Haro contre "Sartrotsky" (Editorial du Libre Arverne n°143 - 14/07/2005)
Jour après jour, la possibilité d’avoir une France sous la schlague sarközyste devient réalité. Les derniers rebondissements de l’actualité montrent quel avenir nous est réservé par le suppôt du pan-sémitisme triomphant. La France des Sarközy, Coppé, Debré, Cordero Marin alias Chirac, Guedj, Bezaz, Taïfi à droite ; qui n’a d’équivalent à gauche que la France des Fabius, Strauss-Kahn, Hollande, Dray, Guigou, Boutih, Emmanuelli, est celle de la discrimination raciale. C’est la France où Sem écrase du pied la gorge de Japhet. A l’heure actuelle, la menace prioritaire, c’est Sarközy. Soutenu par ses frères de race américains, ce pur produit du ghetto de Salonique marié à une coreligionnaire qui se vantait de n’avoir pas une goutte de sang français dans les veines rêve du pouvoir. Son but ? Terminer le protocole Perlmutter de 1970, transformer la France en colonie de peuplement du Tiers-Monde et réussir par la submersion ethnique ce qui avait échoué par les armes : la destruction de l’Occident chrétien par les peuples du désert si chéris par Sarközy, qui distribue à tour de bras des visas au Maghreb (multiplication par cinq des visas aux Algériens, volonté de faire entrer en masse des « étudiants » tunisiens, expulsion de 40 immigrés clandestins Roms au lieu des 1500 annoncés…), dont la plus proche collaboratrice est Maghrébine (Rachida Dati), dont les protégés à l’UMP le sont tout autant (Amirouche Laïdi, Abderrahmane Dahmane, Salem Kacet) et qui fait reconnaître par la République la religion du colon comme partie intégrante de notre territoire. Sarközy, tout comme Raffarin, est le chantre de la France métisse où le travail de tout un peuple, l’œuvre d’un millénaire de civilisation, est victime d’un véritable rezzou méridional de la part de gens dont la seule réussite fut de piller définitivement le grenier à blé de l’Empire Romain, de survivre pendant des siècles par les razzias et l’esclavage et de détruire en quelques années le fruit de 130 ans de colonisation dû au travail acharné des Pieds-Noirs… Pendant des siècles, le paysan français a semé le grain, récolté le grain, moulu le grain, fait la farine… et à l’heure de manger le gâteau, d’autres – qui n’avaient en rien participé au travail – viennent prendre les meilleurs parts sinon toutes… Rien de nouveau par rapport aux années trente où, comme une nuée de sauterelles, les Hanau, Oustric, Stavisky, Joanovici, Rochenoire venaient piller le travail des autres. A ceci près que la France n’a plus les défenses immunitaires d’autrefois. Nous avons la mémoire longue, et nous savons qu’en Hongrie, pays d’origine de la branche paternelle de Sarközy, les coreligionnaires de sa mère se sont livrés à deux reprises à un génocide massif de la population, le premier en 1919 sous la férule d’Aaron Cohen (Bela Kun ad usum goïm) et le second commencé en 1945 avec l’arrivée dans les fourgons de l’armée rouge de Reich (László Rajk ad usum goïm) et Mathiew Roth Rosenkranz (Mátyás Rákosy ad usum goïm) et terminé en 1956 dans le sang des révoltés de Budapest, écrasés par les chars soviétiques lancés par Youri Faynstein (Youri Andropov ad usum goïm)…
Qui est Sarközy ? Nous ne parlons pas de l’homme lui-même, nous l’avons déjà suffisamment fait dans ces colonnes, mais de l’homme politique. Indubitablement, il est l’héritier de ces révolutionnaires apatrides descendus des ghettos d’Europe orientale et des souks d’Afrique septentrionale, moustiques venus semer la malaria intellectuelle en se répandant de leurs marais urbains que la plus titanesque des guerres ne parvint à assécher. Sarközy et ses sbires, ce n’est ni Mussolini, ni Hitler. C’est Trotsky. Non pas le sabre et le goupillon mais la kalach et la menorah, l’alliance de la révolution apatride avec le capital du même nom. Nous avons maint et maint fois dans nos journaux et dans nos livres fourni les preuves de la collusion entre gros capital et gauchisme. L’actualité récente le confirme une fois encore avec la énième aide fournie par Lagardère à L’Humanité (nous y reviendrons en détail dans la rubrique médiats), le journal fondé par les grosses banques juives parisiennes (Rothschild, Louis-Dreyfus, Lévy-Picard…). L’URSS, nous l’avons dis notamment dans Le Libre Arverne n°61 et L’Imposture antiraciste, ayant été créée, financée et pillée par les mêmes organismes. « Nous communions avec le marxisme intégral, parce qu’il est l’arme de notre nationalisme. Le marxisme, direz-vous, est aux antipodes du capitalisme qui nous est également sacré. C’est précisément parce qu’ils sont aux antipodes l’un et l’autre qu’ils nous livrent les deux pôles de la planète et nous permettent d’en être l’axe » déclaraient en 1921 le patron de la banque juive Kuhn & Loeb (principale bailleuse de fond de l’URSS) au comte de Saint-Aulaire lors du premier génocide hongrois… On ne peut pas parler de l’alliance des deux idéologies matérialistes en France sans évoquer la banque Lazard. Comme ses coreligionnaires Mendes-France, Emmanuelli et mesdames Chevènement et Badinter, Sarközy est lié à ce sinistre établissement d’affaire principal responsable de la désertification de nos campagnes et de la destruction de notre société. La solidarité raciale n’étant pas un vain mot chez ces gens là, le petit Nicolas était un intime de feu le banquier Edouard Stern, lié à Lazard par le sang. Sarközy, ce n’est pas seulement un homme, c’est une tribu comme il sied aux fils de Sem. Dans ce couscous clan, comment ne pas évoquer Guillaume, son frère aîné, et le rôle qu’il joue au « syndicat patronal » MEDEF, sorte de coterie où des technocrates et des hauts fonctionnaires issu de l’énarchie soviétisante prétendent représenter des chefs d’entreprises qu’ils ne sont pas, qu’ils ne seront jamais, et dont 85 % les rejettent, syndicat de faillite de notre économie longtemps entre les mains du trotskiste lambertiste Sellières, ami intime et camarade internationaliste de Jospin, et du maoïste Kessler, désormais remplacés par une autre gauchiste (voir notre article en rubrique politique). Le MEDEF, rappelons-le, c’est la poursuite sous la forme « capitaliste apatride » de la révolution. Capitalisme apatride, socialisme apatride, cela reste apatride. Méditons la phrase des dirigeants juifs internationaux et souvenons-nous que Marx et Rothschild ne sont que les deux faces d’une même médaille, Marx le riche boursicoteur adepte du droit de cuissage, Engels le patron d’usine finançant « le socialisme » avec l’argent gagné en exploitant les ouvriers, Lénine le propriétaire terrien spoliateur de paysans… La sarabande infernale des Lénine, Rothschild, Marx, Rockefeller, Trotsky, Morgan ramène toujours l’oiseau dans le même nid (voir nos articles sur la question dans Le Libre Arverne n°61 et n°64 notamment…). Deux bras, un cerveau. Le banquier « américain » Rosenberg communie toujours à l’unisson de son frère le commissaire politique «soviétique » Rosenberg. Les chemins semblent différents mais le but est le même. In nomine protocolis…
Quelle est l’idéologie de Sarközy ? Ni droite, ni gauche : mondialiste apatride. Enfin, pas si apatride que cela, plutôt du genre tenant du peuple élu, de la race supérieure… C’est le monde des soi-disant « néo-conservateurs » américains qui pullulent dans l’entourage de Bush, symbolisé par Wolfowitz, qui, comme j’ai été le premier à le révéler en France avant de me faire piller comme d’habitude (pillé par Kahn, par Zemmour, par Finkelkraut… il y a des atavismes caricaturaux !), est de culture politique trotskiste et anti-chrétienne. Nous développerons dans l’éditorial du n°147 comment le gouvernement du luciférien Bush et sa clique talmudique va mener une guerre d’extermination totale contre les chrétiens, essentiellement les catholiques, in nomine protocolis. Mais déjà, nous pouvons évoquer les grandes lignes de ce plan tel que l’a dévoilé le sioniste repenti Pat Robertson, auquel nous préférons l’autre Pat, Buchanan. Robertson n’est pas de notre chapelle, mais il dit parfois des choses fort sensées : « Certaines lois du Congrès, signées par le président des Etats-Unis, sont soutenus par toute la puissance du FBI et du département de la Justice. Le moment est venu où, en Amérique, le gouvernement fédéral partira à la chasse aux chrétiens et les traînera en justice parce qu’ils osent protester contre les massacres des enfants à naître, contre le soutien gouvernemental aux pratiques homosexuelles. Au lieu que ce soient ceux qui trangressent la loi de Dieu qui sont jugés comme des criminels, ce sont ceux qui la suivent et la soutiennent qui sont combattus comme des ennemis de l’Etat ». Les mentors américains du sieur Sarközy veulent continuer leur politique d’extermination de la résistance goy en appliquant sous le nom de « libéralisme » aux Etats-Unis ce qui a été appliqué sous le nom de « bolchevisme » en Russie, comme nous l’étudierons plus en détail dans le 147. Et le tout réalisé au nom du nouvel avatar de l’éternel serpent, le mondialisme ploutocratique, né des amours tératogènes de Marx et Rothschild.
