé que la gauche déshumanisait la jeunesse, la rendait inculte et barbare, baignant dans la violence, pour pouvoir y recruter ses gardes rouges destinés à massacrer, piller, violer et torturer les opposants et leurs familles. Souvent d’ailleurs, cela se retourne contre les apprentis-sorciers, comme en Allemagne en 1933 où les petits fauves destinés à assurer la révolution communiste ont été retournés par les nazis et utilisés contre ceux-là même qui les avaient « dressés »…

J'ai été le premier journaliste en France à dénoncer la violence des adolescentes. Les viols entre filles sont de plus en plus nombreux. Dans la totalité des cas sauf deux, la barbarie avait pour mobile le racisme (les dernier cas étant la haine de classe, nous en avons parlé dans Le Libre Arverne n°179 et Les Lettres Fersanes n°13), la victime était de race gauloise (sauf une fois, une Asiatique) et les criminelles, beurettes ou blackettes, étaient toutes de culture musulmane mais non-pratiquante. Et je rappelle aux naïfs qui focalisent sur un faux danger : la beurette qui martyrise la blondinette, qui la viole et l’humilie, ce n'est pas la p'tite beurette en tchador qui, elle, se tient à carreaux. C'est la beurette "intégrée et occidentalisée" en jean, basket, maquillage... Les Sémites sont une race frappée massivement par l'hystérie, surtout chez les filles. Pourquoi les hommes sont-ils rudes dans ces contrées et les lois religieuses cloisonnant les femmes de manière ferme aussi bien chez les musulmans que chez les Juifs et chez les Latins à populations fortement métissées par les Arabes (Sicile, Andalousie) ? Parce que les filles sont des hystériques qui rapidement "pètent les plombs" et se révèlent plus cruelles et barbares que leurs hommes, comme nous l’avons vu précédemment. Ces derniers doivent se montrer implacables avec leurs "mantes religieuses" s'ils ne veulent pas se faire bouffer. D'où ce rapport de force permanent que la religion essaye de légitimer et qui évite l’explosion. Enlevez l'Islam à la femme arabe et vous aurez des tigresses qui saigneront sans pitié les petites biches aryennes pas du tout préparées à cela.

Le professeur Fersan a toujours quelque chose à dire... (Editorial du Libre Arverne n°205 - 21/09/2006)

(Légende de la photo : tel le professeur Rollin au Palace, le professeur Fersan a toujours quelque chose à dire...)

