L'enclos contre-attaque (Editorial du Libre Arverne n°212, 09/11/2006)
(Légende de la photo : "Meurs, pourriture communiste !" (Simon Jeremy, Red is dead))
Ma Lettre ouverte à une jeune dinde parue dans Le Libre Arverne n°203 a fait des vagues. A peine eut-elle été mise en ligne sur le blog du PFC et sur celui du Club Acacia que l’enclos bruissa de glouglous indignés. Voici donc un instituteur écrivain de chez Gallimard, Dominique Boudou, qui collabora à un livre sur la Seconde Guerre Mondiale avec la sinistre stalinienne Annie Lacroix-Riz, négationniste des génocides ukrainiens, essayant de répliquer. Le résultat dépassa mes espérances les plus folles. On sait que les instituteurs sont les gens les plus ouverts et progressistes qui soient. A lire son blog, on a la confirmation que ces messieurs nous préparent les petits gardes rouges de demain. On avait déjà vu comment ils avaient organisé le 21 avril 2002 de véritables « minutes de la haine » avec une jeunesse rendue délibérément inculte et déracinée. Nul doute que la prochaine étape sera le dressage à l’élimination physique des déviants. La gauche l’a toujours fait, pas de raison qu’elle se retienne cette fois. Donc, notre émule de Gérard Klein se lance dans une diatribe contre moi. Manque de chance, il s’y ridiculise totalement, montrant que la faillite de l’Education Nationale n’est pas un vain mot. Pour commencer, il confond allègrement Robert Poujade, ancien député-maire RPR de Dijon avec Pierre Poujade, fondateur du « poujadisme ». Ensuite, on voit très bien qu’il n’a pas lu le blog, il l’a juste regardé superficiellement et n’a retenu non pas ce qui y était écrit mais uniquement ce qui était conforme à ses préjugés et à sa paranoïa. Deux exemples : dans un de ses articles, il parle de « ses trois confrères apparentés FN ». Dans une école primaire de province, où la droite nationale fait moins de 10 %, trois apparentés FN ? Disons que ses « FN » doivent être des apparentés UMP. Mais il est vrai que pour un homme qui visiblement tient à la protection juridique des criminels communistes (normal quand on accepte la compagnie de Lacroix-Riz), l’extrême droite doit commencer à Bayrou. De même, dans sa harangue contre moi, il tremble de trouille en s’imaginant torturé lui et tous ses lecteurs… Il nous prend pour des FTP ou quoi ? De plus, il me prête la volonté d’exterminer les trois-quart de la planète… Je n’ai jamais appelé au moindre conflit contre quelque nation que ce soit (sauf une fois où j’avais demandé l’anéantissement de l’infrastructure MILITAIRE ivoirienne en représailles aux 9 soldats assassinés).Si peu « exterminateur » que je suis même partisan d’un état juif mais ailleurs qu’en Palestine. De plus, j’aurais difficilement pu voir le film de propagande de France 2 sur les crapules de la rue Lauriston (je méprise les tortionnaires professionnels, toutes idéologies confondues) vu que je n’ai pas la télé. De toute façon, de la part des gens qui acclament les tortionnaires de la Résistance, les leçons de morale, je m’en passe volontiers. Passons sur le petit aparté diffamatoire sur la manière forte employée par ses sbires, tout comme je n’ai jamais dit que Le Figaro était un journal gauchiste, prouvant une fois encore qu’il a mal lu, ce qui est le comble pour quelqu’un qui a profession officielle d’éduquer les enfants. Mais comme la République n’a pas besoin de savants, l’Education nationale n’a pas besoin d’éducateurs. Juste des endoctrineurs. Bref, beaucoup de préjugés, nés de la peur et de la non-connaissance de l’autre. Autre que, bien évidemment, on n’a pas du tout envie de connaître. On peut demander beaucoup de choses à un enseignant, sauf d’être ouvert d’esprit (ceci ne concerne pas les enseignants de ma famille et de mes lecteurs, œuf corse…).
