Il n'y a pas pire criminel qu'un humaniste (Editorial du Libre Arverne n°214 - 23/11/2006)
(Légende de la photo : Ernest Hemingway, criminel de guerre : il a massacré 122 prisonniers de guerre allemands. Un humaniste de gauche comme les autres...)
La démocratie, nous ne le répèterons jamais assez, est le règne de l’imposture. C’est le mensonge fait roi : on ment pour se faire élire, on ment pour rester en place, l’exemple récent de la Hongrie était particulièrement bienvenu. Depuis 1945, le monde vit dans une tyrannie sectaire (c'est-à-dire née d’une secte) tournant autour du soleil noir sur dogme religieux shoahstique, peuplé de tabous, de légendes, de « martyrs », de « docteurs des écritures », d’inquisiteurs et d’hérétiques. Dans cette contre-religion qui, comme l’a brillamment démontré Vincent Reynouard, vise à supplanter la vraie, il y a une catégorie visant à remplacer les Saints : les « consciences morales ». Scientifiques, écrivains, politiques, ils sont érigés au rang d’icônes de référence, incarnant par leurs paroles et leurs actes la bienséance protocolaire. Mais malgré la schlague de la police de la pensée, de la Judapo, des grands inquisiteurs, malgré les mises à l’index, les autodafés et le reste, des hommes et des femmes libres se dressent contre le mensonge et renversent les idoles usurpées. De tous horizons, de toutes ethnies, de toutes croyances, ils sont animés par des motivations différentes mais sont unis dans ce combat : les uns, ne croyant pas en Dieu ne veulent pas croire en un autre dogme religieux encore plus farfelu ; les autres refusant d’adorer les fausses idoles comme leurs ancêtres avaient refusé de s’incliner devant les faux dieux romains. Comme le disait Maître Jacques Trémolet de Villers dans Présent : « La démocratie est un mythe, une conquête permanente, une utopie à réaliser. N’ayant plus rien à conquérir, et plus de citoyens à convertir, étant devenue, enfin, la réalité, la démocratie se montre pour ce qu’elle est : un leurre (…) Pour vivre, une démocratie a besoin, premièrement, d’une certaine prospérité économique, secondement d’administrations – de corps étatiques – qui lui pré-existent et qui fonctionnent… d’un personnel – une classe politique vertueuse et convaincue, décidée à la faire vivre, enfin, de la paix à l’extérieur. Autrement dit, la démocratie s’épanouit en consommant allègrement ce que le régime qui l’a précédée – la monarchie – avait construit. Nous arrivons au bout de cette consommation. »
Ernest Hemingway est ainsi l’une de ces icônes obligatoires qui est vénérée par le régime, que l’on nous présente comme une âme sensible et délicate. Il est vrai qu’il avait un atout pour se voir décerner un brevet de respectabilité : il avait été un zélé collaborateur de la tyrannie communiste de Valence qu’il loua dans son roman Pour qui sonne le glas, livre de chevet de tout régimiste qui se respecte. Nous évoquerons longuement pour le soixantième anniversaire de son exécution la personnalité de Willy Münzenberg, pilier de la propagande marxiste qui rassembla des écrivains aussi célèbres professionnellement que douteux humainement. La lie plébiscitée dont Hemingway fut du nombre. Dans son numéro du 27 septembre, Il Corriere della sera révèle que l’écrivain a massacré 122 prisonniers de guerre allemands, ce qui fait de lui un criminel de guerre. Hemingway vouait aux Allemands une haine raciale farouche, non seulement encouragée mais entretenue (et encore aujourd’hui) par les planétariens, au nom de la vieille haine talmudique forgée par rabbi Kimchi qui, dans son commentaire d’Obadia, fait des Allemands les descendants des Cananéens voués à l’extermination dans la Torah. D’où leur plaisir intellectuellement orgasmique d’accuser de « génocide » à leur égard un peuple qu’ils pressentent comme les descendants des victimes