Une jeune femme s’est amusée à poser sur le forum de Vexilla Regis seize questions qui étaient en fait autant de réquisitoires sur la société démocratique contemporaine. Comme, tel le professeur Rollin, le professeur Fersan a toujours quelque chose à dire, je vais m’amuser à répondre sommairement mais sérieusement à ces questions, comme si elles avaient été posées par quelque âme candide en quête de connaissance. 1 – Pourquoi les musulmans ne manifestent-ils que quand on insulte leur religion et jamais quand quelqu’un tue au nom de leur religion ? Tout simplement parce que l’Islam est en guerre, en guerre permanente contre les infidèles et qu’en temps de guerre, seul le vaincu demande pardon. La repentance est une spécialité de l’occident décadent, plus exactement, d’éléments infiltrés demandant « pardon » à leur vrai peuple au nom du peuple dont ils ont usurpé l’appartenance… N’est-ce pas Herbert Frahm alias Willy Brandt ? N’est-ce pas Henoch Kohn alias Helmut Kohl ? N’est-ce pas Katz alias Karol Wojtyla ? N’est-ce pas Santiago Cordero Marin alias Jacques Chirac ? 2 – Pourquoi les pays africains sont dans une merde noire alors que des pays dévastés après la deuxième guerre mondiale comme l’Allemagne, le Japon ou la Corée du Sud sont parmi les plus grandes puissances économiques du monde ? Pour schématiser, on peut donner trois explications à cet état de fait, liées entre elles. Tout d’abord, les Africains ne sont pas supérieurs intellectuellement aux Européens, loin s’en faut. Alors pourquoi ces derniers réussiraient-ils à assimiler en un demi-siècle ce que l’Europe à mis un millénaire à bâtir ? Ensuite, beaucoup de pays Africains ont choisi, de force plus que de gré, des régimes marxisants qui ont détruit en quelques mois toute l’infrastructure laissée en place par les Européens. Bien entendu, l’intérêt de décoloniser l’Afrique, de la morceler d’états inviables aux options économiques surannées est flagrant pour les multinationales planétariennes qui peuvent ainsi rafler à bas prix les matières premières des pays ruinés. Il est plus facile de contraindre le Niger de brader son uranium que de faire de même avec la puissante AOF… 3 – Pourquoi Hitler est-il le plus cité des monstres du siècle avec 6 millions de morts sous son régime quand Staline et Mao en ont plus de 100 millions à leur actif ? Pour la bonne et simple raison qu’Hitler a été le seul à avoir fait vaciller l’ordre planétarien alors que Staline et Mao y ont largement contribué. Staline est quand même critiqué car il a tenté à deux reprises de se détacher de l’emprise planétarienne pour tenter de jouer en solo. Un régime est jugé par les médiats en fonction de sa politique juive : la mort de 100 millions de goïm est bien moins grave que celle d’un million de Juifs. Surtout si les bourreaux des dits goïm sont eux-mêmes Juifs… 4 – Pourquoi la France adule-t-elle son équipe de France alors qu’elle ne compte que deux joueurs français sur 22 ? La France compte en fait deux joueurs métropolitains sur 22, plusieurs des mélanodermes de la sélection nationale étant Antillais. Cependant, on note une sur-représentation des joueurs de souche Africaine de par les opinions politiques gauchistes du sélectionneur Domenech, qui a lui-même d’ailleurs son petit « racisme » : il refuse ainsi de sélectionner le meilleur portier de France, Jérémie Janot, dont le crime est de jouer à l’AS Saint-Etienne. 5 – Pourquoi sont-ce toujours les blancs qui sont racistes ? Cette question a une réponse similaire à la première. En fait, les leucodermes sont frappés par un virus intellectuel, une sorte de SIDA mental comme l’a dit Jean Madiran (plagié ultérieurement par Pauwels), appelé ethno-masochisme. Inculqué par le bobardement intensif planétarien, il provoque la haine de soi et de son groupe ethnique entraînant dénigrement perpétuel et baisse de la natalité, donc suicide par dépérissement. L’agonie risque d’être abrégée par éradication physique au profit de peuplades décomplexées qui, elles, ne demandent jamais pardon… A-t-on vu un Arabe, un Juif, un Turc, un Noir, un Chinois demander pardon ? 6 – Pourquoi est-on toujours obligé de rajouter l’adjectif « modéré » après Islam ? L’Islam modéré est un label d’accroche marketing, un peu comme « communisme à visage humain » ou « Coca-Cola light ». Une ruse grossière pour vous faire croire que c’est un produit différent. Même trempée dans la béchamel, une annamite phalloïde reste mortelle. Même trempée dans le BHL, une idéologie reste nauséabonde et tératogène… 7 – Pourquoi ce sont les pays les plus riches les responsables de toutes les misères du monde ? Parce que ce sont les pays les plus intéressants à racketter pour les planétariens. Comme dit le proverbe, on ne fait pas pleurer une pierre. Tout est bon pour susciter la haine des affamés qui croient que tout leur malheur vient du petit blanc, qui est tout autant victime que le noir des profiteurs et des exploiteurs qui n’appartiennent généralement ni au monde kémite, ni au monde aryen. On avait déjà vu le même cas de figure avec le communisme et l’excitation des petits à la haine sociale. Ce parallèle n’est guère étonnant, les pousse-au-crime d’hier et d’aujourd’hui ont des noms de familles similaires. Une histoire de protocole. 