Sarközy et ses amis ont été à l’origine du sinistre rapport Ruffin (voir notre éditorial dans le n°109) qui va transformer la France en dictature soviétique, faisant de chaque écrivain non-conformiste un criminel par la pensée, comme le prophétisait Orwell qui, de par ses opinions révisionnistes, serait aujourd’hui l’une des premières victimes de cette dictature en compagnie du premier de ces nouveaux martyrs, Ernst Zündel. N’oublions pas que le père politique des « néo-conservateurs » est Leo Strauss, disciple de « l’humaniste juif » Maïmonide (dont nous avons révélé dans Le Libre Arverne n°104 le vrai visage : partisan de l’extermination des chrétiens), et partisan de la thèse du « surhomme juif », être supérieur divin ne respectant ni bien, ni mal et placé au-dessus du goy, renvoyé à sa condition talmudique de « semence d’animal ». Sarközy est l’un des leurs, c’est leur modèle de société qu’il préconise : haine anti-nationale et anti-chrétienne, affiliation à Eretz Israël, sur lesquels certains nazis d’origine ou de culture judaïsante avaient fantasmé en prônant sa version goy avec la Grossdeutschland, destruction de l’économie traditionnelle au profit de cartels et de trusts dirigés par les frères de sang ou de synthèse et donc, plus d’immigration pour détruire les acquis sociaux, plus de cosmopolitisme pour supprimer toute révolte populaire, plus de répression contre les identitaires pour empêcher toute contestation de la grande technocratie fabienne universelle. On en veut pour preuve non pas les paroles, mais les actes du quasi-sosie du maréchal des Logis chef Ludovic Cruchot (interprété par Louis de Funès dans la célèbre série des « gendarmes »).
Quand Sarközy écrit des biographies, qui sont ses héros ? Jéroboam Rothschild (Georges Mendel ad usum goïm), planqué de la guerre de 14-18 avide en 1939 de faire couler une nouvelle fois à flots le sang goy, homme de gauche employé par Clemenceau pour solder une facture à son papa tailleur et fusible idéal (le vieux tigre radical lançant, cynique et méprisant : « Quand Clemenceau pète, c’est Mendel qui pue »), ministre des PTT inventeur des écoutes téléphonique et démissionné sous les huées de ses fonctionnaires, faux normalien, faux universitaire, assassin en 1940 d’adversaires politiques qui conclu une vie méprisable par une fin l’étant tout autant : abattu à la sauvette par trois « justiciers » auto-proclamés voulant venger Philippe Henriot… Quand Sarközy choisit un journal pour donner en exclusivité son plan de ministre des Finances en mai 2004, il choisit le quotidien Le Monde, dirigé par le trotskiste Plenel et financé par Guinzburg des B’naï B’rith. Quand en juin 2004 il choisit deux ministres européens pour une motion commune sur l’économie, il prend les socialistes Gordon Brown (Grande-Bretagne) et Hans Eichel (Allemagne). Quand Sarközy organise une petite fête chez lui le 5 avril 2004, qui sont ses amis présents ? Une part importantes des anciens staliniens et maoïstes juifs continuant la révolution par un autre chemin (Adler, Finkelkraut, Glucksman), leurs cautions goïm fanatiquement pro-israélienne, suivant leur route en portant les bagages (Sollers, Bruckner – encore que la goïtude de ce dernier soit sujette à « Lévy-caution »), leur frères de sang de « la presse de droite » (Slama)… Quand Sarközy travaille sur l’insécurité, sur qui se repose-t-il ? L’ancien gourou de la secte anti-chrétienne du Grand Orient Alain Bauer (le roi du flicage par vidéo pour le compte des mairies socialistes), filiale des Illuminati, cette organisation talmudique fondée par Weishaupt, financées par plusieurs milliardaires apatrides et dont les 5e et 6e chefs furent respectivement Lénine et Trotsky. Quand il s’épanche dans un livre d’entretien, Au bout de la passion, l’équilibre, à qui confie-t-il le soin de l’interviewer ? A l’animateur vedette de la chaîne de gauche Canal Plus Michel Denisot, qui n’a jamais caché son statut d’électeur d’extrême gauche, chaîne dont il invita le patron, le communiste Pierre Lescure, pour ses quarante ans… Voilà qui est Sarközy.
La France de Sarközy, c’est Shylock roi, c’est la France à l’encan, c’est une France qui n’est plus notre France, qui n’est plus la France, qui n’est plus que leur France, avec ses lois, ses dogmes, ses protocoles… Nous en voulons pour preuve la déclaration de Sarközy le 21 octobre 2003, quand il déclarait : « Quand un Juif est injurié, toute la communauté nationale est injuriée ». Quand un simple Français l’est, personne n’est injurié comme nous le verrons plus bas… Le 12 mai 2003, il recevait le prix Simon Wiesenthal (du nom du célèbre mythomane chasseur de fantômes) attribué par la secte raciste des B’naï B’rith et par la sinistre Anti-Defamation League, ayant eu des ennuis avec le FBI pour sa manie de ficher et d’espionner illégalement les citoyens américains en utilisant des policiers juifs infiltrés et qui décora Chirac le 16 février 2000 pour sa « lutte contre l’antisémitisme ». A noter que lors du protocole du colloque Dieu a-t-il besoin de la République ?, il fit passer le Grand Rabbin avant l’évêque. Cela veut tout dire. Devant ces Trotsky, on se demande ce que font les Staline : on est prêts à se cotiser pour l’achat des piolets…
Quelle France nous réserve Sarközy ? C’est la France de la justice de race. Pour imposer leur loi, Sarközy et les siens discriminent ouvertement la population autochtone de ce pays. Le 10 juillet, lors de l’Université d’été du Parti Radical, il évoqua une fois encore sa marotte de la « discrimination positive ». L’idée, nous l’avons déjà dis dans ce journal, vient de Yazid Sabeg qui l’a évoqué pour la première fois officiellement le 24 novembre 2004. Elle vise a accorder des privilèges à ses protégés en prenant pour prétexte les prétendues « discriminations » dont ils seraient victimes et qui ne se fondent sur aucune réalité concrète. Sarközy évoqua également la sinistre loi de 1905 en des termes assez intéressants. Pour lui, elle doit être assouplie pour l’intérêt des musulmans car désormais, il y a 5 millions de musulmans en France (en réalité, 7 ou 8 millions). Preuve supplémentaire que cette loi visait à détruire la religion catholique et elle seule. Le catholique a du faire toutes les concessions, le juif et le musulman, eux, n’ont que des avantages, enfants chéris de la République. D’où la nécessité pour ce qui reste de catholiques dans ce pays (environ 1,2 million de personnes) d’avoir un état indépendant, loin des Républicains et du clergé collabo. Le lendemain, à Marseille, il évoquait la création d’une «mission sur les besoins de la France en immigrés » qui rendra ses conclusions en mars 2006 visant à faire venir en France encore plus d’étudiants étrangers alors que le marche de l’emploi est déjà engorgée par trop d’étudiants, nécessitant une réforme totale de l’éducation nationale.
Comme le signalait à juste titre le Front National : « On peut penser que cela ne fera qu’empirer les choses, en entraînant des conflits au sein des entreprises qui n’avaient pas besoin de cela sans la situation économique actuelle. Ensuite, cela fera des « discriminés positivement », des gens suspectés d’incompétence et décrétés inférieurs par l’Etat au seul critère de leur faciès, et en faisant des « discriminés négativement » des gens révoltés à juste titre par cette injustice ». A nous de leur faire comprendre que leur ennemi n’est pas le pauvre type qui leur vole leur travail mais la République et la démocratie qui imposent cet état de fait. Plus loin, le FN déclare, toujours à juste titre : « Lorsque Sarközy et l’UMPS dénoncent le « racisme » responsable de la « discrimination » actuelle, cela est l’aveu que les critères utilisés pour compenser cette tendance seront par conséquent, eux aussi racistes ». Et le parti à la flamme de conclure : « des Français de souche sont, chez eux, chassés du marché du travail pour les remplacer de force par des immigrés provenant d’une « minorité visible », et nos racine chrétiennes ont remplacées petit à petit par une civilisation musulmane, cela par volonté d’Etat ». Analyse pertinente, à laquelle nous souscrivons ô combien. Quel dommage que le Front National ait raté le coche en refusant de devenir le parti communautariste que le peuple attendait et qu’il a préféré financer avec les mânes de l’état des permanents plutôt que de se lancer dans une politique culturelle audacieuse qui lui aurait rendu bien des services lors de l’entre-deux tours. Ah ! S’ils avaient lu Gramsci à Saint-Cloud… Car l’heure est grave : le lobby allogène a ainsi lancé une nouvelle provocation anti-gauloise : « les indigènes de la République », dénonçant les discriminations dont prétendent être victimes les « fils et filles de colonisés et d’immigrés ». C’est-à-dire des gens qui, après nous avoir chassés de leur pays, ont l’impudence de vouloir nous prendre le nôtre. Car les indigènes, les vrais indigènes de la France, ce sont les Gaulois de race blanche et de culture chrétienne. Le premier nom du Parti Français Chrétiens était d’ailleurs le Parti des Français Indigènes. Les mercenaires de la République savent être reconnaissants et considèrent celle-ci comme leur mère et comme les vrais propriétaires du sol. Il n’y a plus aucun mot pour désigner la population primitive de ce qui a été notre pays, preuve qu’elle n’y a plus sa place : Français ne veut plus rien dire, Blanc est interdit légalement, Indigène a été volé, Gaulois est devenu une insulte raciste… Il ne leur reste plus rien. Je parle à la troisième personne car cela ne me concerne plus. Je ne suis plus Français au sens actuel du mot. Ich bin ein Tradilander !