qu’ils ont sacrifiés. Du peuple allemand, Hemingway disait « L’Allemagne aurait dû être détruite… Ce qui ne peut vraisemblablement être obtenu qu’au moyen de la stérilisation, laquelle peut être accomplie par une opération à peine plus douloureuse qu’une vaccination et peut être aisément rendue obligatoire ». Preuve absolue qui démolit les pseudo-travaux (du copier-coller de la propagande alliée) de Karmazyn et confirme que le projet de Kaufman, cet ami de la famille Churchill, était bel et bien envisagé par le gouvernement de Roosevelt (d’autant plus qu’Hemingway travaillait pour les services secrets américains, l’OSS, donc bien informé). Guère étonnant alors qu’il passa à l’acte alors qu’il servait dans le 22e régiment de la 4e division US. L’éphémère gouverneur de Rambouillet se vanta d’avoir massacré des prisonniers désarmés en totale violation de la Convention de Genève. Les preuves sont la lettre du 27 août 1949 à Charles Scribner, celle du 2 juin 1950 à Arthur Mizener (où il vanta d’avoir tiré dans le foie d’un gosse allemand de 16 ans). Rien d’étonnant, régime corrompu, la démocratie ne peut recruter que dans la crasse. Notons que dans la révélation de crimes de guerre, le massacre systématique de prisonniers de guerre allemands par des Canadiens lors de la guerre de 14-18 vient d’être révélé par Tim Cook, un historien du Canadian War Museum. Se référer à l’Ancien Testament et au Dieu de vengeance (par opposition au Nouveau Testament et son Dieu d’amour) est une spécialité protestante et juive, donc « démocratique ». Guère étonnant alors que l’armée américaine pour sa campagne d’Irak ait recruté d’authentiques gangsters : 54 % des recrues ont des casiers judiciaires lourds. Dont le trafiquant de drogue Steven Green, violeur et assassin d’une gamine irakienne… On se croirait dans Robocop III où pour chasser les habitants du quartier Cadillac, l’armée privée du cartel OCP recruta… les gangs ! Mais là encore, rien d’étonnant puisqu’en 1943, la mafia marcha main dans la main avec la démocratie lors de l’invasion de l’Italie. Gangsters en chemises rayées reconnaissant leurs pairs en col blanc.
Outre Hemingway, un autre « Münzenberg’s boy » doit être démasqué. Il s’agit bien évidemment de l’icône intouchable parmi les intouchables, Albert Einstein soi-même, également fanatique défenseur des criminels de Valence. Le plagiaire éhonté des travaux d’Henri Poincaré qu’il spolia de son Nobel, l’homme qui vola à l’Italien Olinto de Pretto la formule e=mc², s’avère être un apologiste forcené de l’URSS stalinienne, par solidarité ethnique. Défenseur acharné du communisme, il en demanda l’instauration universelle en 1949. Appelant les Allemands des « chiens sanguinaires », il fit l’apologie des « réalisations économiques » de Staline et de « l’égalité des peuples et des groupes culturels « qui y régnait. Ce n’était pas tout à fait faux : mis à part les Juifs, ils étaient tous égaux quand il s’agissait de se faire massacrer. Plus grotesque, il accusa l’entourage de Roosevelt de « mentalité proche du fascisme » alors qu’il aidait son cher Staline du mieux qu’il pouvait et que de surcroît, ce sont ces milieux d’affaires majoritairement juifs qui lancèrent la guerre d’anéantissement contre le peuple rebelle. En 1954, lors de la courageuse campagne de Joseph Mac Carthy, Einstein déclara que les anticommunistes étaient des nazis. C’est tout à l’honneur de l’Allemagne d’avoir chassé ce personnage qui apporta à l’humanité l’arme la plus destructrice existante, qui, si on met en parallèle ses propos avec son interview du New York Times du 23 juin 1946, l’avait construite en fait dans l’espoir que l’URSS se l’approprie. Les traîtres Rosenberg, s’ils n’eurent que ce qu’ils méritaient, ne devaient pas être seuls à trahir et ont sans doute protégé des gens autrement plus importants.