8 – Pourquoi les réfugiés politiques sont-ils obligés de traverser la moitié du globe pour fuir leur pays d’origine alors que le pays voisin du leur suffirait à leur sécurité ? Parce que le pays voisin, il n’a pas le RMI, la CAF et la CMU. En plus, le pays voisin serait tenté de transformer les réfugiés en « armée de libération » chargée de reprendre le contrôle de son territoire et de débarrasser le plancher. Pourquoi se battre et travailler alors qu’il existe un eldorado où le blanc te nourrit et te soigne à seule condition que tu lui craches au visage… 9 – Pourquoi Chirac est-il de plus en plus con ? L’abus de Corona et d’une substance blanche à prendre par voie nasale est néfaste pour les neurones. Chirac n’a d’ailleurs jamais été une flèche. Un de mes amis qui le tutoyait me disait de lui qu’il était « con comme un jeune chien ». Marie-France Garaud le comparait à la faïence dont on faisait les lavabos et Pierre Juillet rajoutait que son licenciement par le grand Jacques était le premier cas dans l’histoire d’un cheval donnant ses huit jours à son jockey… 10 – Pourquoi les profs et les journalistes sont-ils tous de gauche et les informations toujours auto flagellantes et anti occidentales ? Parce que l’ordonnance du 30 septembre 1944 a détruit totalement la presse libre, l’a asservie définitivement au capital planétarien qui contrôle via ses multinationales et ses agences publicitaires la totalité des journaux du monde occidental. Elle peut ainsi y placer des gauchistes détruisant toutes les valeurs traditionnelles afin de préparer ce chaos que le luciférien George Bush Sr souhaitait ardemment en 1992 pour l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. Selon Le Nouvel Observateur, 90 % des journalistes et des membres des professions culturelles sont de gauche. 73 % des enseignants ont voté à gauche ou extrême gauche aux présidentielles. La droite laisse faire, ordre des planétariens dont les susnommés sont les « idiots utiles » et les « brise-glaces ». 11 – Pourquoi sur les photos les hommes politiques sont-ils le plus souvent tristes et agressifs lorsqu’ils sont de droite et souriants et séduisants lorsqu’ils sont de gauche ? Voir réponse ci-dessus. Notons que Le Figaro s’était fait lyncher pour une couverture montrant Martine Aubry sous un jour défavorable. Pauvre Dassault qui doit composer entre une rédaction de gauche, des publicitaires en ficelle du même métal et un lectorat qui croit encore acheter un canard de droite. 12 – Pourquoi n’a-t-on plus le droit d’être fier d’être Suisse, Français, alors que d’autres revendiquent sans cesse leur fierté d’être marocain, albanais, sénégalais ou turc ? Réponse similaire aux précédentes. Pour piller l’Europe, il faut casser ses défenses immunitaires. D’où l’inoculation du virus ethno-masochiste. Par contre, il faut exciter la haine des « barbares » (au sens romain du terme) et donc les flatter en les présentant comme des victimes et en excitant leur fierté cocardière, très exactement comme ils surent exciter la fibre patriotique française en 1914 et des peuples soviétiques après 1917 afin de susciter les conflits leur rapportant gros et leur permettant d’asseoir leur domination mondiale. 13 – Pourquoi les jeunes de couleur traitent-ils en toute impunité les filles blanches comme des putes ? Toujours la même logique planétarienne. Personnages frustres, ils sont manipulés pour briser la fierté des filles du pays à saccager. Le viol des filles de l’ennemi pour le souiller est une vieille tradition, très prisées chez les peuplades sémites ou de cultures s’en approchant, y compris les shabbat-goïm protestants (les parpaillots Anglais violaient systématiquement les gamines catholiques écossaises et irlandaises pour briser la fierté de ces peuples). En 1945, de véritables campagnes de viols collectifs étaient faites par les soldats du camp planétarien, fanatisés à l’est par les commissaires politiques et à l’ouest par les médiats, partageant une fraternité non seulement d’idées et de financement mais aussi de sang… La haine de la pureté est l’un des dogmes de la pathologie mentale planétarienne. 14 – Pourquoi la fidélité hétérosexuelle est-elle devenue subitement ringarde ? Encore une fois, le planétarien a cette soif de destruction de tout ce qui peut entraver sa gloutonnerie totalitaire. Rien ne doit subsister en dehors du marais putride d’où il tire sa force. D’où cette haine de la pureté, de la morale, du désintéressement, du don plein. Toutes ces valeurs sont honnies par le planétarien qui, plongeant ses racines dans la crasse, est bien incapable d’en approcher ne serait-ce que le concept. Les planétariens et leurs clones multiplient les rites d’ablutions, de fausses puretés matérialistes (centrées sur le corps et la nourriture) car ils sont bien incapables ne serait-ce que de concevoir la pureté spirituelle, propre aux Aryens (quoi que les Asiatiques semblent avoir des concepts similaires), que les chrétiens furent le soleil et les païens la lune. 15 – Pourquoi le petit-fils du fondateur des Frères Musulmans (groupe interdit en Egypte) et le président du FIS (Front Islamique du Salut, interdit en Algérie) vivent-ils à Genève ? Parce qu’on est mieux à Genève qu’à Tombouctou car, comme le chantait Sardou « Evian sort des Alpes, pas du Sahara ». Plus sérieusement, le QG des planétariens, du moins l’un des centres névralgiques, est justement à Genève… Quand on reçoit ses ordres, mieux vaut être près du chef. 16 – Pourquoi les partis d’extrême droite sont-ils automatiquement antidémocratiques et les partis d’extrême gauche ouverts et progressistes ? Même chose que pour Hitler. L’extrême droite s’oppose à l’ordre capitaliste planétarien alors que l’extrême gauche y collabore et est financée par lui, vu qu’elle poursuit les mêmes buts avec les mêmes chefs. Rothschild a financé Marx et Staline, pas Hitler… Bonsoir ! (chœur) : Merci professeur Fersan… (librement inspiré de Palace).

