Mort pour la Fr... pour rien ! (Editorial du Libre Arverne n°87 - 17 juin 2004)
« A ses enfants, la Gueuse absolument pas reconnaissante… ». Plusieurs affaires récentes nous prouvent encore que dans ce pays, on pratique allègrement la « préférence étrangère » même dans ce qu’il y a de plus sacré : la juste récompense du sacrifice de sa jeunesse et de son sang. La première a été révélée par le quotidien maoïsto-bancaire Libération : les 177 Français des commandos Kiffer, ces jeunes gens, marins de formation, qui avaient rejoint l’armée britannique et avaient participé au débarquement le 6 juin 1944, n’ont jamais reçu la Légion d’honneur pour la plupart alors que n’importe quel braillard de bastringue, tapeur de ballon, pisse-copie régimiste l’a, à la condition expresse toutefois d’être très à gauche… Ces Français étaient intégrés dans le 4e Commando de l’armée britannique qui a débarqué à Sword et s’est illustré dans la ville d’Ouistreham avec 50 % de pertes. Trop Français, pas assez allogènes, trop courageux, pas assez intrigants, ils virent les médailles leur passer sous le nez.
Elle en a de la reconnaissance la République… En 1870, elle laissa crever de faim et de froid ses propres soldats dans le camp de Conlie. En 1905, elle purgea l’armée de ses meilleurs officiers pour crime de pratique religieuse. En 1919, elle refusa le bâton de maréchal à l’un de ses plus brillants officiers pour le crime d’être catholique. En 1940, elle envoya ses hommes à l’abattoir en ayant vendu à une nation potentiellement ennemie ses meilleurs avions et ses réserves de munitions. En 1962, elle livra ses supplétifs et leurs familles au couteau des égorgeurs… et ainsi de suite. Quand les anciens du commando Kiffer voient la France actuelle, sont-ils vraiment sûrs que c’était pour cela qu’ils se sont battus ? Ceux qui étaient dans le camp d’en face, au moins, fussent-ils vaincus militairement, ont eu la satisfaction morale de constater que, comme ils le prédisaient à l’époque, le monde sous la schlague « alliée » est un cauchemar… Puisque leur république considère les étrangers comme plus enfants que ses enfants, alors laissons ces derniers se battre pour elle et gardons notre sang pour des causes qui en vaillent la peine…
Une affaire similaire touche le Président honoraire et fondateur de notre parti, Pierre Grandemange. Cet ancien combattant a versé son sang pour la grandeur de la France en Indochine et en Algérie et pour la défense de leur République. Il y a une loi républicaine, sensée s’appliquer à tout le monde. Le décret n°96-1063 du 4 décembre 1996 attribue la Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur à tout Ancien combattant de la guerre 1939-1945, des T.O.E. ou de l’A.F.N. à la condition d’avoir au moins trois blessures et/ou citations. C’est largement le cas de notre camarade, engagé volontaire malgré un physique trop léger, qui a la Croix de guerre des T.O.E., trois croix de la Valeur militaire et la Croix du combattant volontaire… Il transmet donc son dossier à Micislas Orlowski, de la société nationale « Les médaillés militaires ». Ce dernier en informe une madame Péretti, Chef du Bureau des décorations du Ministère de la Défense, une de ces « souris grises » qui reçoivent galons et médailles pour avoir résisté avec vaillance à des hordes de typex animés de mauvaises intentions, des amas de trombones rebelles, des commandos de stylo-billes sournois, des légions de ramettes de papier alignées comme à la parade et surtout, aux armes de destructions massives que sont les photocopieuses ancestrales et les fax datant de l’époque pré-Mam (la Mam susdite n’étant pas Michèle Alliot-Marie mais la maman de madame de Fersan). Pour ses actions héroïques, Mademoiselle Marie-Dominique Péretti a été nommée Chevalier de la Légion d’Honneur le 14 juillet 1998. C’est elle-même qui refusa la décoration à notre fondateur…
En effet, malgré ses médailles, ses actes de courage, les vies sauvées et sa jeunesse sacrifiée, Pierre Grandemange s’est vu interdire de Légion d’Honneur pour des raisons, je cite, de « moralité » , car, figurez-vous que la sélection est, dixit le Commissaire en chef Lefranc de l’Etat-major particulier du Président de la République, « extrêmement rigoureuse ». Or, il est fait mention sur l’adresse de Monsieur Grandemange de la BP 202, qui était l’ancienne adresse du Parti Français Chrétiens que M. Grandemange n’avait jamais communiquée. C’est donc en raison des ses opinions politiques et de ses convictions religieuses, au mépris total de leur prétendue Déclaration des Droits de l’Homme, que son dossier a été rejeté. De plus le gouvernement décerne le grade d’officier de la Légion d’honneur à des admirateurs de Staline comme José Alonso, qui dirigeait un maquis de rouges espagnols pendant la guerre (on ne précise pas si c’était ceux qui ont écartelé entre des tracteurs l’amiral Platon comme l’a admis le gendre de Pierre Brossolette) ou comme Marguerite Rol-Tanguy, la veuve du terroriste communiste.