Il n’y a pas que chez les instits que la solidarité a joué. Elle s’est étendue à la fonction publique et commissaire Navarro est venu rejoindre Victor Novak. Quand un flic enfile l’uniforme des droits de l’homme et de la tolérance, on sait comment cela se termine : 1793, 1905, 1944, 1962… Le pharisien libéré prêche à la ligne : « Ainsi, posons-nous la question de savoir quelle (sic !) serait notre comportement, si demain notre mission, imposé par un gouvernement extrémiste dans l’autre sens (re-sic !), était de faire la chasse aux Enzo ». La réponse, l’histoire l’a donnée et la donne actuellement. Comme le bon flic verse une larme sur Redeker tout en fermant les yeux sur ses collègues qui persécutent un Thore, un Plantin ou un Faurisson, il obéira aux ordres, et n’hésitera à torturer et massacrer femmes et enfants si on le lui demandait, ayant été bien entendu bien fanatisé au préalable. Je n’ai pas la naïveté de beaucoup de gens de nos milieux sur la police et l’armée, qui ont bien changé mais certes pas changé en bien ! Drapé tel Brutus dans sa toge, vertueux comme un troupeau de Robespierre, notre cyber-Pinot traite son adversaire de virus et de microbe (le genre de chose que l’on extermine) et parade. Le poulet se fait coq : « Nous pouvons nous sentir fier de nous, de notre humanisme et de notre tolérance ». Leur humanisme et leur tolérance, c’est les Lucs-sur-Boulogne, l’affaire des Fiches, les Inventaires, le Grand Bornand, le Fort d’Antibes, la rue d’Isly, la persécution contre la presse libre, l’école libre, l’église libre et la libre recherche… Le jour où le pouvoir passera à la persécution ouverte, et cela risque fort de se faire dès qu’un Sarközy président en aura reçu l’ordre de ses coreligionnaires, nous n’aurons aucune pitié à attendre des flics, de l’armée, des juges, de tout serviteur du pouvoir. Ce qui impliquera per peri refetur, qu’il faudra trouver en nous ce qui nous a manqué en 1793, 1905, 1944 et 1962 : l’implacabilité. La République et ses sbires n’ont ni cœur ni parole. La réponse aux généraux vendéens graciant les prisonniers bleus fut le massacre dans des conditions barbares des femmes et des enfants de Vendée. Chez les Républicains, comme chez les communistes, les talmudistes et les islamistes, la notion de pitié et de pardon n’existe pas. La pitié et le pardon, comme dit le parrain de ma fille : « C’est comme les Saint-Cyriens chargeant en 14 casoar au vent et sabre au clair les mitrailleuses allemandes : très beau et très con… » Il y eut aussi le soutien d’un individu cagoulé dénommé Léon, comme le roi de Bayonne, qui oeuvra dans un registre plus coutumier : usurpation d’identité, divulgation de coordonnées personnelles, bref, protégé par son anonymat, il joue les pousse-aux-crimes bien à l’abri. Tant mieux si sa conscience lui permettra de dormir le jour où ses complices, identifiés et localisés eux, prendront à sa place. Cette affaire d’un jars tombé dans l’enclos des dindons a permis de débusquer ceux qui seront les Ehrenburg, les Guingouin, les Marty de demain. Venus au secours du binôme glougloutant et de leur supplétif, deux volailles cashers vinrent participer à la curée, l’une ayant entraînée l’autre. Disons simplement qu’ils sont fidèles aux prédispositions pathologiques de leur ethnie en ne pratiquant que l’insulte, la délation, la censure. Nous poussons le traditionalisme à avoir des ennemis qui n’ont pas changé en 2000 ans.