Cette volonté régimiste de favoriser les allogènes n’est pas nouvelle. Elle se constate depuis toujours. Nous en parlerons en détail dans le prochain numéro. Nous allons nous contenter pour le moment d’exemples récents impliquant le gouvernement actuel en général et Sarközy en particulier. Il suffit de regarder la différence des peines et l’opportunité ou non des poursuites du Parquet dans les cas de racisme. Pour défendre ses protégés, la justice républicaine de Sarközy et de ses amis n’hésitent pas à créer un droit spéciaux pour eux. Nous avons vu à de nombreuses reprises dans nos livres et journaux que, pour éviter de les condamner, la justice n’avait pas hésité à déclaré « irresponsables » des Maghrébins meurtriers ou ayant profané des cimetières chrétiens (ils deviennent bien sûr totalement responsables quand leurs victimes sont juives…). Le groupe allogène Sniper peut inciter au meurtre dans sa chanson La France, la juge Véronique Berthiau-Jézéquel (de Rouen) déclare que « l’élément matériel d’une provocation non suivie d’effet était établie » mais qu’un Blanc s’avise de faire de même et là, c’est la répression : un jeune homme de 21 ans a ainsi été condamné à six mois de prison avec sursis et à 3.800 euros de rançon a versé aux associations anti-françaises (SOS-Racisme, MRAP, ACPEA, LDH) pour avoir diffuser sur Internet les chansons «d’un groupe néo-nazi » (pas de nom donné, et pour cause, il n’y a pas de groupe musicaux néo-nazis depuis au moins 15 ans), probablement les parodies du groupe Suprême MRAP dont nous avions parlé dans Le Libre Arverne n°4, provocation qui n’a pas été plus suivie d’effet que celles de Sniper. En matière d’insultes raciales, mêmes justifications : dans la bouche d’un Maghrébin, le terme « enculé de ta race » n’est pas raciste car elle serait « commune » chez ces gens là, «exprimant généralement un violent dépit mêlé d’une incoercible colère ». Acquitté donc le sieur Omar Hatem, commerçant dans le XVIIIe arrondissement, qui a la chance d’être de la bonne ethnie. Confirmation supplémentaire que n’existent aux yeux de la justice de l’UMPS que trois sortes de racismes : Blancs contre Noirs et Arabes ; Noirs et Arabes contre Juifs ; Blancs contre Juifs. Le Blanc étant une « race inférieure » n’ayant le droit ni à sa dignité, ni au droit à la révolte. Quoi que ce dernier droit ne s’accorde pas : il se prend ! Avec Sarközy au pouvoir, ce genre de choses ira en s’accroissant. On assistera à une nouvelle hiérarchie raciale à la babylonienne, avec « les hommes » (les Juifs), « les mesquins » (les Maghrébins et les Noirs) et les « esclaves » (la majorité des Blancs). Plus une quatrième classe plus indienne, « les intouchables » (boucs émissaires du régime : vrais catholiques, historiens dissidents, opposants au régime).
Quand un concert allogène est interdit, comme celui du Jamaïcain Capleton, ce n’est pas parce qu’il prône la violence contre les Blancs mais contre les homos, autre catégorie bénéficiant d’avantages judiciaires. Mais peut-être qu’après tout la République nous considère comme la race supérieure, comme une mère qui ne laisserait rien passer à ses enfants plus doués et plus intelligents mais ferait preuve de mensuétude pour ses enfants plus limités (« Tu sais, ce n’est pas de la faute de ton frère, il n’est pas responsable, tu dois tout lui céder car il est trop con pour réussir seul et se défendre seul… »). Pour la République, le surhomme Nietzschéen existe : il est Blanc, chrétien, de droite, hétérosexuel ayant fondé une famille et de profession libérale et artisanale. Vu sous cet angle, dans la grande course de Formule 1 de la vie, on s’entend dire : « Non Monsieur Schumacher, vous êtes trop fort. Laissez la Ferrari aux mauvais pilotes et prenez la Minardi ». Comme dit « l’humoriste » Jean-Marie Bigeard qui jette quelques pièces d’intelligence dans un égout de grossièretés : « Si les Noirs gagnent au 100 mètres, ce n’est pas parce qu’ils sont les plus forts, c’est parce que les Blancs les laissent gagner pour ne pas être traités de racistes… ». Blague à part, qu’on ne vienne pas nous parler « d’égalité des hommes » : soit on nous discrimine parce qu’on est les meilleurs et dans ce cas, les racistes ont raison et les races sont inégales ; soit on nous discrimine par délit de sale gueule et dans ce cas, le régime ne tient pas compte de son propre principe d’égalité et d’antiracisme, montrant toute l’hypocrisie de ce dernier.
Nous avons abondamment parlé dans ces colonnes du martyr de notre petite Jeanne-Marie (cf. Libre Arverne n° 88, 90, 92, 95, 100, 105 et 109). Dans son numéro du 1er juillet, nos confrères de Rivarol révèlent une information capitale qui éclaire cette affaire d’un jour nouveau. Nous avions été les premiers à soutenir l’hypothèse que Pierre Bodein était en quelque sorte en « mission commandée » car le fait que les trois victimes aient un profil similaire ne peut pas être une coïncidence, même si l’Alsace est un bastion de droite : trois victimes sur trois ayant des parents proches ou membre du Front National ; trois victimes sur trois catholiques pratiquantes dont une au moins traditionaliste, la probabilité statistique est trop élevée pour être fortuite. Bodein était, nous nous en doutions, probablement « en mission ». A l’époque, j’avais demandé haut et fort le nom de celui qui l’avait fait libérer. Maintenant nous le savons. Et comme disait le camarade Pikov dans Twist again à Moscou : « Ça se confirme… ». Nous avions démontré que Jeanne-Marie (et probablement Hedwige et Julie) avait été victime d’un rituel de sorcellerie gitane, un sacrifice humain, assez proche de la kabbale talmudique et visant à lever la malédiction pesant sur le clan avec des sacrifices plaisant au Prince de ce monde. Or, qui est le juge qui a libéré Bodein ? Un certain Alain Hahn, patronyme, ô quelle surprise, on ne peut plus juif et qui est défendu, ô toujours surprenant, par le très gauchisant et sémite Syndicat de la Magistrature. Comme disait mon vieux maître Coston : « les coïncidences, ça n’existe pas ». Pourquoi le sieur Hahn s’est retrouvé au centre de l’actualité ? Parce qu’il a aussi fait libérer Patrick Gateau, condamné à perpétuité pour viol et meurtre. Détail, Hahn est juge à Colmar, dont dépend la prison d’Enseisheim, bien connue de nos lecteurs puisque elle est celle où fut incarcéré Michel Lajoye avant son transfert (en attendant une éventuelle libération conditionnelle en 2006 s’il peut justifier d’un emploi et d’un logement, affaire à surveiller…). Lui aussi a été condamné à perpétuité alors qu’il n’a ni tué, ni blessé. Mais c’est Gateau qui a été libéré. Une fois dehors, ce dernier va massacrer Nelly Crémel, femme d’un officier de police après avoir paradé à la télévision chez Laurent Ruquier comme l’avait fait avant lui Patrick Henry (dans une autre émission), meurtrier d’enfant condamné puis libéré avant de retourner en prison. Gateau et Bodein ne sont pas des cas isolés : sans remonter jusqu’aux serial killers racistes Thierry Paulin et Jean-Thierry Mathurin, coqueluches de la nomenclatura bien connus de la police (Paulin avait été relâché 4 fois pour divers agressions et n’avais jamais fait la peine de prison pour laquelle il avait été condamné en 1983…), un violeur libéré il y a quatre mois a immédiatement récidivé en s’en prenant le 20 juin a une collégienne de 13 ans qu’il avait tenté d’enlever à Roquebrune pour la violer.