La propagande nous rappelle ad nauseam les autodafés nazis. Ces derniers, avec cet esthétisme né de leur romantisme, commirent l’erreur médiatique de brûler de nuit et en public les livres honnis par le Reich, dont le nombre variait entre 50 à 12.000 selon les sources. A titre de comparaison, et beaucoup plus discrètement, les Américains en brûlèrent 36.000. Les Soviétiques, eux, préféraient liquider directement les auteurs. A la différence des démocrates, qu’ils soient « libéraux » ou « populaires », les fascistes assumaient leurs actes. Ils les rendaient publics, ne cachant rien. Quand ils réprimaient, c’était au grand jour, sans se cacher, sans langage codé… Mais dans la vie, il y a l’idéologie et il y a le terrain. Il y a la théorie et la pratique. D’un côté, la simple justice voudrait que de grands feux de joie soient faits avec les ouvrages criminels des collabos des génocides ploutocratiques ou communistes. Que les livres d’Hemingway, les toiles de Picasso brûlent comme les Alliés ont brûlé Dresde. Le crépitement de la flamme purificatrice réchaufferait le cœur de tous les martyrs. Nettoyer l’Europe de ses souillures. Mais l’écrivain que je suis se pose cette question morale : peut-on brûler une œuvre, quelle qu’elle soit ? Brûler Ehrenburg ou Wiesel, c’est se priver d’une incomparable preuve de ce à quoi peut mener la haine pathologique. Que préférons-nous ? La justice ou la vengeance ? Les livres de haine des stipendiés de Münzenberg doivent être conservés et expliqués. Pour montrer aux générations futures comment les planétariens sèment la haine, brandir le livre en disant : voici l’arbre et montrer la réalité du génocide allemand en disant voici les fruits. L’ordre planétarien s’impose par l’obscurantisme, le dogmatisme, la falsification, le nivellement par le bas. Le fascisme, c’est l’élitisme. Et si l’élite nécessite une discipline stricte, il faut être stupide comme un sergent-chef des Marines pour croire que c’est à coups de schlague et de brimades qu’on forge un corps d’élite. Comparez les cours d’instruction du Marine Corps et des Waffen SS. Vous verrez qui fabrique des machines à tuer et qui bâtit un monde meilleur.
Ernest Hemingway est ainsi l’une de ces icônes obligatoires qui est vénérée par le régime, que l’on nous présente comme une âme sensible et délicate. Il est vrai qu’il avait un atout pour se voir décerner un brevet de respectabilité : il avait été un zélé collaborateur de la tyrannie communiste de Valence qu’il loua dans son roman Pour qui sonne le glas, livre de chevet de tout régimiste qui se respecte. Nous évoquerons longuement pour le soixantième anniversaire de son exécution la personnalité de Willy Münzenberg, pilier de la propagande marxiste qui rassembla des écrivains aussi célèbres professionnellement que douteux humainement. La lie plébiscitée dont Hemingway fut du nombre. Dans son numéro du 27 septembre, Il Corriere della sera révèle que l’écrivain a massacré 122 prisonniers de guerre allemands, ce qui fait de lui un criminel de guerre. Hemingway vouait aux Allemands une haine raciale farouche, non seulement encouragée mais entretenue (et encore aujourd’hui) par les planétariens, au nom de la vieille haine talmudique forgée par rabbi Kimchi qui, dans son commentaire d’Obadia, fait des Allemands les descendants des Cananéens voués à l’extermination dans la Torah. D’où leur plaisir intellectuellement orgasmique d’accuser de « génocide » à leur égard un peuple qu’ils pressentent comme les descendants des victimes qu’ils ont sacrifiés. Du peuple allemand, Hemingway disait « L’Allemagne aurait dû être détruite… Ce qui ne peut vraisemblablement être obtenu qu’au moyen de