Monday, October 30, 2006

L'enclos contre-attaque (Editorial du Libre Arverne n°212, 09/11/2006)

(Légende de la photo : "Meurs, pourriture communiste !" (Simon Jeremy, Red is dead))
Ma Lettre ouverte à une jeune dinde parue dans Le Libre Arverne n°203 a fait des vagues. A peine eut-elle été mise en ligne sur le blog du PFC et sur celui du Club Acacia que l’enclos bruissa de glouglous indignés. Voici donc un instituteur écrivain de chez Gallimard, Dominique Boudou, qui collabora à un livre sur la Seconde Guerre Mondiale avec la sinistre stalinienne Annie Lacroix-Riz, négationniste des génocides ukrainiens, essayant de répliquer. Le résultat dépassa mes espérances les plus folles. On sait que les instituteurs sont les gens les plus ouverts et progressistes qui soient. A lire son blog, on a la confirmation que ces messieurs nous préparent les petits gardes rouges de demain. On avait déjà vu comment ils avaient organisé le 21 avril 2002 de véritables « minutes de la haine » avec une jeunesse rendue délibérément inculte et déracinée. Nul doute que la prochaine étape sera le dressage à l’élimination physique des déviants. La gauche l’a toujours fait, pas de raison qu’elle se retienne cette fois. Donc, notre émule de Gérard Klein se lance dans une diatribe contre moi. Manque de chance, il s’y ridiculise totalement, montrant que la faillite de l’Education Nationale n’est pas un vain mot. Pour commencer, il confond allègrement Robert Poujade, ancien député-maire RPR de Dijon avec Pierre Poujade, fondateur du « poujadisme ». Ensuite, on voit très bien qu’il n’a pas lu le blog, il l’a juste regardé superficiellement et n’a retenu non pas ce qui y était écrit mais uniquement ce qui était conforme à ses préjugés et à sa paranoïa. Deux exemples : dans un de ses articles, il parle de « ses trois confrères apparentés FN ». Dans une école primaire de province, où la droite nationale fait moins de 10 %, trois apparentés FN ? Disons que ses « FN » doivent être des apparentés UMP. Mais il est vrai que pour un homme qui visiblement tient à la protection juridique des criminels communistes (normal quand on accepte la compagnie de Lacroix-Riz), l’extrême droite doit commencer à Bayrou. De même, dans sa harangue contre moi, il tremble de trouille en s’imaginant torturé lui et tous ses lecteurs… Il nous prend pour des FTP ou quoi ? De plus, il me prête la volonté d’exterminer les trois-quart de la planète… Je n’ai jamais appelé au moindre conflit contre quelque nation que ce soit (sauf une fois où j’avais demandé l’anéantissement de l’infrastructure MILITAIRE ivoirienne en représailles aux 9 soldats assassinés).Si peu « exterminateur » que je suis même partisan d’un état juif mais ailleurs qu’en Palestine. De plus, j’aurais difficilement pu voir le film de propagande de France 2 sur les crapules de la rue Lauriston (je méprise les tortionnaires professionnels, toutes idéologies confondues) vu que je n’ai pas la télé. De toute façon, de la part des gens qui acclament les tortionnaires de la Résistance, les leçons de morale, je m’en passe volontiers. Passons sur le petit aparté diffamatoire sur la manière forte employée par ses sbires, tout comme je n’ai jamais dit que Le Figaro était un journal gauchiste, prouvant une fois encore qu’il a mal lu, ce qui est le comble pour quelqu’un qui a profession officielle d’éduquer les enfants. Mais comme la République n’a pas besoin de savants, l’Education nationale n’a pas besoin d’éducateurs. Juste des endoctrineurs. Bref, beaucoup de préjugés, nés de la peur et de la non-connaissance de l’autre. Autre que, bien évidemment, on n’a pas du tout envie de connaître. On peut demander beaucoup de choses à un enseignant, sauf d’être ouvert d’esprit (ceci ne concerne pas les enseignants de ma famille et de mes lecteurs, œuf corse…).