En épluchant la liste des décorés, on comprend mieux les critères d’attribution… La République aime les catholiques et les patriotes, mais uniquement pour aller les faire crever dans la boue à Verdun, à Dien Bien Phû ou dans la poussière des Djebels algériens. Et pendant qu’ils se font trouer la peau, les bons républicains restent bien planqués à l’arrière et amassent de prodigieux profits de guerre, n’hésitant pas à trahir la France si besoin s’en fait sentir… Pendant que les officiers catholiques chassés en 1905 trouvaient souvent la mort dans les tranchées comme simples soldats, le lieutenant-colonel Dreyfus était bien planqué dans un dépôt d’artillerie à Orléans… On prive nos vieux braves des médailles pour permettre aux amis politiques ou ethniques d’avoir des décorations à peu de frais : ainsi, parmi les promus de 2003, on note Marie-Paule Klein, décorée pour 47 ans d’activités associatives, Lida Hilman, assistante-sociale pendant 63 ans, Madeleine Kahn assistante-sociale pendant 62 ans et Renée Krystal, assistante-sociale pendant 56 ans. En quoi méritent-elles la Légion d’honneur à titre militaire ? Il est vrai que 60 % du personnel des anciens-combattants est féminin et que les femmes représentent 60 % (19 sur 31) des Légions d’Honneur à titre militaire. Il y aurait 60 % de femmes dans les unités combattantes ? Diantre, nous serions chez les Amazones et nous l’ignorerions ??? Mais comme le signalait M. Grandemange, quand il a fait l’Indochine dans son groupement mobile : il n’y avait aucune femme. Pas une femme dans les 10 morts de 1870 à Mirande, pas de femmes dans les 92 morts de 14-18, pas une femme dans les 22 morts de 39-45…
Plus un Français de sang ne doit accepter de se faire tuer pour la marâtre à bonnet phrygien. Plus une femme, plus une jeune fille ne doit pleurer son mari/frère/fiancé/fils tombé sur un champ de bataille provoqué par les incompétents, les lâches et les corrompus qui nous gouvernent. Pour ceux qui l’ignoreraient encore, j’ai tété dans mes juvéniles années le lait caillé aux mamelles étiques de la catin et de son école, avec son lot de profs marxistes. A mes jeunes frères tradilandais qui ont embrassé la carrière des armes, je leur dirai ceci. Vous avez la fibre mili, ce n’est certes pas moi qui vais vous blâmer au contraire. L’un des plus beaux jours de ma vie fut celui où j’ai enfilé mon uniforme bleu-marine d’officier de marine pour la première fois. Mais dites-vous bien ceci : le régime vous mérite-il ? La République a le don de vous envoyer sans armes contre de soi-disant ennemis mais elle laisse agir les vrais ennemis de la France comme actuellement dans les banlieues. Au mépris total de la loi et sans espoir de recours (copinage de loge oblige), les catholiques sont exclus du grade de général. Ces derniers sont souvent socialistes et maçons. Ils chantent l’Internationale aux meetings du PS ? Alors appliquez-leur le 5e couplet la prochaine fois qu’ils voudront vous faire faire les sales besognes de la Gueuse : « S'ils s'obstinent ces cannibales à faire de nous des héros. Ils sauront bientôt que nos balles sont pour nos propres généraux ».