la stérilisation, laquelle peut être accomplie par une opération à peine plus douloureuse qu’une vaccination et peut être aisément rendue obligatoire ». Preuve absolue qui démolit les pseudo-travaux (du copier-coller de la propagande alliée) de Karmazyn et confirme que le projet de Kaufman, cet ami de la famille Churchill, était bel et bien envisagé par le gouvernement de Roosevelt (d’autant plus qu’Hemingway travaillait pour les services secrets américains, l’OSS, donc bien informé). Guère étonnant alors qu’il passa à l’acte alors qu’il servait dans le 22e régiment de la 4e division US. L’éphémère gouverneur de Rambouillet se vanta d’avoir massacré des prisonniers désarmés en totale violation de la Convention de Genève. Les preuves sont la lettre du 27 août 1949 à Charles Scribner, celle du 2 juin 1950 à Arthur Mizener (où il vanta d’avoir tiré dans le foie d’un gosse allemand de 16 ans). Rien d’étonnant, régime corrompu, la démocratie ne peut recruter que dans la crasse. Notons que dans la révélation de crimes de guerre, le massacre systématique de prisonniers de guerre allemands par des Canadiens lors de la guerre de 14-18 vient d’être révélé par Tim Cook, un historien du Canadian War Museum. Se référer à l’Ancien Testament et au Dieu de vengeance (par opposition au Nouveau Testament et son Dieu d’amour) est une spécialité protestante et juive, donc « démocratique ». Guère étonnant alors que l’armée américaine pour sa campagne d’Irak ait recruté d’authentiques gangsters : 54 % des recrues ont des casiers judiciaires lourds. Dont le trafiquant de drogue Steven Green, violeur et assassin d’une gamine irakienne… On se croirait dans Robocop III où pour chasser les habitants du quartier Cadillac, l’armée privée du cartel OCP recruta… les gangs ! Mais là encore, rien d’étonnant puisqu’en 1943, la mafia marcha main dans la main avec la démocratie lors de l’invasion de l’Italie. Gangsters en chemises rayées reconnaissant leurs pairs en col blanc.
Outre Hemingway, un autre « Münzenberg’s boy » doit être démasqué. Il s’agit bien évidemment de l’icône intouchable parmi les intouchables, Albert Einstein soi-même, également fanatique défenseur des criminels de Valence. Le plagiaire éhonté des travaux d’Henri Poincaré qu’il spolia de son Nobel, l’homme qui vola à l’Italien Olinto de Pretto la formule e=mc², s’avère être un apologiste forcené de l’URSS stalinienne, par solidarité ethnique. Défenseur acharné du communisme, il en demanda l’instauration universelle en 1949. Appelant les Allemands des « chiens sanguinaires », il fit l’apologie des « réalisations économiques » de Staline et de « l’égalité des peuples et des groupes culturels « qui y régnait. Ce n’était pas tout à fait faux : mis à part les Juifs, ils étaient tous égaux quand il s’agissait de se faire massacrer. Plus grotesque, il accusa l’entourage de Roosevelt de « mentalité proche du fascisme » alors qu’il aidait son cher Staline du mieux qu’il pouvait et que de surcroît, ce sont ces milieux d’affaires majoritairement juifs qui lancèrent la guerre d’anéantissement contre le peuple rebelle. En 1954, lors de la courageuse campagne de Joseph Mac Carthy, Einstein déclara que les anticommunistes étaient des nazis. C’est tout à l’honneur de l’Allemagne d’avoir chassé ce personnage qui apporta à l’humanité l’arme la plus destructrice existante, qui, si on met en parallèle ses propos avec son interview du New York Times du 23 juin 1946, l’avait construite en fait dans l’espoir que l’URSS se l’approprie. Les traîtres Rosenberg, s’ils n’eurent que ce qu’ils méritaient, ne devaient pas être seuls à trahir et ont sans doute protégé des gens autrement plus importants.