A noter d’ailleurs les habituelles campagnes de falsification de l’extrême gauche et de sa presse. Dans son édition du 22 juin, Le Monde nous présente Sarközy comme un home qui « droitise son discours pour attirer l’électorat d’extrême droite ». Or, c’est exactement le contraire… Ce n’est pas à n’importe quel moment qu’il évoqua sa volonté de « nettoyer la Cité des 4000 », mais juste après la mort malencontreuse d’un jeune enfant maghrébin, Sidi Ahmed Hammache, suite à un règlement de compte tribal. Qu’un « de souche » meurt de la délinquance, cela ne concerne en rien Sarközy, mais qu’un jeune musulman périsse et immédiatement, le levantin intervient, parade. Ce message, combiné aux harangues du gouvernement sur « la lutte contre le racisme » est clair et montre ses préférences : la délinquance et le racisme ne sont odieux que lorsque les demi-frères en Abraham en sont les victimes. Les sous-hommes japhétistes peuvent crever en silence. Doivent crever en silence d’ailleurs, si on en juge la répression féroce contre tout ce qui ressemble à un mouvement identitaire autochtone (voir la récente dissolution d’Elsass Korps, qui n’avait aucun acte criminel à son passif, alors que les milices d’extrême gauche genre SCALP ou même les milices syndicales de la CGT et de la CNT, les milices d’invertis comme Act Up ! (à noter que Sarközy ne s’est pas déplacé lors de leur agression anti-catholique du 5 juin à Notre-Dame, n’évoquant le fait que devant les 1800 nouveaux membres de son parti le 18 juin, mais sans suivre sa propagande hypocrite d’effet…) ou les milices juives comme le Betar paradent et agressent en toute impunité). Le 9 juin, Sarközy faisant monter en ligne ses protégés mauresques lors de la Convention de l’UMP sur l’immigration, au grand déplaisir de la base. Le souhait des pachas ? Leur part dans le contrôle des médiats au fait qu’ils seraient une « minorité visible ». Un militant UMP rétorqua que lui aussi était membre d’une « minorité visible » puisque blond aux yeux bleus. « Oui, mais vous n’êtes pas l’objet de contrôles de police intempestifs ». La récente actualité montre que ceux qui posent des bombes à Londres, à Bali, en Egypte, en Israël, à Madrid, à Moscou font hélas partie d’une « minorité visible » qui n’est pas blonde aux yeux bleus et que ce ne sont pas ces derniers qui occupent 60 % des places de prisons pour officiellement moins de 10 % de la population. Les pachas voulurent également régulariser une partie des clandestins (leur 5e colonne), ce qui provoqua les huées de la base. Il faut dire que c’est Abderrahmane Dahmane, secrétaire national du parti majoritaire, qui l’avait proposé. Cela serait mieux passé si Sarközy en avait été le père. Aux discriminations raciales et religieuses s’ajoutent aussi les discriminations politiques, faisant de 18 % des Français des exclus intégraux sur la terre de leurs ancêtres, et ce en total violation de l’article 11 de leur prétendue « Déclaration des Droits de l’Homme ». Nous verrons en quoi dans le prochain numéro ainsi que les solutions à apporter. La priorité politique du moment, c’est la neutralisation impérative de « Sartrotsky »…
Qui est Sarközy ? Nous ne parlons pas de l’homme lui-même, nous l’avons déjà suffisamment fait dans ces colonnes, mais de l’homme politique. Indubitablement, il est l’héritier de ces révolutionnaires apatrides descendus des ghettos d’Europe orientale et des souks d’Afrique septentrionale, moustiques venus semer la malaria intellectuelle en se répandant de leurs marais urbains que la plus titanesque des guerres ne parvint à assécher. Sarközy et ses sbires, ce n’est ni Mussolini, ni Hitler. C’est Trotsky. Non pas le sabre et le goupillon mais la kalach et la menorah, l’alliance de la révolution apatride avec le capital du même nom. Nous avons maint et maint fois dans nos journaux et dans nos livres fourni les preuves de la collusion entre gros capital et gauchisme. L’actualité récente le confirme une fois encore avec la énième aide fournie par Lagardère à L’Humanité (nous y reviendrons en détail dans la rubrique médiats), le journal fondé par les grosses banques juives parisiennes (Rothschild, Louis-Dreyfus, Lévy-Picard…). L’URSS, nous l’avons dis notamment dans Le Libre Arverne n°61 et L’Imposture antiraciste, ayant été créée, financée et pillée par les mêmes organismes. « Nous communions avec le marxisme intégral, parce qu’il est l’arme de notre nationalisme. Le marxisme, direz-vous, est aux antipodes du capitalisme qui nous est également sacré. C’est précisément parce qu’ils sont aux antipodes l’un et l’autre qu’ils nous livrent les deux pôles de la planète et nous permettent d’en être l’axe » déclaraient en 1921 le patron de la banque juive Kuhn & Loeb (principale bailleuse de fond de l’URSS) au comte de Saint-Aulaire lors du premier génocide hongrois… On ne peut pas parler de l’alliance des deux idéologies matérialistes en France sans évoquer la banque Lazard. Comme ses coreligionnaires Mendes-France, Emmanuelli et mesdames Chevènement et Badinter, Sarközy est lié à ce sinistre établissement d’affaire principal responsable de la désertification de nos campagnes et de la destruction de notre société. La solidarité raciale n’étant pas un vain mot chez ces gens là, le petit Nicolas était un intime de feu le banquier Edouard Stern, lié à Lazard par le sang. Sarközy, ce n’est pas seulement un homme, c’est une tribu comme il sied aux fils de Sem. Dans ce couscous clan, comment ne pas évoquer Guillaume, son frère aîné, et le rôle qu’il joue au « syndicat patronal » MEDEF, sorte de coterie où des technocrates et des hauts fonctionnaires issu de l’énarchie soviétisante prétendent représenter des chefs d’entreprises qu’ils ne sont pas, qu’ils ne seront jamais, et dont 85 % les rejettent, syndicat de faillite de notre économie longtemps entre les mains du trotskiste lambertiste Sellières, ami intime et camarade internationaliste de Jospin, et du maoïste Kessler, désormais remplacés par une autre gauchiste (voir notre article en rubrique politique). Le MEDEF, rappelons-le, c’est la poursuite sous la forme « capitaliste apatride » de la révolution. Capitalisme apatride, socialisme apatride, cela reste apatride. Méditons la phrase des dirigeants juifs internationaux et souvenons-nous que Marx et Rothschild ne sont que les deux faces d’une même médaille, Marx le riche boursicoteur adepte du droit de cuissage, Engels le patron d’usine finançant « le socialisme » avec l’argent gagné en exploitant les ouvriers, Lénine le propriétaire terrien spoliateur de paysans… La sarabande infernale des Lénine, Rothschild, Marx, Rockefeller, Trotsky, Morgan ramène toujours l’oiseau dans le même nid (voir nos articles sur la question dans Le Libre Arverne n°61 et n°64 notamment…). Deux bras, un cerveau. Le banquier « américain » Rosenberg communie toujours à l’unisson de son frère le commissaire politique «soviétique » Rosenberg. Les chemins semblent différents mais le but est le même. In nomine protocolis…
Quelle est l’idéologie de Sarközy ? Ni droite, ni gauche : mondialiste apatride. Enfin, pas si apatride que cela, plutôt du genre tenant du peuple élu, de la race supérieure… C’est le monde des soi-disant « néo-conservateurs » américains qui pullulent dans l’entourage de Bush, symbolisé par Wolfowitz, qui, comme j’ai été le premier à le révéler en France avant de me faire piller comme d’habitude (pillé par Kahn, par Zemmour, par Finkelkraut… il y a des atavismes caricaturaux !), est de culture politique trotskiste et anti-chrétienne. Nous développerons dans l’éditorial du n°147 comment le gouvernement du luciférien Bush et sa clique talmudique va mener une guerre d’extermination totale contre les chrétiens, essentiellement les catholiques, in nomine protocolis. Mais déjà, nous pouvons évoquer les grandes lignes de ce plan tel que l’a dévoilé le sioniste repenti Pat Robertson, auquel nous préférons l’autre Pat, Buchanan. Robertson n’est pas de notre chapelle, mais il dit parfois des choses fort sensées : « Certaines lois du Congrès, signées par le président des Etats-Unis, sont soutenus par toute la puissance du FBI et du département de la Justice. Le moment est venu où, en Amérique, le gouvernement fédéral partira à la chasse aux chrétiens et les traînera en justice parce qu’ils osent protester contre les massacres des enfants à naître, contre le soutien gouvernemental aux pratiques homosexuelles. Au lieu que ce soient ceux qui trangressent la loi de Dieu qui sont jugés comme des criminels, ce sont ceux qui la suivent et la soutiennent qui sont combattus comme des ennemis de l’Etat ». Les mentors américains du sieur Sarközy veulent continuer leur politique d’extermination de la résistance goy en appliquant sous le nom de « libéralisme » aux Etats-Unis ce qui a été appliqué sous le nom de « bolchevisme » en Russie, comme nous l’étudierons plus en détail dans le 147. Et le tout réalisé au nom du nouvel avatar de l’éternel serpent, le mondialisme ploutocratique, né des amours tératogènes de Marx et Rothschild.
Sarközy et ses amis ont été à l’origine du sinistre rapport Ruffin (voir notre éditorial dans le n°109) qui va transformer la France en dictature soviétique, faisant de chaque écrivain non-conformiste un criminel par la pensée, comme le prophétisait Orwell qui, de par ses opinions révisionnistes, serait aujourd’hui l’une des premières victimes de cette dictature en compagnie du premier de ces nouveaux martyrs, Ernst Zündel. N’oublions pas que le père politique des « néo-conservateurs » est Leo Strauss, disciple de « l’humaniste juif » Maïmonide (dont nous avons révélé dans Le Libre Arverne n°104 le vrai visage : partisan de l’extermination des chrétiens), et partisan de la thèse du « surhomme juif », être supérieur divin ne respectant ni bien, ni mal et placé au-dessus du goy, renvoyé à sa condition talmudique de « semence d’animal ». Sarközy est l’un des leurs, c’est leur modèle de société qu’il préconise : haine anti-nationale et anti-chrétienne, affiliation à Eretz Israël, sur lesquels certains nazis d’origine ou de culture judaïsante avaient fantasmé en prônant sa version goy avec la Grossdeutschland, destruction de l’économie traditionnelle au profit de cartels et de trusts dirigés par les frères de sang ou de synthèse et donc, plus d’immigration pour détruire les acquis sociaux, plus de cosmopolitisme pour supprimer toute révolte populaire, plus de répression contre les identitaires pour empêcher toute contestation de la grande technocratie fabienne universelle. On en veut pour preuve non pas les paroles, mais les actes du quasi-sosie du maréchal des Logis chef Ludovic Cruchot (interprété par Louis de Funès dans la célèbre série des « gendarmes »).
Quand Sarközy écrit des biographies, qui sont ses héros ? Jéroboam Rothschild (Georges Mendel ad usum goïm), planqué de la guerre de 14-18 avide en 1939 de faire couler une nouvelle fois à flots le sang goy, homme de gauche employé par Clemenceau pour solder une facture à son papa tailleur et fusible idéal (le vieux tigre radical lançant, cynique et méprisant : « Quand Clemenceau pète, c’est Mendel qui pue »), ministre des PTT inventeur des écoutes téléphonique et démissionné sous les huées de ses fonctionnaires, faux normalien, faux universitaire, assassin en 1940 d’adversaires politiques qui conclu une vie méprisable par une fin l’étant tout autant : abattu à la sauvette par trois « justiciers » auto-proclamés voulant venger Philippe Henriot… Quand Sarközy choisit un journal pour donner en exclusivité son plan de ministre des Finances en mai 2004, il choisit le quotidien Le Monde, dirigé par le trotskiste Plenel et financé par Guinzburg des B’naï B’rith. Quand en juin 2004 il choisit deux ministres européens pour une motion commune sur l’économie, il prend les socialistes Gordon Brown (Grande-Bretagne) et Hans Eichel (Allemagne). Quand Sarközy organise une petite fête chez lui le 5 avril 2004, qui sont ses amis présents ? Une part importantes des anciens staliniens et maoïstes juifs continuant la révolution par un autre chemin (Adler, Finkelkraut, Glucksman), leurs cautions goïm fanatiquement pro-israélienne, suivant leur route en portant les bagages (Sollers, Bruckner – encore que la goïtude de ce dernier soit sujette à « Lévy-caution »), leur frères de sang de « la presse de droite » (Slama)… Quand Sarközy travaille sur l’insécurité, sur qui se repose-t-il ? L’ancien gourou de la secte anti-chrétienne du Grand Orient Alain Bauer (le roi du flicage par vidéo pour le compte des mairies socialistes), filiale des Illuminati, cette organisation talmudique fondée par Weishaupt, financées par plusieurs milliardaires apatrides et dont les 5e et 6e chefs furent respectivement Lénine et Trotsky. Quand il s’épanche dans un livre d’entretien, Au bout de la passion, l’équilibre, à qui confie-t-il le soin de l’interviewer ? A l’animateur vedette de la chaîne de gauche Canal Plus Michel Denisot, qui n’a jamais caché son statut d’électeur d’extrême gauche, chaîne dont il invita le patron, le communiste Pierre Lescure, pour ses quarante ans… Voilà qui est Sarközy.