Ces cyber-FTP sont des gens potentiellement dangereux. Sans aller bien loin dans l’actualité, le martyr de la petite Elodie à Saint-Quentin, torturée par un gang de beurettes au motif qu’elle était « raciste » (ce qui a été démenti par la direction du foyer) nous le rappelle. Il suffit de lire les contributions de leur blog pour y voir que leur trouille les pousse à déshumaniser totalement l’adversaire. Pour eux, le fâââchiste est une sorte de monstre, intellectuellement inférieur, dont l’élimination est souhaitable. Le refus du dialogue, le refus aussi par mauvaise conscience de lire (et encore moins de condamner) les faits qui à mon sens auraient justifié des représailles ou, dans un autre article, m’amenait à me réjouir du succès du NPD, montre que l’ennemi n’est pas considéré comme un être humain. La gauche s’est toujours servie des artistes et des intellectuels pour théoriser une haine, toujours étendue aux familles des ennemis, que l’on fait généralement massacrer par des « éléments incontrôlés » liquidés une fois devenus encombrants, la récente affaire Bodein annonçant le retour prochain de ce genre de méthodes.
J’avais expliqué la semaine dernière dans mon commentaire du livre du camarade Ryssen que je faisais parti de ceux qui s’exposaient (plutôt qui furent exposés, au départ, nous n’étions pas volontaires, mais maintenant, tels le Johnny Rico de base, on y a prit goût !) en première ligne pour attirer sur eux le feu de l’ennemi et débusquer leurs batteries. Lire tous leurs blogs, y laisser des messages et se faire lyncher, synthétiser les informations récoltées, les recouper, tracer les lignes de contour des alliances et des réseaux, cela aide à cultiver les vertus de patience et d’humilité. Chrétien, on supporte. Vincent et moi, nous avons au moins le réconfort de la prière et de notre famille une fois l’infernale machine éteinte. Quand j’arrive à m’extraire de la ligne de front, loin de ces cochonneries d’insectes contre qui les insecticides de Bayer (ex-IG Farben) ne peuvent rien (si tant est qu’ils aient pu un jour quelque chose), c’est couvert de crachats virtuels, roués de coups chimériques qu’entre deux offensives à repousser, je me régénère parmi les miens. Alice trottine les bras tendus, bouclettes blondes au vent : « Papa, papa… » et se cramponne à mon pantalon. Je la prends dans mes bras et la couvre de bisous : « Ma mirobolance, papa, il vient encore d’en prendre plein la gueule ! C’est pour la cause ma poupette, pour que tu aies un jour un pays ». Elle me regarde de ses grands yeux bleus, ma petite cinquième… Elle me passe sa petite main sur la joue, c’est fort un papa ! L’amour de ses enfants vous protège plus que tous les exosquelettes. Multiplié par six, on est près à désinsectiser la blogosphère, ce champ de bataille où tu ne peux compter ni sur la loi, ni sur l’ordre et où la consigne est limpide : frappe, frappe, pour un coup reçu donne en deux, pour un œil de crevé crève en deux, pour une dent cassée brise une mâchoire. Je me demande comment tiennent ceux qui n’ont pas de soutien derrière eux.
Cette affaire révèle au moins une chose : nous sommes vraiment un autre peuple. Tout dialogue est impossible, comme l’a confirmé Dominique Boudou (je le cite : « Il vaut mieux arrêter d’y répondre car il n’y a pas de parole possible »). Il y a un véritable divorce mental entre deux parties de la société, qui dépasse largement le cadre tradilandais. Depuis que le concept de Tradiland a été rendu public, je suis même assailli de demandes émanant de gens hors de notre communauté et qui préfèrent un statut d’immigrés dans notre nation que de rester un instant de plus en France, ce qui fait dire que Tradiland peut rassembler plus que ses 100.000 habitants, viser plus que la simple indépendance de la Vendée, mais bel et bien devoir rassembler un nombre oscillant entre 4 et 5 millions d’ex-Français, et donc amener de facto la revendication de 10 % du territoire hexagonal, soit une dizaine de départements. Que de clochers en clochers, la blanche colombe aille apporter à nos frères et nos sœurs disséminés sur le territoire d’un pays qui ne veut plus d’eux ce message d’espoir, de paix et de liberté : l’an prochain à Tradiland !
