Wednesday, February 28, 2007

73 %... (Editorial du Libre Arverne n°228 - 01/03/2007)

(Légende : Lea-Marie Navel 5 ans. Sa mère a essayé de la tuer en lui faisant boire 27 fois du détergeant...)


Voici une affaire que l’on ne risque pas de voir médiatisée en ces temps de propagande gynocratique effrénée. Ségolène Royal, dont les bourdes s’enfilent quotidiennement comme les perles de son luxueux collier, avait prétendu dans ses délires qu’une femme sur trois était tuée par son mari. Le chiffre serait déjà grotesque dans la province la plus arriérée du plus misogyne des pays islamistes. Par contre, et là le chiffre est on peut plus officiel puisque émanant du gouvernement canadien, pays le plus misandre du monde, 73 % des enfants morts de mauvais traitements dans un contexte familial sont tués par leur mère ou une femme de la famille. Et encore, les avortements ne sont pas comptabilisés dans les meurtres d’enfants… L’actualité récente nous prouve encore la véracité de ce chiffre.

En Allemagne, à Rostock, une mère de famille a tenté d’assassiner sa fille selon une méthode déjà plébiscitée par Marie-Louise, la marâtre de la petite Aurore Gagnon (nous avions évoqué cette affaire dans le n°69, nous la traiterons plus en détail pour le 80e anniversaire de la mort de la fillette) : l’empoisonnement méthodique à longue durée. Léa-Marie Navel, si on en juge par les photos, est une adorable petite bambine de 5 ans. N’importe quel parent normalement constitué aurait aimé et choyé cette enfant. N’importe lequel, sauf sa génitrice Mandy Navel, indigne du nom de mère. Femme de ménage, elle s’est arrêtée de travailler pour « élever la petite » pendant que son mari Tilo, travaille douze heures par jour aux abattoirs de la ville, un travail éreintant qui le fait rentrer épuisé chez lui. Trop épuisé pour voir ce que fait sa femme. Car Léa-Marie a été prise en grippe par sa mère, femme frustre mais – et c’est le propre des femmes tortionnaires fussent-elles incultes et primaires – avec une imagination débordante quand il s’agit d’inventer des supplices. Dès ses six mois, la fillette est battue sous couvert de « lui faire passer ses caprices », à coups de poings ou avec un batteur à tapis en rotin. Mais la femme trouve « mieux » pour la « punir » : elle attrape la fillette, lui bloque les bras avec ses genoux et l’oblige à boire un biberon rempli de détergeant ou de vinaigre. Elle lui verse aussi de l’eau bouillante sur les cuisses. A 27 reprises, le cocktail mortel à long terme est ingurgité par la fillette : son œsophage est réduit au quart, elle en aura des séquelles à vie. Elle est opérée tous les quinze jours et ne peut toujours pas s’alimenter normalement. Un médecin avait signalé l’anomalie. Son rapport a été étouffé par les assistantes sociales, solidarité féminine oblige. Et puis, dans un pays où l’avortement est vivement encouragé (ordre du régime de collaboration avec l’occupant américain, en vue d’un auto-génocide silencieux poursuivant le génocide réel de 1941-50 et les plans Kaufman et Morgenthau) et où les assistantes sociales travaillent main dans la main avec le Planning Familial, quelle importance de liquider « l’indésirable » avant ou après la naissance ? Qui vole un œuf vole un bœuf, qui tue un fœtus tue un enfant.

Je vois déjà les cris d’indignation de mes lectrices, que je partage ô combien : « Mais comment une mère peut-elle faire ça à sa fille ? ». Ce genre de crimes révolte les femmes tradilandaises qui aiment leurs enfants peut-être plus que n’importe quelles autres mères au monde, à commencer par la mienne dont je prédis déjà les propos à la lecture de cet article : « N’y aurait-il pas un moyen d’adopter Léa-Marie ? ». A partir du moment où une société criminelle autorise les mères à tuer l’enfant qui est dans leur ventre, certaines mères se jugent toutes puissantes et considèrent que le matriarcat donne droit de vie et de mort sur leurs enfants. Voire même parfois sur ceux des autres… Nous avons évoqué au paragraphe précédent l’attitude suspecte des assistantes sociales. Il ne faut pas oublier non plus que Rostock était encore sous la botte communiste il y a 20 ans. Les plus âgées d’entre-elles ont été formées dans la très féministe RDA, qui n’était pas tenue par le gouvernement de collaboration avec l’occupant américain mais tenue par le gouvernement de collaboration avec les Soviétiques. Rappelons que ces derniers y avaient installé 11 camps d’extermination pour enfants. Cela laisse des traces idéologiques. Au fond, pourquoi les assistantes sociales made in Pankow auraient réagi : les Navel ne sont pas des chrétiens pratiquants, ils ne sont pas fichés à droite et le père n’est soupçonnable de rien.

Cette affaire de maltraitance vient en écho avec une autre qui s’est déroulée non loin de là, à Linz. Trois fillettes avaient 6, 10 et 13 ans lorsque leur mère décida de les séquestrer. Lorsqu’elles furent libérées en 2005, elles avaient respectivement 14, 18 et 21 ans. Le traumatisme subi par les gamines est tel que leur avocate, Me Margareth Tews, se demande si elles retrouveront un jour la raison. Tout a commencé lors du divorce de leurs parents en 1998. La mère enferme ses trois filles dans une pièce aveugle et remplie d’immondices et interdit au père de les voir. Elle va jusqu’à torturer psychologiquement ses filles, leur faisant croire que leur père veut les tuer. Ce dernier porte plainte auprès des services sociaux en 2001. Mais comme, une fois encore, la solidarité féminine n’est pas un vain mot, les assistantes sociales, comme leurs collègues allemandes, vont mettre le dossier en « classement vertical ». Finalement, il faudra attendre 2005 pour libérer les fillettes, qui ne supportaient pas la lumière du jour et parlaient un dialecte de leur invention. La presse autrichienne ne révéla l’affaire qu’en février 2007.