La France de Sarközy, c’est Shylock roi, c’est la France à l’encan, c’est une France qui n’est plus notre France, qui n’est plus la France, qui n’est plus que leur France, avec ses lois, ses dogmes, ses protocoles… Nous en voulons pour preuve la déclaration de Sarközy le 21 octobre 2003, quand il déclarait : « Quand un Juif est injurié, toute la communauté nationale est injuriée ». Quand un simple Français l’est, personne n’est injurié comme nous le verrons plus bas… Le 12 mai 2003, il recevait le prix Simon Wiesenthal (du nom du célèbre mythomane chasseur de fantômes) attribué par la secte raciste des B’naï B’rith et par la sinistre Anti-Defamation League, ayant eu des ennuis avec le FBI pour sa manie de ficher et d’espionner illégalement les citoyens américains en utilisant des policiers juifs infiltrés et qui décora Chirac le 16 février 2000 pour sa « lutte contre l’antisémitisme ». A noter que lors du protocole du colloque Dieu a-t-il besoin de la République ?, il fit passer le Grand Rabbin avant l’évêque. Cela veut tout dire. Devant ces Trotsky, on se demande ce que font les Staline : on est prêts à se cotiser pour l’achat des piolets…
Quelle France nous réserve Sarközy ? C’est la France de la justice de race. Pour imposer leur loi, Sarközy et les siens discriminent ouvertement la population autochtone de ce pays. Le 10 juillet, lors de l’Université d’été du Parti Radical, il évoqua une fois encore sa marotte de la « discrimination positive ». L’idée, nous l’avons déjà dis dans ce journal, vient de Yazid Sabeg qui l’a évoqué pour la première fois officiellement le 24 novembre 2004. Elle vise a accorder des privilèges à ses protégés en prenant pour prétexte les prétendues « discriminations » dont ils seraient victimes et qui ne se fondent sur aucune réalité concrète. Sarközy évoqua également la sinistre loi de 1905 en des termes assez intéressants. Pour lui, elle doit être assouplie pour l’intérêt des musulmans car désormais, il y a 5 millions de musulmans en France (en réalité, 7 ou 8 millions). Preuve supplémentaire que cette loi visait à détruire la religion catholique et elle seule. Le catholique a du faire toutes les concessions, le juif et le musulman, eux, n’ont que des avantages, enfants chéris de la République. D’où la nécessité pour ce qui reste de catholiques dans ce pays (environ 1,2 million de personnes) d’avoir un état indépendant, loin des Républicains et du clergé collabo. Le lendemain, à Marseille, il évoquait la création d’une «mission sur les besoins de la France en immigrés » qui rendra ses conclusions en mars 2006 visant à faire venir en France encore plus d’étudiants étrangers alors que le marche de l’emploi est déjà engorgée par trop d’étudiants, nécessitant une réforme totale de l’éducation nationale.
Comme le signalait à juste titre le Front National : « On peut penser que cela ne fera qu’empirer les choses, en entraînant des conflits au sein des entreprises qui n’avaient pas besoin de cela sans la situation économique actuelle. Ensuite, cela fera des « discriminés positivement », des gens suspectés d’incompétence et décrétés inférieurs par l’Etat au seul critère de leur faciès, et en faisant des « discriminés négativement » des gens révoltés à juste titre par cette injustice ». A nous de leur faire comprendre que leur ennemi n’est pas le pauvre type qui leur vole leur travail mais la République et la démocratie qui imposent cet état de fait. Plus loin, le FN déclare, toujours à juste titre : « Lorsque Sarközy et l’UMPS dénoncent le « racisme » responsable de la « discrimination » actuelle, cela est l’aveu que les critères utilisés pour compenser cette tendance seront par conséquent, eux aussi racistes ». Et le parti à la flamme de conclure : « des Français de souche sont, chez eux, chassés du marché du travail pour les remplacer de force par des immigrés provenant d’une « minorité visible », et nos racine chrétiennes ont remplacées petit à petit par une civilisation musulmane, cela par volonté d’Etat ». Analyse pertinente, à laquelle nous souscrivons ô combien. Quel dommage que le Front National ait raté le coche en refusant de devenir le parti communautariste que le peuple attendait et qu’il a préféré financer avec les mânes de l’état des permanents plutôt que de se lancer dans une politique culturelle audacieuse qui lui aurait rendu bien des services lors de l’entre-deux tours. Ah ! S’ils avaient lu Gramsci à Saint-Cloud… Car l’heure est grave : le lobby allogène a ainsi lancé une nouvelle provocation anti-gauloise : « les indigènes de la République », dénonçant les discriminations dont prétendent être victimes les « fils et filles de colonisés et d’immigrés ». C’est-à-dire des gens qui, après nous avoir chassés de leur pays, ont l’impudence de vouloir nous prendre le nôtre. Car les indigènes, les vrais indigènes de la France, ce sont les Gaulois de race blanche et de culture chrétienne. Le premier nom du Parti Français Chrétiens était d’ailleurs le Parti des Français Indigènes. Les mercenaires de la République savent être reconnaissants et considèrent celle-ci comme leur mère et comme les vrais propriétaires du sol. Il n’y a plus aucun mot pour désigner la population primitive de ce qui a été notre pays, preuve qu’elle n’y a plus sa place : Français ne veut plus rien dire, Blanc est interdit légalement, Indigène a été volé, Gaulois est devenu une insulte raciste… Il ne leur reste plus rien. Je parle à la troisième personne car cela ne me concerne plus. Je ne suis plus Français au sens actuel du mot. Ich bin ein Tradilander !
Cette volonté régimiste de favoriser les allogènes n’est pas nouvelle. Elle se constate depuis toujours. Nous en parlerons en détail dans le prochain numéro. Nous allons nous contenter pour le moment d’exemples récents impliquant le gouvernement actuel en général et Sarközy en particulier. Il suffit de regarder la différence des peines et l’opportunité ou non des poursuites du Parquet dans les cas de racisme. Pour défendre ses protégés, la justice républicaine de Sarközy et de ses amis n’hésitent pas à créer un droit spéciaux pour eux. Nous avons vu à de nombreuses reprises dans nos livres et journaux que, pour éviter de les condamner, la justice n’avait pas hésité à déclaré « irresponsables » des Maghrébins meurtriers ou ayant profané des cimetières chrétiens (ils deviennent bien sûr totalement responsables quand leurs victimes sont juives…). Le groupe allogène Sniper peut inciter au meurtre dans sa chanson La France, la juge Véronique Berthiau-Jézéquel (de Rouen) déclare que « l’élément matériel d’une provocation non suivie d’effet était établie » mais qu’un Blanc s’avise de faire de même et là, c’est la répression : un jeune homme de 21 ans a ainsi été condamné à six mois de prison avec sursis et à 3.800 euros de rançon a versé aux associations anti-françaises (SOS-Racisme, MRAP, ACPEA, LDH) pour avoir diffuser sur Internet les chansons «d’un groupe néo-nazi » (pas de nom donné, et pour cause, il n’y a pas de groupe musicaux néo-nazis depuis au moins 15 ans), probablement les parodies du groupe Suprême MRAP dont nous avions parlé dans Le Libre Arverne n°4, provocation qui n’a pas été plus suivie d’effet que celles de Sniper. En matière d’insultes raciales, mêmes justifications : dans la bouche d’un Maghrébin, le terme « enculé de ta race » n’est pas raciste car elle serait « commune » chez ces gens là, «exprimant généralement un violent dépit mêlé d’une incoercible colère ». Acquitté donc le sieur Omar Hatem, commerçant dans le XVIIIe arrondissement, qui a la chance d’être de la bonne ethnie. Confirmation supplémentaire que n’existent aux yeux de la justice de l’UMPS que trois sortes de racismes : Blancs contre Noirs et Arabes ; Noirs et Arabes contre Juifs ; Blancs contre Juifs. Le Blanc étant une « race inférieure » n’ayant le droit ni à sa dignité, ni au droit à la révolte. Quoi que ce dernier droit ne s’accorde pas : il se prend ! Avec Sarközy au pouvoir, ce genre de choses ira en s’accroissant. On assistera à une nouvelle hiérarchie raciale à la babylonienne, avec « les hommes » (les Juifs), « les mesquins » (les Maghrébins et les Noirs) et les « esclaves » (la majorité des Blancs). Plus une quatrième classe plus indienne, « les intouchables » (boucs émissaires du régime : vrais catholiques, historiens dissidents, opposants au régime).