Je vous considère, mes biens chers frères, comme des Tradilandais en stage de formation dans une armée étrangère. Vous êtes Français comme on était Polonais en 1880 et servez dans l’armée de la République comme les fils de Jagellon servaient dans les armées autrichiennes, russes ou prussiennes. L’ennemi n’est pas en face de vous mais le plus généralement dans votre dos. A la prochaine guerre qui ne nous concerne pas, garde-toi bien d’y aller ! Le gouvernement n’aura qu’à envoyer Thuram, Depardieu ou Péretti puisqu’ils ont eu la Légion d’Honneur ! Reste un cas de figure, le plus probable : l’armée de la République sera envoyée pour écraser les Tradilandais. Dans ce cas-là, je vous en conjure, soyez de bons socialistes et de bon républicains et appliquez à la lettre les paroles de la chanson suivante : « Gloire à toi, soldat du 17e » en souvenir des mutins du 17e de ligne en garnison dans l’Aude qui se sont mutinés pour ne pas à avoir à tirer sur leurs parents. Soldat et officier français, si tu es entré dans la carrière militaire par amour de la France et non pour le statut de fonctionnaire, ta place est chez nous et non chez eux. Vois comment la République méprise les gens comme toi, pour elle, tu n’es que de la chair à canon. Dans notre Tradiland, les soldats sont honorés et respectés. Comme le dit notre slogan : « Tradiland : par toi, pour toi ! ». Dans l’armée tradilandaise, tu sais pourquoi tu te bats : pour la protection des tiens et pour la défense de ta terre natale, de ce pays que tes ancêtres ont bâti et que personne ne te volera, ni par le fer, ni par la plume… On vient te parler de « fidélité », mais fidèle à quoi ? A la République, celle-là même qui en 1962 fit emprisonner et fusiller des soldats et des officiers qui avaient refusé de renier le serment qu’elle-même leur avait fait donner ? Non possumus.
Votre fidélité, elle est à votre famille, vos ancêtres, votre terre, en rien au régime, parfois même, cette vraie fidélité implique de prendre les armes contre le régime lui-même. Mon cœur bat pour toi, mon sang coule pour toi, mon âme prie pour toi Tradiland ma nouvelle et vraie patrie…
Elle en a de la reconnaissance la République… En 1870, elle laissa crever de faim et de froid ses propres soldats dans le camp de Conlie. En 1905, elle purgea l’armée de ses meilleurs officiers pour crime de pratique religieuse. En 1919, elle refusa le bâton de maréchal à l’un de ses plus brillants officiers pour le crime d’être catholique. En 1940, elle envoya ses hommes à l’abattoir en ayant vendu à une nation potentiellement ennemie ses meilleurs avions et ses réserves de munitions. En 1962, elle livra ses supplétifs et leurs familles au couteau des égorgeurs… et ainsi de suite. Quand les anciens du commando Kiffer voient la France actuelle, sont-ils vraiment sûrs que c’était pour cela qu’ils se sont battus ? Ceux qui étaient dans le camp d’en face, au moins, fussent-ils vaincus militairement, ont eu la satisfaction morale de constater que, comme ils le prédisaient à l’époque, le monde sous la schlague « alliée » est un cauchemar… Puisque leur république considère les étrangers comme plus enfants que ses enfants, alors laissons ces derniers se battre pour elle et gardons notre sang pour des causes qui en vaillent la peine…