La propagande nous rappelle ad nauseam les autodafés nazis. Ces derniers, avec cet esthétisme né de leur romantisme, commirent l’erreur médiatique de brûler de nuit et en public les livres honnis par le Reich, dont le nombre variait entre 50 à 12.000 selon les sources. A titre de comparaison, et beaucoup plus discrètement, les Américains en brûlèrent 36.000. Les Soviétiques, eux, préféraient liquider directement les auteurs. A la différence des démocrates, qu’ils soient « libéraux » ou « populaires », les fascistes assumaient leurs actes. Ils les rendaient publics, ne cachant rien. Quand ils réprimaient, c’était au grand jour, sans se cacher, sans langage codé… Mais dans la vie, il y a l’idéologie et il y a le terrain. Il y a la théorie et la pratique. D’un côté, la simple justice voudrait que de grands feux de joie soient faits avec les ouvrages criminels des collabos des génocides ploutocratiques ou communistes. Que les livres d’Hemingway, les toiles de Picasso brûlent comme les Alliés ont brûlé Dresde. Le crépitement de la flamme purificatrice réchaufferait le cœur de tous les martyrs. Nettoyer l’Europe de ses souillures. Mais l’écrivain que je suis se pose cette question morale : peut-on brûler une œuvre, quelle qu’elle soit ? Brûler Ehrenburg ou Wiesel, c’est se priver d’une incomparable preuve de ce à quoi peut mener la haine pathologique. Que préférons-nous ? La justice ou la vengeance ? Les livres de haine des stipendiés de Münzenberg doivent être conservés et expliqués. Pour montrer aux générations futures comment les planétariens sèment la haine, brandir le livre en disant : voici l’arbre et montrer la réalité du génocide allemand en disant voici les fruits. L’ordre planétarien s’impose par l’obscurantisme, le dogmatisme, la falsification, le nivellement par le bas. Le fascisme, c’est l’élitisme. Et si l’élite nécessite une discipline stricte, il faut être stupide comme un sergent-chef des Marines pour croire que c’est à coups de schlague et de brimades qu’on forge un corps d’élite. Comparez les cours d’instruction du Marine Corps et des Waffen SS. Vous verrez qui fabrique des machines à tuer et qui bâtit un monde meilleur.
4 Comments:
Remords......¿Causa de suicidio?
Remarque pertinante, à creuse.
Quoi que dans la famille Hemingway, on se suicide beaucoup.
Mais on peut se dire qu'effectivement, il a dû être hanté par le spectre de ses victimes...
Après tout, les salauds paient un jour, ici ou dans l'au delà...
Ca fait du bien de lire des vérités de cet acabit... malgré la chape de plomb qui pèse lourdement... C'est vrai, qu'un temps il y avait Brigneau et ses chroniques... mais avec le temps...
hemingway avait subi une lobotomie pour le traiter de son alcoolisme et suite a cette operation il n'arrivait plus a ecrire, son inspiration, son tallent literaires étaient amputés, castrés. il c'est suicidé probablement en partie a cause de cela ? une ordure ? peut etre, probable. mais "le vieil homme et la mer" est un tres bon livre.
a propose de crimes de guerre, j'ai le livre ecrit par un ancien pilote du normandie niemen qui explique qu'une fois apres avoir sauté en parachute dans l'eau, un avion allemand lui avait tiré dessus ce qui ne le scandalisait pas puisque eux aussi l'avaient fait.
il raconte aussi que quand ils sont entrés en allemagne il leur arivait au retour de mission de vider le restant du ruban de munitions du canon de 20mm du yak en tirant sur tout et n'importe quoi (en partie pour alleger l'avion avant l'atterissage ? ) comme par exemple une grange ou une ferme.
il raconte avoir tiré sur un motard (civil ou militaire ? par precisé) et une autre fois sur un convoi funeraire. c'est particulierement minable.
pour les troupes americaines en irak plusieurs femmes soldats sont mortes de soif car elles cessent de boire passé midi (ca ne pardonne pas en été à bagdad) pour ne pas avoir a utiliser les toilettes colletives la nuit tellement elles ont peur d'etre violées par leurs camarades racailles en uniforme. pas étonnant quand on sait que la moitié des recrues ont un casier judiciaire pour des crimes graves du types agressions sexuelles,trafic de drogue, braquages.
d'ailleurs on retrouve à bagdad des tags de gangs de los angeles :)
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