Quand un concert allogène est interdit, comme celui du Jamaïcain Capleton, ce n’est pas parce qu’il prône la violence contre les Blancs mais contre les homos, autre catégorie bénéficiant d’avantages judiciaires. Mais peut-être qu’après tout la République nous considère comme la race supérieure, comme une mère qui ne laisserait rien passer à ses enfants plus doués et plus intelligents mais ferait preuve de mensuétude pour ses enfants plus limités (« Tu sais, ce n’est pas de la faute de ton frère, il n’est pas responsable, tu dois tout lui céder car il est trop con pour réussir seul et se défendre seul… »). Pour la République, le surhomme Nietzschéen existe : il est Blanc, chrétien, de droite, hétérosexuel ayant fondé une famille et de profession libérale et artisanale. Vu sous cet angle, dans la grande course de Formule 1 de la vie, on s’entend dire : « Non Monsieur Schumacher, vous êtes trop fort. Laissez la Ferrari aux mauvais pilotes et prenez la Minardi ». Comme dit « l’humoriste » Jean-Marie Bigeard qui jette quelques pièces d’intelligence dans un égout de grossièretés : « Si les Noirs gagnent au 100 mètres, ce n’est pas parce qu’ils sont les plus forts, c’est parce que les Blancs les laissent gagner pour ne pas être traités de racistes… ». Blague à part, qu’on ne vienne pas nous parler « d’égalité des hommes » : soit on nous discrimine parce qu’on est les meilleurs et dans ce cas, les racistes ont raison et les races sont inégales ; soit on nous discrimine par délit de sale gueule et dans ce cas, le régime ne tient pas compte de son propre principe d’égalité et d’antiracisme, montrant toute l’hypocrisie de ce dernier.
Nous avons abondamment parlé dans ces colonnes du martyr de notre petite Jeanne-Marie (cf. Libre Arverne n° 88, 90, 92, 95, 100, 105 et 109). Dans son numéro du 1er juillet, nos confrères de Rivarol révèlent une information capitale qui éclaire cette affaire d’un jour nouveau. Nous avions été les premiers à soutenir l’hypothèse que Pierre Bodein était en quelque sorte en « mission commandée » car le fait que les trois victimes aient un profil similaire ne peut pas être une coïncidence, même si l’Alsace est un bastion de droite : trois victimes sur trois ayant des parents proches ou membre du Front National ; trois victimes sur trois catholiques pratiquantes dont une au moins traditionaliste, la probabilité statistique est trop élevée pour être fortuite. Bodein était, nous nous en doutions, probablement « en mission ». A l’époque, j’avais demandé haut et fort le nom de celui qui l’avait fait libérer. Maintenant nous le savons. Et comme disait le camarade Pikov dans Twist again à Moscou : « Ça se confirme… ». Nous avions démontré que Jeanne-Marie (et probablement Hedwige et Julie) avait été victime d’un rituel de sorcellerie gitane, un sacrifice humain, assez proche de la kabbale talmudique et visant à lever la malédiction pesant sur le clan avec des sacrifices plaisant au Prince de ce monde. Or, qui est le juge qui a libéré Bodein ? Un certain Alain Hahn, patronyme, ô quelle surprise, on ne peut plus juif et qui est défendu, ô toujours surprenant, par le très gauchisant et sémite Syndicat de la Magistrature. Comme disait mon vieux maître Coston : « les coïncidences, ça n’existe pas ». Pourquoi le sieur Hahn s’est retrouvé au centre de l’actualité ? Parce qu’il a aussi fait libérer Patrick Gateau, condamné à perpétuité pour viol et meurtre. Détail, Hahn est juge à Colmar, dont dépend la prison d’Enseisheim, bien connue de nos lecteurs puisque elle est celle où fut incarcéré Michel Lajoye avant son transfert (en attendant une éventuelle libération conditionnelle en 2006 s’il peut justifier d’un emploi et d’un logement, affaire à surveiller…). Lui aussi a été condamné à perpétuité alors qu’il n’a ni tué, ni blessé. Mais c’est Gateau qui a été libéré. Une fois dehors, ce dernier va massacrer Nelly Crémel, femme d’un officier de police après avoir paradé à la télévision chez Laurent Ruquier comme l’avait fait avant lui Patrick Henry (dans une autre émission), meurtrier d’enfant condamné puis libéré avant de retourner en prison. Gateau et Bodein ne sont pas des cas isolés : sans remonter jusqu’aux serial killers racistes Thierry Paulin et Jean-Thierry Mathurin, coqueluches de la nomenclatura bien connus de la police (Paulin avait été relâché 4 fois pour divers agressions et n’avais jamais fait la peine de prison pour laquelle il avait été condamné en 1983…), un violeur libéré il y a quatre mois a immédiatement récidivé en s’en prenant le 20 juin a une collégienne de 13 ans qu’il avait tenté d’enlever à Roquebrune pour la violer.
A noter d’ailleurs les habituelles campagnes de falsification de l’extrême gauche et de sa presse. Dans son édition du 22 juin, Le Monde nous présente Sarközy comme un home qui « droitise son discours pour attirer l’électorat d’extrême droite ». Or, c’est exactement le contraire… Ce n’est pas à n’importe quel moment qu’il évoqua sa volonté de « nettoyer la Cité des 4000 », mais juste après la mort malencontreuse d’un jeune enfant maghrébin, Sidi Ahmed Hammache, suite à un règlement de compte tribal. Qu’un « de souche » meurt de la délinquance, cela ne concerne en rien Sarközy, mais qu’un jeune musulman périsse et immédiatement, le levantin intervient, parade. Ce message, combiné aux harangues du gouvernement sur « la lutte contre le racisme » est clair et montre ses préférences : la délinquance et le racisme ne sont odieux que lorsque les demi-frères en Abraham en sont les victimes. Les sous-hommes japhétistes peuvent crever en silence. Doivent crever en silence d’ailleurs, si on en juge la répression féroce contre tout ce qui ressemble à un mouvement identitaire autochtone (voir la récente dissolution d’Elsass Korps, qui n’avait aucun acte criminel à son passif, alors que les milices d’extrême gauche genre SCALP ou même les milices syndicales de la CGT et de la CNT, les milices d’invertis comme Act Up ! (à noter que Sarközy ne s’est pas déplacé lors de leur agression anti-catholique du 5 juin à Notre-Dame, n’évoquant le fait que devant les 1800 nouveaux membres de son parti le 18 juin, mais sans suivre sa propagande hypocrite d’effet…) ou les milices juives comme le Betar paradent et agressent en toute impunité). Le 9 juin, Sarközy faisant monter en ligne ses protégés mauresques lors de la Convention de l’UMP sur l’immigration, au grand déplaisir de la base. Le souhait des pachas ? Leur part dans le contrôle des médiats au fait qu’ils seraient une « minorité visible ». Un militant UMP rétorqua que lui aussi était membre d’une « minorité visible » puisque blond aux yeux bleus. « Oui, mais vous n’êtes pas l’objet de contrôles de police intempestifs ». La récente actualité montre que ceux qui posent des bombes à Londres, à Bali, en Egypte, en Israël, à Madrid, à Moscou font hélas partie d’une « minorité visible » qui n’est pas blonde aux yeux bleus et que ce ne sont pas ces derniers qui occupent 60 % des places de prisons pour officiellement moins de 10 % de la population. Les pachas voulurent également régulariser une partie des clandestins (leur 5e colonne), ce qui provoqua les huées de la base. Il faut dire que c’est Abderrahmane Dahmane, secrétaire national du parti majoritaire, qui l’avait proposé. Cela serait mieux passé si Sarközy en avait été le père. Aux discriminations raciales et religieuses s’ajoutent aussi les discriminations politiques, faisant de 18 % des Français des exclus intégraux sur la terre de leurs ancêtres, et ce en total violation de l’article 11 de leur prétendue « Déclaration des Droits de l’Homme ». Nous verrons en quoi dans le prochain numéro ainsi que les solutions à apporter. La priorité politique du moment, c’est la neutralisation impérative de « Sartrotsky »…
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4 Comments:
Vous avez raison, Sarko est la peste mieux vaut l'éviter.
Je crois que le groupe marseillais Chevrotine est un groupe néo-nazi, et il existe encore, dont le dernier album est "raciste et fiers"
White power
Je suis catholique
je veux voter en conscience le 22 Avril
Je veux être en harmonie avec les valeurs chrétiennes et éviter toute schizophrénie de ma conscience…
Nous ne sommes parfois que des chrétiens du dimanche…un peu tièdes ou complexés, mais cette élection (un dimanche !…) engage la vision de l’homme et sa place dans la société.
Le vote du Premier tour ne peut être en conscience qu’un vote de convictions chrétiennes, avant toute autre considération de « vote utile ». La seule utilité du vote est d’être au service des valeurs chrétiennes. Le deuxième tour sera un choix entre deux candidats ! Mais les vainqueurs « possibles » (selon les sondages !) avancent-ils des programmes conciliables avec les « valeurs fondamentales »? Benoît XVI rappelle que «ces valeurs ne sont pas négociables ».
Rappels du point de vue général de l’Eglise
Extraits tirés de la note doctrinale du futur Pape Benoît XVI, en 2002, alors Cardinal Ratzinger :
· « Les catholiques ne peuvent pas se désengager de l’action politique, même si les circonstances rendent cet engagement périlleux du point de vue éthique »(…)
· « Cet engagement les oblige à exercer leur jugement de prudence dans un contexte totalement inédit et les place de plus en plus en situation d’objection de conscience, dans la continuité de l’enseignement de Jean-Paul II (Christifidelis laici, Evangelium vitae et Veritatis splendor) »
· « La foi est constituée comme une unité infrangible, il n’est pas logique d’isoler un de ses éléments au détriment de la totalité de la doctrine catholique (…) Le catholique ne peut penser non plus à déléguer à d’autres l’engagement chrétien qu’il a reçu de l’Evangile de Jésus-Christ, pour que la Vérité sur l’Homme et sur le monde puisse être annoncée et rejointe ».