Il n’y a pas que chez les instits que la solidarité a joué. Elle s’est étendue à la fonction publique et commissaire Navarro est venu rejoindre Victor Novak. Quand un flic enfile l’uniforme des droits de l’homme et de la tolérance, on sait comment cela se termine : 1793, 1905, 1944, 1962… Le pharisien libéré prêche à la ligne : « Ainsi, posons-nous la question de savoir quelle (sic !) serait notre comportement, si demain notre mission, imposé par un gouvernement extrémiste dans l’autre sens (re-sic !), était de faire la chasse aux Enzo ». La réponse, l’histoire l’a donnée et la donne actuellement. Comme le bon flic verse une larme sur Redeker tout en fermant les yeux sur ses collègues qui persécutent un Thore, un Plantin ou un Faurisson, il obéira aux ordres, et n’hésitera à torturer et massacrer femmes et enfants si on le lui demandait, ayant été bien entendu bien fanatisé au préalable. Je n’ai pas la naïveté de beaucoup de gens de nos milieux sur la police et l’armée, qui ont bien changé mais certes pas changé en bien ! Drapé tel Brutus dans sa toge, vertueux comme un troupeau de Robespierre, notre cyber-Pinot traite son adversaire de virus et de microbe (le genre de chose que l’on extermine) et parade. Le poulet se fait coq : « Nous pouvons nous sentir fier de nous, de notre humanisme et de notre tolérance ». Leur humanisme et leur tolérance, c’est les Lucs-sur-Boulogne, l’affaire des Fiches, les Inventaires, le Grand Bornand, le Fort d’Antibes, la rue d’Isly, la persécution contre la presse libre, l’école libre, l’église libre et la libre recherche… Le jour où le pouvoir passera à la persécution ouverte, et cela risque fort de se faire dès qu’un Sarközy président en aura reçu l’ordre de ses coreligionnaires, nous n’aurons aucune pitié à attendre des flics, de l’armée, des juges, de tout serviteur du pouvoir. Ce qui impliquera per peri refetur, qu’il faudra trouver en nous ce qui nous a manqué en 1793, 1905, 1944 et 1962 : l’implacabilité. La République et ses sbires n’ont ni cœur ni parole. La réponse aux généraux vendéens graciant les prisonniers bleus fut le massacre dans des conditions barbares des femmes et des enfants de Vendée. Chez les Républicains, comme chez les communistes, les talmudistes et les islamistes, la notion de pitié et de pardon n’existe pas. La pitié et le pardon, comme dit le parrain de ma fille : « C’est comme les Saint-Cyriens chargeant en 14 casoar au vent et sabre au clair les mitrailleuses allemandes : très beau et très con… » Il y eut aussi le soutien d’un individu cagoulé dénommé Léon, comme le roi de Bayonne, qui oeuvra dans un registre plus coutumier : usurpation d’identité, divulgation de coordonnées personnelles, bref, protégé par son anonymat, il joue les pousse-aux-crimes bien à l’abri. Tant mieux si sa conscience lui permettra de dormir le jour où ses complices, identifiés et localisés eux, prendront à sa place. Cette affaire d’un jars tombé dans l’enclos des dindons a permis de débusquer ceux qui seront les Ehrenburg, les Guingouin, les Marty de demain. Venus au secours du binôme glougloutant et de leur supplétif, deux volailles cashers vinrent participer à la curée, l’une ayant entraînée l’autre. Disons simplement qu’ils sont fidèles aux prédispositions pathologiques de leur ethnie en ne pratiquant que l’insulte, la délation, la censure. Nous poussons le traditionalisme à avoir des ennemis qui n’ont pas changé en 2000 ans.