Il n’y a pas que chez les instits que la solidarité a joué. Elle s’est étendue à la fonction publique et commissaire Navarro est venu rejoindre Victor Novak. Quand un flic enfile l’uniforme des droits de l’homme et de la tolérance, on sait comment cela se termine : 1793, 1905, 1944, 1962… Le pharisien libéré prêche à la ligne : « Ainsi, posons-nous la question de savoir quelle (sic !) serait notre comportement, si demain notre mission, imposé par un gouvernement extrémiste dans l’autre sens (re-sic !), était de faire la chasse aux Enzo ». La réponse, l’histoire l’a donnée et la donne actuellement. Comme le bon flic verse une larme sur Redeker tout en fermant les yeux sur ses collègues qui persécutent un Thore, un Plantin ou un Faurisson, il obéira aux ordres, et n’hésitera à torturer et massacrer femmes et enfants si on le lui demandait, ayant été bien entendu bien fanatisé au préalable. Je n’ai pas la naïveté de beaucoup de gens de nos milieux sur la police et l’armée, qui ont bien changé mais certes pas changé en bien ! Drapé tel Brutus dans sa toge, vertueux comme un troupeau de Robespierre, notre cyber-Pinot traite son adversaire de virus et de microbe (le genre de chose que l’on extermine) et parade. Le poulet se fait coq : « Nous pouvons nous sentir fier de nous, de notre humanisme et de notre tolérance ». Leur humanisme et leur tolérance, c’est les Lucs-sur-Boulogne, l’affaire des Fiches, les Inventaires, le Grand Bornand, le Fort d’Antibes, la rue d’Isly, la persécution contre la presse libre, l’école libre, l’église libre et la libre recherche… Le jour où le pouvoir passera à la persécution ouverte, et cela risque fort de se faire dès qu’un Sarközy président en aura reçu l’ordre de ses coreligionnaires, nous n’aurons aucune pitié à attendre des flics, de l’armée, des juges, de tout serviteur du pouvoir. Ce qui impliquera per peri refetur, qu’il faudra trouver en nous ce qui nous a manqué en 1793, 1905, 1944 et 1962 : l’implacabilité. La République et ses sbires n’ont ni cœur ni parole. La réponse aux généraux vendéens graciant les prisonniers bleus fut le massacre dans des conditions barbares des femmes et des enfants de Vendée. Chez les Républicains, comme chez les communistes, les talmudistes et les islamistes, la notion de pitié et de pardon n’existe pas. La pitié et le pardon, comme dit le parrain de ma fille : « C’est comme les Saint-Cyriens chargeant en 14 casoar au vent et sabre au clair les mitrailleuses allemandes : très beau et très con… » Il y eut aussi le soutien d’un individu cagoulé dénommé Léon, comme le roi de Bayonne, qui oeuvra dans un registre plus coutumier : usurpation d’identité, divulgation de coordonnées personnelles, bref, protégé par son anonymat, il joue les pousse-aux-crimes bien à l’abri. Tant mieux si sa conscience lui permettra de dormir le jour où ses complices, identifiés et localisés eux, prendront à sa place. Cette affaire d’un jars tombé dans l’enclos des dindons a permis de débusquer ceux qui seront les Ehrenburg, les Guingouin, les Marty de demain. Venus au secours du binôme glougloutant et de leur supplétif, deux volailles cashers vinrent participer à la curée, l’une ayant entraînée l’autre. Disons simplement qu’ils sont fidèles aux prédispositions pathologiques de leur ethnie en ne pratiquant que l’insulte, la délation, la censure. Nous poussons le traditionalisme à avoir des ennemis qui n’ont pas changé en 2000 ans.

Ces cyber-FTP sont des gens potentiellement dangereux. Sans aller bien loin dans l’actualité, le martyr de la petite Elodie à Saint-Quentin, torturée par un gang de beurettes au motif qu’elle était « raciste » (ce qui a été démenti par la direction du foyer) nous le rappelle. Il suffit de lire les contributions de leur blog pour y voir que leur trouille les pousse à déshumaniser totalement l’adversaire. Pour eux, le fâââchiste est une sorte de monstre, intellectuellement inférieur, dont l’élimination est souhaitable. Le refus du dialogue, le refus aussi par mauvaise conscience de lire (et encore moins de condamner) les faits qui à mon sens auraient justifié des représailles ou, dans un autre article, m’amenait à me réjouir du succès du NPD, montre que l’ennemi n’est pas considéré comme un être humain. La gauche s’est toujours servie des artistes et des intellectuels pour théoriser une haine, toujours étendue aux familles des ennemis, que l’on fait généralement massacrer par des « éléments incontrôlés » liquidés une fois devenus encombrants, la récente affaire Bodein annonçant le retour prochain de ce genre de méthodes.