Une affaire similaire touche le Président honoraire et fondateur de notre parti, Pierre Grandemange. Cet ancien combattant a versé son sang pour la grandeur de la France en Indochine et en Algérie et pour la défense de leur République. Il y a une loi républicaine, sensée s’appliquer à tout le monde. Le décret n°96-1063 du 4 décembre 1996 attribue la Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur à tout Ancien combattant de la guerre 1939-1945, des T.O.E. ou de l’A.F.N. à la condition d’avoir au moins trois blessures et/ou citations. C’est largement le cas de notre camarade, engagé volontaire malgré un physique trop léger, qui a la Croix de guerre des T.O.E., trois croix de la Valeur militaire et la Croix du combattant volontaire… Il transmet donc son dossier à Micislas Orlowski, de la société nationale « Les médaillés militaires ». Ce dernier en informe une madame Péretti, Chef du Bureau des décorations du Ministère de la Défense, une de ces « souris grises » qui reçoivent galons et médailles pour avoir résisté avec vaillance à des hordes de typex animés de mauvaises intentions, des amas de trombones rebelles, des commandos de stylo-billes sournois, des légions de ramettes de papier alignées comme à la parade et surtout, aux armes de destructions massives que sont les photocopieuses ancestrales et les fax datant de l’époque pré-Mam (la Mam susdite n’étant pas Michèle Alliot-Marie mais la maman de madame de Fersan). Pour ses actions héroïques, Mademoiselle Marie-Dominique Péretti a été nommée Chevalier de la Légion d’Honneur le 14 juillet 1998. C’est elle-même qui refusa la décoration à notre fondateur…
En effet, malgré ses médailles, ses actes de courage, les vies sauvées et sa jeunesse sacrifiée, Pierre Grandemange s’est vu interdire de Légion d’Honneur pour des raisons, je cite, de « moralité » , car, figurez-vous que la sélection est, dixit le Commissaire en chef Lefranc de l’Etat-major particulier du Président de la République, « extrêmement rigoureuse ». Or, il est fait mention sur l’adresse de Monsieur Grandemange de la BP 202, qui était l’ancienne adresse du Parti Français Chrétiens que M. Grandemange n’avait jamais communiquée. C’est donc en raison des ses opinions politiques et de ses convictions religieuses, au mépris total de leur prétendue Déclaration des Droits de l’Homme, que son dossier a été rejeté. De plus le gouvernement décerne le grade d’officier de la Légion d’honneur à des admirateurs de Staline comme José Alonso, qui dirigeait un maquis de rouges espagnols pendant la guerre (on ne précise pas si c’était ceux qui ont écartelé entre des tracteurs l’amiral Platon comme l’a admis le gendre de Pierre Brossolette) ou comme Marguerite Rol-Tanguy, la veuve du terroriste communiste.
En épluchant la liste des décorés, on comprend mieux les critères d’attribution… La République aime les catholiques et les patriotes, mais uniquement pour aller les faire crever dans la boue à Verdun, à Dien Bien Phû ou dans la poussière des Djebels algériens. Et pendant qu’ils se font trouer la peau, les bons républicains restent bien planqués à l’arrière et amassent de prodigieux profits de guerre, n’hésitant pas à trahir la France si besoin s’en fait sentir… Pendant que les officiers catholiques chassés en 1905 trouvaient souvent la mort dans les tranchées comme simples soldats, le lieutenant-colonel Dreyfus était bien planqué dans un dépôt d’artillerie à Orléans… On prive nos vieux braves des médailles pour permettre aux amis politiques ou ethniques d’avoir des décorations à peu de frais : ainsi, parmi les promus de 2003, on note Marie-Paule Klein, décorée pour 47 ans d’activités associatives, Lida Hilman, assistante-sociale pendant 63 ans, Madeleine Kahn assistante-sociale pendant 62 ans et Renée Krystal, assistante-sociale pendant 56 ans. En quoi méritent-elles la Légion d’honneur à titre militaire ? Il est vrai que 60 % du personnel des anciens-combattants est féminin et que les femmes représentent 60 % (19 sur 31) des Légions d’Honneur à titre militaire. Il y aurait 60 % de femmes dans les unités combattantes ? Diantre, nous serions chez les Amazones et nous l’ignorerions ??? Mais comme le signalait M. Grandemange, quand il a fait l’Indochine dans son groupement mobile : il n’y avait aucune femme. Pas une femme dans les 10 morts de 1870 à Mirande, pas de femmes dans les 92 morts de 14-18, pas une femme dans les 22 morts de 39-45…