Ces cyber-FTP sont des gens potentiellement dangereux. Sans aller bien loin dans l’actualité, le martyr de la petite Elodie à Saint-Quentin, torturée par un gang de beurettes au motif qu’elle était « raciste » (ce qui a été démenti par la direction du foyer) nous le rappelle. Il suffit de lire les contributions de leur blog pour y voir que leur trouille les pousse à déshumaniser totalement l’adversaire. Pour eux, le fâââchiste est une sorte de monstre, intellectuellement inférieur, dont l’élimination est souhaitable. Le refus du dialogue, le refus aussi par mauvaise conscience de lire (et encore moins de condamner) les faits qui à mon sens auraient justifié des représailles ou, dans un autre article, m’amenait à me réjouir du succès du NPD, montre que l’ennemi n’est pas considéré comme un être humain. La gauche s’est toujours servie des artistes et des intellectuels pour théoriser une haine, toujours étendue aux familles des ennemis, que l’on fait généralement massacrer par des « éléments incontrôlés » liquidés une fois devenus encombrants, la récente affaire Bodein annonçant le retour prochain de ce genre de méthodes.
J’avais expliqué la semaine dernière dans mon commentaire du livre du camarade Ryssen que je faisais parti de ceux qui s’exposaient (plutôt qui furent exposés, au départ, nous n’étions pas volontaires, mais maintenant, tels le Johnny Rico de base, on y a prit goût !) en première ligne pour attirer sur eux le feu de l’ennemi et débusquer leurs batteries. Lire tous leurs blogs, y laisser des messages et se faire lyncher, synthétiser les informations récoltées, les recouper, tracer les lignes de contour des alliances et des réseaux, cela aide à cultiver les vertus de patience et d’humilité. Chrétien, on supporte. Vincent et moi, nous avons au moins le réconfort de la prière et de notre famille une fois l’infernale machine éteinte. Quand j’arrive à m’extraire de la ligne de front, loin de ces cochonneries d’insectes contre qui les insecticides de Bayer (ex-IG Farben) ne peuvent rien (si tant est qu’ils aient pu un jour quelque chose), c’est couvert de crachats virtuels, roués de coups chimériques qu’entre deux offensives à repousser, je me régénère parmi les miens. Alice trottine les bras tendus, bouclettes blondes au vent : « Papa, papa… » et se cramponne à mon pantalon. Je la prends dans mes bras et la couvre de bisous : « Ma mirobolance, papa, il vient encore d’en prendre plein la gueule ! C’est pour la cause ma poupette, pour que tu aies un jour un pays ». Elle me regarde de ses grands yeux bleus, ma petite cinquième… Elle me passe sa petite main sur la joue, c’est fort un papa ! L’amour de ses enfants vous protège plus que tous les exosquelettes. Multiplié par six, on est près à désinsectiser la blogosphère, ce champ de bataille où tu ne peux compter ni sur la loi, ni sur l’ordre et où la consigne est limpide : frappe, frappe, pour un coup reçu donne en deux, pour un œil de crevé crève en deux, pour une dent cassée brise une mâchoire. Je me demande comment tiennent ceux qui n’ont pas de soutien derrière eux.
Cette affaire révèle au moins une chose : nous sommes vraiment un autre peuple. Tout dialogue est impossible, comme l’a confirmé Dominique Boudou (je le cite : « Il vaut mieux arrêter d’y répondre car il n’y a pas de parole possible »). Il y a un véritable divorce mental entre deux parties de la société, qui dépasse largement le cadre tradilandais. Depuis que le concept de Tradiland a été rendu public, je suis même assailli de demandes émanant de gens hors de notre communauté et qui préfèrent un statut d’immigrés dans notre nation que de rester un instant de plus en France, ce qui fait dire que Tradiland peut rassembler plus que ses 100.000 habitants, viser plus que la simple indépendance de la Vendée, mais bel et bien devoir rassembler un nombre oscillant entre 4 et 5 millions d’ex-Français, et donc amener de facto la revendication de 10 % du territoire hexagonal, soit une dizaine de départements. Que de clochers en clochers, la blanche colombe aille apporter à nos frères et nos sœurs disséminés sur le territoire d’un pays qui ne veut plus d’eux ce message d’espoir, de paix et de liberté : l’an prochain à Tradiland !
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