J’avais expliqué la semaine dernière dans mon commentaire du livre du camarade Ryssen que je faisais parti de ceux qui s’exposaient (plutôt qui furent exposés, au départ, nous n’étions pas volontaires, mais maintenant, tels le Johnny Rico de base, on y a prit goût !) en première ligne pour attirer sur eux le feu de l’ennemi et débusquer leurs batteries. Lire tous leurs blogs, y laisser des messages et se faire lyncher, synthétiser les informations récoltées, les recouper, tracer les lignes de contour des alliances et des réseaux, cela aide à cultiver les vertus de patience et d’humilité. Chrétien, on supporte. Vincent et moi, nous avons au moins le réconfort de la prière et de notre famille une fois l’infernale machine éteinte. Quand j’arrive à m’extraire de la ligne de front, loin de ces cochonneries d’insectes contre qui les insecticides de Bayer (ex-IG Farben) ne peuvent rien (si tant est qu’ils aient pu un jour quelque chose), c’est couvert de crachats virtuels, roués de coups chimériques qu’entre deux offensives à repousser, je me régénère parmi les miens. Alice trottine les bras tendus, bouclettes blondes au vent : « Papa, papa… » et se cramponne à mon pantalon. Je la prends dans mes bras et la couvre de bisous : « Ma mirobolance, papa, il vient encore d’en prendre plein la gueule ! C’est pour la cause ma poupette, pour que tu aies un jour un pays ». Elle me regarde de ses grands yeux bleus, ma petite cinquième… Elle me passe sa petite main sur la joue, c’est fort un papa ! L’amour de ses enfants vous protège plus que tous les exosquelettes. Multiplié par six, on est près à désinsectiser la blogosphère, ce champ de bataille où tu ne peux compter ni sur la loi, ni sur l’ordre et où la consigne est limpide : frappe, frappe, pour un coup reçu donne en deux, pour un œil de crevé crève en deux, pour une dent cassée brise une mâchoire. Je me demande comment tiennent ceux qui n’ont pas de soutien derrière eux.

Cette affaire révèle au moins une chose : nous sommes vraiment un autre peuple. Tout dialogue est impossible, comme l’a confirmé Dominique Boudou (je le cite : « Il vaut mieux arrêter d’y répondre car il n’y a pas de parole possible »). Il y a un véritable divorce mental entre deux parties de la société, qui dépasse largement le cadre tradilandais. Depuis que le concept de Tradiland a été rendu public, je suis même assailli de demandes émanant de gens hors de notre communauté et qui préfèrent un statut d’immigrés dans notre nation que de rester un instant de plus en France, ce qui fait dire que Tradiland peut rassembler plus que ses 100.000 habitants, viser plus que la simple indépendance de la Vendée, mais bel et bien devoir rassembler un nombre oscillant entre 4 et 5 millions d’ex-Français, et donc amener de facto la revendication de 10 % du territoire hexagonal, soit une dizaine de départements. Que de clochers en clochers, la blanche colombe aille apporter à nos frères et nos sœurs disséminés sur le territoire d’un pays qui ne veut plus d’eux ce message d’espoir, de paix et de liberté : l’an prochain à Tradiland !

Sunday, October 29, 2006

Il n'y a pas pire criminel qu'un humaniste (Editorial du Libre Arverne n°214 - 23/11/2006)

(Légende de la photo : Ernest Hemingway, criminel de guerre : il a massacré 122 prisonniers de guerre allemands. Un humaniste de gauche comme les autres...)