Il ne faut pas croire que la France soit épargnée par cela. Nous avons eu l’affaire récente des « bébés congelés », où une fois encore la femme avait agi dans le dos de son mari. La reine des abeilles n’a que faire du bourdon, il est là pour bosser, et c’est tout. A Saint-Denis, le 15 janvier, une femme de 34 ans, de nationalité camerounaise, a tué et infligé des sévices sexuels à sa fille de 6 ans et mordu au sang la main de son fils de 3 ans. Elle a essayé d’accuser son mari, un éminent professeur d’économie, lui aussi camerounais mais enseignant en France. C’est d’ailleurs sur les bancs de l’université Paris-XIII où professait ce spécialiste des mécanismes financiers internationaux, qu’il rencontra sa femme, qui passait alors ses diplômes d’expert-comptable. Or, son mari avait un alibi : au moment de la mort présumée de la fillette, il était encore à la faculté qu’il déclara avoir quitté à 20 heures, fait confirmé par un e-mail envoyé des locaux de l’université à une de ses étudiantes à 19 h 52 et par le témoignage d’un confrère qui le croisa dans les couloirs un peu plus tard. Les premiers éléments de l’enquête montrent que la femme a bel et bien tué sa fille, probablement lors d’un rituel de sorcellerie en vue d’obtenir quelques avantages des esprits dont elle psalmodia les noms en dialecte africain lors de sa garde à vue. Le procès du couple Fourniret s’ouvre bientôt devant les assises, et l’on aperçoit au fil de l’enquête que Monique Olivier, la femme de Michel Fourniret, a participé de son plein gré à la « chasse aux vierges » prisée par son mari et qui, en ne parlant que des victimes connues, a provoqué la mort et le viol d’Isabelle Laville (17 ans), Fabienne Leroy (20 ans), Jeanne-Marie Desramault (22 ans), Elisabeth Brichet (12 ans), Natacha Danais (13 ans), Céline Saison (18 ans) et Manyana Thumpong (13 ans), auquel on peut ajouter très probablement Joanna Parrish voire Estelle Mouzin (9 ans)… Une des victimes a été enlevée par la femme, une autre a été neutralisée par elle et une dernière a subi un « contrôle de virginité ». A la différence de Michelle Martin (Mme Dutroux) qui tremblait devant son mari et ne semble pas avoir agi, Monique Olivier, même si elle « charge » son mari et tente de se disculper, a participé de son plein gré, comme tant de couples impliqués dans ce genre d’affaire. Au même moment, la justice essaye de relancer le dossier de la « martyr de l’autoroute A-10 », cette fillette de 3/5 ans retrouvée mutilée et morte, en pyjama, par des employés de l’autoroute Paris-Tours le 11 août 1987. La seule certitude est que la fillette est d’ethnie nord-africaine et a été torturée à mort : brûlée au fer à repasser et mordue par une femme. Des analyses ADN impossibles en 1987 ont été effectuées. Dans l’espoir de trouver, à défaut de sa meurtrière, au moins le nom de cette fillette reposant anonymement au carré des enfants du cimetière de Suèvres.

Alors que faire ? Comment faire pour que des femmes ne tuent plus leurs enfants ? A vrai dire, nous sommes totalement impuissants face à ce genre de phénomène. Inconcevable dans notre peuple, il touche une catégorie de personnes qui sont trop éloignées de notre culture pour être perméables à nos arguments. Nous n’avons tout simplement pas les même valeurs. Les enfants martyrs ont-ils un saint patron ? Dans le doute, je propose Sainte Germaine de Pibrac en attendant une éventuelle béatification (qui, je l’espère, sera effective) de la petite Aurore Gagnon. Invoquons la petite bergère toulousaine, voire la petite fille québécoise, pour le repos de l’âme de ces petites victimes sacrifiées par une société tératogène où on laisse passer de telles atrocités pour mieux persécuter de l’autre côté des paisibles familles dont le seul tort est de mal penser religieusement. Prions aussi, elles en ont besoin, pour leurs misérables mères dont les instincts de meurtre ont été flattés par l’ambiance sociale. On autorise les femmes à tuer l’enfant qui est dans leur ventre. On est d’une clémence assez révoltante avec les femmes qui tuent l’enfant qui est sorti de leur ventre. Mais par contre, les mêmes humanistes vont se mobiliser pour sauver la vie du criminel ou du terroriste. Décidément, ce ne sont pas nos valeurs, ce n’est pas notre société, ce n’est pas notre pays. Dans notre peuple, on ne se gargarise pas de prétendus « droits de l’Homme » et de soi-disant « droits de l’enfant », chiffons de papier qui n’engage que les gogos y accordant crédit. A Tradiland, notre Déclaration des Droits de l’Homme, notre Habeas Corpus tient en 10 phrases, celles du Décalogue. Nous accordons, et ce dans tous les cas, le premier et le seul droit indispensable à un enfant, et ce dès sa conception : le droit de vivre. Cela paraît peu, en réalité, c’est tout. Un enfant qui sait qu’il est autre chose que le survivant d’une macabre loterie part déjà avec un avantage dans la vie. Un père et une mère qui s’aiment, qui aiment Dieu leur créateur et qui ont des enfants qu’ils aiment. Cela fait des millénaires que cela dure, alors autant dire que ce système a fait plus que ses preuves. Inutile d’aller expérimenter autre chose : perte de temps et vanités.

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