· « La conscience chrétienne bien formée ne permet à personne de favoriser par son vote la mise en acte d’une loi ou d’un programme politique dans lequel les contenus fondamentaux de la foi et de la morale sont détruits par la présence de propositions qui leur sont alternatives ou opposées »
· « L’engagement des chrétiens ne peut céder à aucun compromis. Sinon, c’est le témoignage de la foi chrétienne dans le monde qui serait atteint, ainsi que l’unité et la cohérence intérieure des fidèles eux-mêmes ». (…) c’est le devoir moral des chrétiens d’être cohérents avec leur conscience »…
· S’adressant aux Evêques américains, le cardinal rappelle : « Un catholique serait coupable de coopération avec le mal, et serait donc indigne de recevoir la sainte communion, s’il devait délibérément voter pour un candidat en raison de sa position permissive sur l’avortement, l’euthanasie… »
Nous devons, comme chrétiens, nous engager pour la dignité de la personne et pour le véritable bien commun, sans oublier les paroles du Christ : « Vous cherchez à me faire mourir, moi qui vous ai dit la Vérité » (Dn 3, 52-56). Voici un « résumé de sujets fondamentaux… » et non « négociables »…sous le regard de la Doctrine Sociale de l’Eglise… comme une carte d’Etat-major métaphysique pour le Baptisé que je suis… et que je veux demeurer dans mes choix …
(la lettre ouverte de Mgr Cattenoz, parue sur Libertépolitique.com, après la réalisation de ce document « autorise » plus encore cette libre diffusion).
LA FAMILLE / LE MARIAGE,
Cellules de base de l’Amour Chrétien…
L’EGLISE
L’Eglise enseigne que le respect envers les personnes homosexuelles ne peut
en aucune façon conduire à l’approbation du comportement homosexuel ou à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles. Le bien commun exige que les lois reconnaissent, favorisent et protègent l’union matrimoniale comme base de la Famille. Reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage signifierait non seulement approuver un comportement « intrinsèquement désordonné », et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer les valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l’humanité (…) Il s’agit pour l’homme politique de rendre un vrai témoignage à la Vérité(…)
(cf. lettre aux évêques du Cardinal Ratzinger le 1er Oct. 1986)
NICOLAS SARKOZY
CUC + égalité des droits
couples homosexuels
Aller plus loin que
le PACS
Favorable à un Contrat d’Union Civile pour les couples homosexuels, avec cérémonie en Mairie, garantissant l’égalité des droits successoraux, sociaux et fiscaux. Il soutien le principe de discrimination positive, en faveur de la logique de communautés divergentes. « Il est nécessaire d’aller plus loin que le PACS »
Dans un courrier du 17 Février 2005, répondant à une association de défense des personnes homosexuelles, il écrit : « Je suis particulièrement attaché depuis plusieurs années, à toutes les questions relatives aux droits des homosexuels dans notre pays. Mes réflexions tant personnelles que politiques m’ont conduits à prendre parti et à engager de nombreuses décisions dans ce domaine (…) réformes fiscales du PACS. J’ai souhaité que l’association Gay Lib, associée à l’UMP soit représentée lors du congrès du 28 Novembre au Bourget (…) A mon sens, l’homosexualité n’est pas un statut, mais une identité. En tant que telle, ses droits et ses devoirs doivent être reconnus et défendus (…) J’ai reçu des messages de soutien et de remerciement de la part d’associations comme l’Interactive Gay, Lesbienne, Bi et Trans et Gay Lib (…). J’ai toujours lutté et je poursuivrais ce combat en faveur des droits des couples et des personnes homosexuelles »
PHILIPPE de VILLIERS
Inscrire dans la
Constitution :
Mariage= alliance H+F
Opposition absolue au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels. Le mariage doit être inscrit dans la Constitution « comme l’alliance d’un homme et d’une femme ». Il rappelle que « la génération et l’Education d’un enfant suppose un père et une mère et qu’un enfant n’est pas un droit, mais une responsabilité. » (Programme)
Seul élu de France à s’être rendu à Bègles en 2004 pour s’opposer farouchement au « mariage célébré » par Noël Mamère
Propose le Salaire Parental (Programme)
FRANCOIS BAYROU
Union civile des
homosexuels +adoption
« Pour la reconnaissance d'une union civile, et cela ne me gênerait pas qu'elle soit conclue à la mairie. Quant à l'adoption, (…). L'adoption simple, qui n'entraîne pas un lien de filiation, et qui est aujourd'hui ouverte à un célibataire, devrait l'être aussi aux homosexuels. » (Le Progrès 28 Sept. 2006)
JEAN-MARIE LE PEN
Contre mariage + adoption
pour homosexuels
Déclarations ambiguës
Opposition au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels. (Programme)
Mais en Juin 2004, il déclare avec ambigüité à l’occasion du « mariage » de Bègles: «Cela prouve que le mariage est en train de reconquérir un prestige qu'on craignait qu'il ait perdu, puisque les hommes souhaitent pouvoir sanctifier de façon laïque leur union»… si «des hommes s'aiment, après tout, pourquoi pas...» «C'est l'affaire de chacun, ce n'est pas une affaire d'Etat»…
Marine LE PEN s’est dite favorable à l’organisation « d’unions homosexuelles »
(AFP 26 Juin 2006)
Propose le Salaire parental. (Programme)
LE RESPECT DE LA VIE
L’EGLISE
La Vie humaine est sacrée et inviolable, depuis sa création jusqu’à la mort naturelle.
« le plus grand fléau, pire que la guerre, est de tuer l’enfant à naître… »
Mère Teresa
NICOLAS SARKOZY
Soutien à l’avortement
Ouvert à l’euthanasie
Soutien franc au principe de l’avortement :Lors de son discours au Congrès de l’UMP le 14 janvier, Nicolas Sarkozy, en brossant le portait de la France au travers de personnalités emblématiques a déclaré : « Elle a la voix, la figure, la dignité d'une femme, d'une mère, rescapée des camps de la mort qui s'écrie à la tribune de l'Assemblée : "nous ne pouvons plus fermer les yeux sur les 300 000 avortements qui, chaque année mutilent les femmes de ce pays". Ce jour là, elle s'appelle Simone Veil. » Quel que soit le respect qu’on doit porter à la figure de Simone Veil en tant que membre d’une famille éprouvée par la barbarie Nazie , il y a amalgame entre cette donnée personnelle tragique et la légalisation de l’avortement. Ce sujet toujours contemporain mérite autre chose, car le chiffre de 300 000 avortements clandestins en 1975 est faux (80 000 au maximum), et provoque un raisonnement faussé sur les 220 000 avortements annuels officiellement comptabilisés dans la France de 2007.
Simone Veil est présidente de son Comité de soutien
Ouvert à l’euthanasie : le 11 Février, à la Mutualité, il déclare : « les principes, je les respecte. Mais je me dis quand même au fond de moi, il y a des limites à la souffrance que l’on impose à un être humain (…) on ne peut pas rester les bras ballants devant la souffrance d’un de nos compatriotes qui appelle à ce que ça se termine. »
PHILIPPE de VILLIERS
Défense de la Vie
Participe le 21 Jan. 07 à la « marche pour la Vie ». Il défend une grande politique nataliste et dénonce la banalisation de l’avortement. Il veut : « protéger les petits d’hommes, alors que d’autres protègent les ours slovènes et les ratons laveurs… »
Souhaite proposer une véritable alternative aux mères en détresse, comme c’est le cas en Vendée dans la Foyer départementale de l’Enfance
Nombreuses interventions, souvent solitaires, à l’Assemblée Nationale pour défendre la Vie et les questions bioéthiques, contre l’eugénisme ou l’handiphobie
Refuse l’Euthanasie et préconise le développement des centres de soins palliatifs.
FRANCOIS BAYROU
Ambigüité
Peu de prise de position sur ces questions, mais ambiguë sur l’euthanasie :
« Les dernières minutes, ça se passe entre le malade et le médecin. C'est une question de confiance, une question de regard et une question de conscience" et "ce n'est pas à la loi d'entrer dans cet instant-là"…(12 Mars 2007 à Serquigny)
JEAN-MARIE LE PEN
Contre l’avortement
et l’euthanasie
liberté des femmes
Contre l’avortement et l’euthanasie :
« Il convient de mettre en place une véritable politique familiale et d’accueil de la vie. Prévoir l’inscription dans les textes, qui fondent son existence et son développement, du caractère sacré de la vie et l’affirmation du droit de la personne à être protégée par la loi de sa conception à sa mort naturelle. » (Programme)
l’abrogation de la loi Veil ne figure plus dans son programme, contrairement à 2002, il envisage par contre un « référendum » sur le caractère sacré de la vie, soumettant ainsi cette question « non négociable » au suffrage… Le FN met aujourd’hui en avant « la liberté des femmes » sur ces questions…
Promotion de l’adoption prénatale (Programme)
LA PROTECTION DE LA CREATION
L’EGLISE
La protection de notre environnement naturel, la prévention de la pollution et la préservation de la santé publique participent à la préservation du monde que Dieu a créé pour nous et pour les générations futures…
NICOLAS SARKOZY
Déclare à Bordeaux :"On ne sauvera pas l'humanité en faisant de l'écologie une idéologie totalitaire, qui se donnerait pour objectif de libérer l'homme de la civilisation pour le renvoyer à l'état sauvage"(...) Je refuse que l'on somme l'homme de choisir entre la croissance et le respect de l'environnement", a-t-il poursuivi. "Je veux le progrès économique dans le respect de la planète, et c'est possible ! Je veux l'emploi pour tous par le développement durable."
veut doper la fiscalité écologique et promouvoir l'agriculture biologique,
s’engage à la résolution de tous les problèmes écologiques dans une génération
Lors de l'accident de Tchernobyl en 1986, il est conseiller en communication du gouvernement, participant au mensonge d’Etat sur le nuage radioactif qui se serait arrêté aux frontières de la France ! Lourd de conséquences…
Aujourd'hui, on apprend que les OGM comporteraient un risque important pour la santé : aucun commentaire…
PHILIPPE de VILLIERS
Faire de la France, le 1er pays producteur de pétrole vert. Programmes de recherche sur les énergies renouvelables et le recyclage des déchets.