La démocratie, nous ne le répèterons jamais assez, est le règne de l’imposture. C’est le mensonge fait roi : on ment pour se faire élire, on ment pour rester en place, l’exemple récent de la Hongrie était particulièrement bienvenu. Depuis 1945, le monde vit dans une tyrannie sectaire (c'est-à-dire née d’une secte) tournant autour du soleil noir sur dogme religieux shoahstique, peuplé de tabous, de légendes, de « martyrs », de « docteurs des écritures », d’inquisiteurs et d’hérétiques. Dans cette contre-religion qui, comme l’a brillamment démontré Vincent Reynouard, vise à supplanter la vraie, il y a une catégorie visant à remplacer les Saints : les « consciences morales ». Scientifiques, écrivains, politiques, ils sont érigés au rang d’icônes de référence, incarnant par leurs paroles et leurs actes la bienséance protocolaire. Mais malgré la schlague de la police de la pensée, de la Judapo, des grands inquisiteurs, malgré les mises à l’index, les autodafés et le reste, des hommes et des femmes libres se dressent contre le mensonge et renversent les idoles usurpées. De tous horizons, de toutes ethnies, de toutes croyances, ils sont animés par des motivations différentes mais sont unis dans ce combat : les uns, ne croyant pas en Dieu ne veulent pas croire en un autre dogme religieux encore plus farfelu ; les autres refusant d’adorer les fausses idoles comme leurs ancêtres avaient refusé de s’incliner devant les faux dieux romains. Comme le disait Maître Jacques Trémolet de Villers dans Présent : « La démocratie est un mythe, une conquête permanente, une utopie à réaliser. N’ayant plus rien à conquérir, et plus de citoyens à convertir, étant devenue, enfin, la réalité, la démocratie se montre pour ce qu’elle est : un leurre (…) Pour vivre, une démocratie a besoin, premièrement, d’une certaine prospérité économique, secondement d’administrations – de corps étatiques – qui lui pré-existent et qui fonctionnent… d’un personnel – une classe politique vertueuse et convaincue, décidée à la faire vivre, enfin, de la paix à l’extérieur. Autrement dit, la démocratie s’épanouit en consommant allègrement ce que le régime qui l’a précédée – la monarchie – avait construit. Nous arrivons au bout de cette consommation. »

Ernest Hemingway est ainsi l’une de ces icônes obligatoires qui est vénérée par le régime, que l’on nous présente comme une âme sensible et délicate. Il est vrai qu’il avait un atout pour se voir décerner un brevet de respectabilité : il avait été un zélé collaborateur de la tyrannie communiste de Valence qu’il loua dans son roman Pour qui sonne le glas, livre de chevet de tout régimiste qui se respecte. Nous évoquerons longuement pour le soixantième anniversaire de son exécution la personnalité de Willy Münzenberg, pilier de la propagande marxiste qui rassembla des écrivains aussi célèbres professionnellement que douteux humainement. La lie plébiscitée dont Hemingway fut du nombre. Dans son numéro du 27 septembre, Il Corriere della sera révèle que l’écrivain a massacré 122 prisonniers de guerre allemands, ce qui fait de lui un criminel de guerre. Hemingway vouait aux Allemands une haine raciale farouche, non seulement encouragée mais entretenue (et encore aujourd’hui) par les planétariens, au nom de la vieille haine talmudique forgée par rabbi Kimchi qui, dans son commentaire d’Obadia, fait des Allemands les descendants des Cananéens voués à l’extermination dans la Torah. D’où leur plaisir intellectuellement orgasmique d’accuser de « génocide » à leur égard un peuple qu’ils pressentent comme les descendants des victimes qu’ils ont sacrifiés. Du peuple allemand, Hemingway disait « L’Allemagne aurait dû être détruite… Ce qui ne peut vraisemblablement être obtenu qu’au moyen de la stérilisation, laquelle peut être accomplie par une opération à peine plus douloureuse qu’une vaccination et peut être aisément rendue obligatoire ». Preuve absolue qui démolit les pseudo-travaux (du copier-coller de la propagande alliée) de Karmazyn et confirme que le projet de Kaufman, cet ami de la famille Churchill, était bel et bien envisagé par le gouvernement de Roosevelt (d’autant plus qu’Hemingway travaillait pour les services secrets américains, l’OSS, donc bien informé). Guère étonnant alors qu’il passa à l’acte alors qu’il servait dans le 22e régiment de la 4e division US. L’éphémère gouverneur de Rambouillet se vanta d’avoir massacré des prisonniers désarmés en totale violation de la Convention de Genève. Les preuves sont la lettre du 27 août 1949 à Charles Scribner, celle du 2 juin 1950 à Arthur Mizener (où il vanta d’avoir tiré dans le foie d’un gosse allemand de 16 ans). Rien d’étonnant, régime corrompu, la démocratie ne peut recruter que dans la crasse. Notons que dans la révélation de crimes de guerre, le massacre systématique de prisonniers de guerre allemands par des Canadiens lors de la guerre de 14-18 vient d’être révélé par Tim Cook, un historien du Canadian War Museum. Se référer à l’Ancien Testament et au Dieu de vengeance (par opposition au Nouveau Testament et son Dieu d’amour) est une spécialité protestante et juive, donc « démocratique ». Guère étonnant alors que l’armée américaine pour sa campagne d’Irak ait recruté d’authentiques gangsters : 54 % des recrues ont des casiers judiciaires lourds. Dont le trafiquant de drogue Steven Green, violeur et assassin d’une gamine irakienne… On se croirait dans Robocop III où pour chasser les habitants du quartier Cadillac, l’armée privée du cartel OCP recruta… les gangs ! Mais là encore, rien d’étonnant puisqu’en 1943, la mafia marcha main dans la main avec la démocratie lors de l’invasion de l’Italie. Gangsters en chemises rayées reconnaissant leurs pairs en col blanc.