Plus un Français de sang ne doit accepter de se faire tuer pour la marâtre à bonnet phrygien. Plus une femme, plus une jeune fille ne doit pleurer son mari/frère/fiancé/fils tombé sur un champ de bataille provoqué par les incompétents, les lâches et les corrompus qui nous gouvernent. Pour ceux qui l’ignoreraient encore, j’ai tété dans mes juvéniles années le lait caillé aux mamelles étiques de la catin et de son école, avec son lot de profs marxistes. A mes jeunes frères tradilandais qui ont embrassé la carrière des armes, je leur dirai ceci. Vous avez la fibre mili, ce n’est certes pas moi qui vais vous blâmer au contraire. L’un des plus beaux jours de ma vie fut celui où j’ai enfilé mon uniforme bleu-marine d’officier de marine pour la première fois. Mais dites-vous bien ceci : le régime vous mérite-il ? La République a le don de vous envoyer sans armes contre de soi-disant ennemis mais elle laisse agir les vrais ennemis de la France comme actuellement dans les banlieues. Au mépris total de la loi et sans espoir de recours (copinage de loge oblige), les catholiques sont exclus du grade de général. Ces derniers sont souvent socialistes et maçons. Ils chantent l’Internationale aux meetings du PS ? Alors appliquez-leur le 5e couplet la prochaine fois qu’ils voudront vous faire faire les sales besognes de la Gueuse : « S'ils s'obstinent ces cannibales à faire de nous des héros. Ils sauront bientôt que nos balles sont pour nos propres généraux ».
Je vous considère, mes biens chers frères, comme des Tradilandais en stage de formation dans une armée étrangère. Vous êtes Français comme on était Polonais en 1880 et servez dans l’armée de la République comme les fils de Jagellon servaient dans les armées autrichiennes, russes ou prussiennes. L’ennemi n’est pas en face de vous mais le plus généralement dans votre dos. A la prochaine guerre qui ne nous concerne pas, garde-toi bien d’y aller ! Le gouvernement n’aura qu’à envoyer Thuram, Depardieu ou Péretti puisqu’ils ont eu la Légion d’Honneur ! Reste un cas de figure, le plus probable : l’armée de la République sera envoyée pour écraser les Tradilandais. Dans ce cas-là, je vous en conjure, soyez de bons socialistes et de bon républicains et appliquez à la lettre les paroles de la chanson suivante : « Gloire à toi, soldat du 17e » en souvenir des mutins du 17e de ligne en garnison dans l’Aude qui se sont mutinés pour ne pas à avoir à tirer sur leurs parents. Soldat et officier français, si tu es entré dans la carrière militaire par amour de la France et non pour le statut de fonctionnaire, ta place est chez nous et non chez eux. Vois comment la République méprise les gens comme toi, pour elle, tu n’es que de la chair à canon. Dans notre Tradiland, les soldats sont honorés et respectés. Comme le dit notre slogan : « Tradiland : par toi, pour toi ! ». Dans l’armée tradilandaise, tu sais pourquoi tu te bats : pour la protection des tiens et pour la défense de ta terre natale, de ce pays que tes ancêtres ont bâti et que personne ne te volera, ni par le fer, ni par la plume… On vient te parler de « fidélité », mais fidèle à quoi ? A la République, celle-là même qui en 1962 fit emprisonner et fusiller des soldats et des officiers qui avaient refusé de renier le serment qu’elle-même leur avait fait donner ? Non possumus.
Votre fidélité, elle est à votre famille, vos ancêtres, votre terre, en rien au régime, parfois même, cette vraie fidélité implique de prendre les armes contre le régime lui-même. Mon cœur bat pour toi, mon sang coule pour toi, mon âme prie pour toi Tradiland ma nouvelle et vraie patrie…
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