Instaurer le principe « pollueur-payeur ». Le profit ne doit pas primer sur la protection de l’environnement. Multiplier les dégrèvements fiscaux pour les investissements en faveur de l’environnement.
Appliquer le principe de précaution sur les OGM
Auteur d’un livre dénonçant l’empoisonnement « caché » de l’écosystème : « Quand les abeilles meurent, les jours de l’homme sont comptés »
FRANCOIS BAYROU
pour répondre aux grands défis climatiques, veut inscrire l’ensemble de l’action publique et les choix fiscaux dans une perspective de développement durable:
création d’une haute autorité environnementale ;
mise en place d’un Plan national écologique: économies d’énergie, énergies renouvelables, fiscalité écologique sur les énergies fossiles, agriculture écologique…
JEAN-MARIE LE PEN
Investissement dans la recherche d’énergies de substitution, “respectueuses de l’environnement et garantes à terme d’une indépendance énergétique de la France”
Refus de tout nouvel impôt écologique.
OGM : poursuite des recherches en France, "effectuées dans des espaces confinés". Tout OGM ne pourra être cultivé et commercialisé que si sa reproduction dans la nature est rendue impossible. taux de TVA modulable en fonction de l’OGM
Relance de la filière charbon et poursuite de l'effort sur l'énergie nucléaire.
Limitation des élevages en batterie et des transports d'animaux vivants,
Législation pour limiter les expérimentations sur des animaux
Programme de lutte contre les abandons d'animaux de compagnie
ATTENTION A L’HERITAGE ET AUX RACINES CHRETIENNES
L’EGLISE
Par delà (…) la crise de la sécularisation et par delà l’aveuglement sur l’univers idéologique qui arrache l’Europe à elle-même, il serait mortel d’ignorer que le christianisme a été la matrice de notre culture.» Cardinal Lustiger, 1991
Jean-Paul II incite à revitaliser les racines chrétiennes qui sont nos origines. (2004)
« L’Europe redeviendra chrétienne ou deviendra musulmane» Cardinal G.Biffi, Oct 04
NICOLAS SARKOZY
Tout se vaut…
Financement public des
mosquées et des imans.
Toutes les racines se valent… et confirmant le sacro-saint principe de laïcité, il organise en Fév.2003 par le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) la présence égalitariste des différentes religions, ignorant et repoussant la notion de racines chrétiennes et obéissant surtout au relativisme ambiant, combattu par Benoît XVI. Toutes les vérités ou religions se valent selon sa logique communautariste.
Il est favorable au financement public des mosquées et de la formation des imans...Il suggère pour cela « une évolution de la loi de 1905 » selon sa logique de discrimination positive (Livre « la République, les religions, l’espérance », Nov. 2005)
Déclare à Caen le 9 Mars 2007: « la France c’est la morale laïque qui incorpore 2000 ans de valeurs chrétiennes. C’est le respect de toutes les religions. C’est l’universalisme et c’est l’humanisme. Elle fut tour à tour girondine, jacobine, libérale, anticléricale, sociale, radicale (...), mais toujours combattant pour le même idéal. »
PHILIPPE de VILLIERS
Héritage Chrétien : oser l’affirmer sans complexe
Il a défendu l'inscription de la référence à l'héritage chrétien dans le projet de constitution européenne
« la France est un pays judéo-chrétien et je regrette que l’on ose plus l’affirmer » parlant de corpus juridique et éthique auquel les autres religions doivent se conformer, d’où ses réflexions contre l’islamisation. (Fév. 2007 dans la Croix)
Sur l’histoire douloureuse de la Vendée, il développe des vertus évangéliques : « Le pardon est une alchimie du sentiment qui converti le mal en nouvelle chance et s’appuie sur la Mémoire pour appeler à la réconciliation» (avec A. Soljenitsyne Sept 93)
L’action culturelle en Vendée se fait sans complexe en référence à ces racines.
FRANCOIS BAYROU
Distinguer convictions
spirituelles et choix
politiques.
A affirmé qu'il était chrétien, pratiquant, et qu’il était enchanté que la Constitution européenne n'ait pas fait référence aux racines chrétiennes de l'Europe. (Blois Janv. 06)
Il a affirmé à l’occasion de la mort de Jean-Paul II qu’il n'aurait "certainement pas" décidé de mettre les drapeaux en berne, une mesure qui "ne correspond pas à la distinction qu'il faut faire entre convictions spirituelles et choix politiques et nationaux". (communiqué 5 Avril 2005)
JEAN-MARIE LE PEN
Racines chrétiennes,
et des modérations.
« A ceux qui pouvaient douter des racines chrétiennes de l’Europe – reniées par Jacques Chirac- il a été répondu par le formidable remous des cœurs et des âmes qui a accompagné le Pape Jean-Paul II à sa dernière demeure » (Mai 2005)
Depuis, plus de modération et un rapprochement stratégique avec la communauté musulmane auprès de laquelle il rencontre un certain succès : « s'il me manquait une voix pour être élu, je serais bien content que ce soit la voix de Dieudonné » (Nov.2006 BBR)
« La religion Chrétienne qui a connu des déchirements cruels, a aussi eu un rôle pacificateur. Le déclin de la pratique renforce aujourd’hui un matérialisme latent, qui explique sans doute la décadence des comportements sociaux ». ( La Croix Fév. 07)
JUSTICE, DEFENSE DES PLUS FAIBLES,
ATTENTION AUX ETRANGERS
L’EGLISE
Ce que l’Eglise appelle l’option préférentielle pour les pauvres et le respect de la dignité des gens dans les pays en développement.
Dans l’encyclique « Dieu est Amour », de Benoît XVI :
« l’amour presse les chrétiens à entrer en solidarité avec les faibles et les exclus» (…) « même dans une société juste, la charité devra s’exercer envers les faibles, les malades et les personnes âgées. »
Que dit le message pastoral de l’Église dans l’encyclique sur l’intégration des immigrants, sur les ghettos et sur les entrées illégales de personnes? Pas un mot, dans le texte, sur la façon dont les catholiques devraient réagir à ces situations
« traitement humain et équitable pour les réfugiés et les migrants » (critère avancé par les évêques européens aux élections européennes)
NICOLAS SARKOZY
Immigration choisie
Immigration choisie : sélection de personnes en fonction des besoins d’emploi du pays ; au mépris du pillage des « cerveaux » des pays d’origine, participant ainsi à l’aggravation des difficultés des pays pauvres. (29 Mars 2006, texte conseil des Ministres)
Priorité de la lutte contre la pauvreté, en particulier des enfants. (Programme)
PHILIPPE de VILLIERS
Pratique le
co-développement
politique sociale
exemplaire
A expérimenté le Co-développement en Vendée avec des pays comme le Bénin ou Madagascar, contribuant à favoriser le développement local par des partages d’expériences profitables, de visage à visage ; limitant ainsi les afflux de populations.
Demande l’arrêt de toute immigration pour la dignité de l’accueil des étrangers; la France ne pouvant ni les loger, ni leur proposer un travail, contrairement à ce qu’ils croient en fuyant leur pays d’origine
La Vendée est le 1er département français pour l’accueil des personnes handicapées avec des expériences novatrices (accueil des familles vieillissantes avec adulte handicapé), pour l’efficacité du RMI : un des plus faibles taux et seul département avec 100% de contrats d’insertion, une solidarité respectueuse de la dignité de la personne qui ne se limite pas à l’obligation légale de l’assistanat.
1er département pour l’accession sociale à la propriété.
FRANCOIS BAYROU
Stratégie globale, droit
au logement opposable
Co-développement
« Il faut avoir une stratégie globale, avec sa part d'urgence et sa part de prévention", dit-il, soulignant que le logement et l'emploi sont "les deux plus grands leviers de la réinsertion." Je suis favorable à un droit au logement opposable effectif, ce qui signifie la construction de 20.000 logements très sociaux par an" (Programme)
« Tant que vous aurez les vingt pays les plus pauvres de la planète maintenus dans leur dénuement, à quelques centaines de kilomètres des dix pays les plus riches de la planète, vous aurez des vagues migratoires » (Lille Déc. 2006)
une politique de co-développement avec les pays d’origine permettra de donner à leurs habitants la chance de réussir dans leur propre pays (Programme)
JEAN-MARIE LE PEN
Préférence nationale
Co-développement si
possible…
"préférence nationale" permettant d'éradiquer la pauvreté, "». Cette politique passe par un arrêt de l’immigration et une application effective des lois. (Programme)
Co-développement :« Nous le ferons, mais il faut pour cela redresser au préalable les finances publiques, car il faut le dire et le répéter, la France n'a plus les moyens de sa générosité. Je crois au co-développement, mais quand il est possible : il est criminel de vouloir dépenser pour d'autres alors que nous n'avons pas assez pour les nôtres. » (3 Mars 2007 à Marseille)
J'espère que tu changeras d'avis
De Villiers :
ami de Veil l'avorteuse, ministre de l'immonde Chirac, doit à la maçonnique UMP sa présidence de Coneil Général de Vendée.
La différence entre Le Pen et Villiers, c'est que le premier n'a jamais prétendu être catho.
Donc, pas une voix pour l'énarque qui s'était illustré par une lettre insultante au vénérable président de l'association Pétain-Verdun dont le régime a été le moins anti-chrétien en France depuis 200 ans...
Mais rassurez vous, je voterai JMLP,jamais pour sa fille.
Pour le second tour surement on sera d'accord, car il faut éviter à tout pris que Ségo monte sur la plus haute marche. Même si le choix ne vient pas du coeur, votons Sarko à l'unisson.
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