Outre Hemingway, un autre « Münzenberg’s boy » doit être démasqué. Il s’agit bien évidemment de l’icône intouchable parmi les intouchables, Albert Einstein soi-même, également fanatique défenseur des criminels de Valence. Le plagiaire éhonté des travaux d’Henri Poincaré qu’il spolia de son Nobel, l’homme qui vola à l’Italien Olinto de Pretto la formule e=mc², s’avère être un apologiste forcené de l’URSS stalinienne, par solidarité ethnique. Défenseur acharné du communisme, il en demanda l’instauration universelle en 1949. Appelant les Allemands des « chiens sanguinaires », il fit l’apologie des « réalisations économiques » de Staline et de « l’égalité des peuples et des groupes culturels « qui y régnait. Ce n’était pas tout à fait faux : mis à part les Juifs, ils étaient tous égaux quand il s’agissait de se faire massacrer. Plus grotesque, il accusa l’entourage de Roosevelt de « mentalité proche du fascisme » alors qu’il aidait son cher Staline du mieux qu’il pouvait et que de surcroît, ce sont ces milieux d’affaires majoritairement juifs qui lancèrent la guerre d’anéantissement contre le peuple rebelle. En 1954, lors de la courageuse campagne de Joseph Mac Carthy, Einstein déclara que les anticommunistes étaient des nazis. C’est tout à l’honneur de l’Allemagne d’avoir chassé ce personnage qui apporta à l’humanité l’arme la plus destructrice existante, qui, si on met en parallèle ses propos avec son interview du New York Times du 23 juin 1946, l’avait construite en fait dans l’espoir que l’URSS se l’approprie. Les traîtres Rosenberg, s’ils n’eurent que ce qu’ils méritaient, ne devaient pas être seuls à trahir et ont sans doute protégé des gens autrement plus importants.

La propagande nous rappelle ad nauseam les autodafés nazis. Ces derniers, avec cet esthétisme né de leur romantisme, commirent l’erreur médiatique de brûler de nuit et en public les livres honnis par le Reich, dont le nombre variait entre 50 à 12.000 selon les sources. A titre de comparaison, et beaucoup plus discrètement, les Américains en brûlèrent 36.000. Les Soviétiques, eux, préféraient liquider directement les auteurs. A la différence des démocrates, qu’ils soient « libéraux » ou « populaires », les fascistes assumaient leurs actes. Ils les rendaient publics, ne cachant rien. Quand ils réprimaient, c’était au grand jour, sans se cacher, sans langage codé… Mais dans la vie, il y a l’idéologie et il y a le terrain. Il y a la théorie et la pratique. D’un côté, la simple justice voudrait que de grands feux de joie soient faits avec les ouvrages criminels des collabos des génocides ploutocratiques ou communistes. Que les livres d’Hemingway, les toiles de Picasso brûlent comme les Alliés ont brûlé Dresde. Le crépitement de la flamme purificatrice réchaufferait le cœur de tous les martyrs. Nettoyer l’Europe de ses souillures. Mais l’écrivain que je suis se pose cette question morale : peut-on brûler une œuvre, quelle qu’elle soit ? Brûler Ehrenburg ou Wiesel, c’est se priver d’une incomparable preuve de ce à quoi peut mener la haine pathologique. Que préférons-nous ? La justice ou la vengeance ? Les livres de haine des stipendiés de Münzenberg doivent être conservés et expliqués. Pour montrer aux générations futures comment les planétariens sèment la haine, brandir le livre en disant : voici l’arbre et montrer la réalité du génocide allemand en disant voici les fruits. L’ordre planétarien s’impose par l’obscurantisme, le dogmatisme, la falsification, le nivellement par le bas. Le fascisme, c’est l’élitisme. Et si l’élite nécessite une discipline stricte, il faut être stupide comme un sergent-chef des Marines pour croire que c’est à coups de schlague et de brimades qu’on forge un corps d’élite. Comparez les cours d’instruction du Marine Corps et des Waffen SS. Vous verrez qui fabrique des machines à tuer et qui bâtit un monde meilleur.