Un espoir autrichien (Editorial du Libre Arverne - 04/12/2003)
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Des faits qui apparemment n’ont rien à voir entre eux, mais qui révèlent bien un certain malaise dans notre société : les suites de « l’affaire Sniper » (voir Le Libre Arverne n°34) et un projet de réforme de l’assiette électorale en Autriche. La campagne menée par nos camarades du Bloc Identitaire contre le groupe de rap sexiste et raciste est remontée jusqu’au Ministre de l’Intérieur Nicolas Sarközy. Commencée en mars 2003, la campagne de harcèlement démocratique fut un succès dans le sens où elle permit de démasquer le vrai visage des cadres institutionnels de ce pays et de repérer certains collaborateurs du lobby raciste anti-français. Dans toute la France, des hommes et des femmes courageux se sont dressés contre la haine autorisée institutionnellement malgré, il faut le dire, la collaboration massive de l’anti-France, aussi bien larbins du pouvoir que valets de plume. Dans cette version moderne et pour le moment uniquement musicale de la « guerre de libération », on note les occupants, les collabos, les lâches, les résistants et les Justes. Dans les premiers, on note ceux qui, infiltrés dans un système selon eux discriminatoire, font tout pour promouvoir la parole des « frères ». Dans l’affaire du concert de Rodez ou de Mulhouse, Djamel Bouzzerara, Amar Bouhassoune et autre Yazide Rezaiguia utilisaient leur statut de présidents d’association ou de responsable de la communication pour pratiquer la solidarité ethnique la plus radicale. Mais l’occupant ne pouvait distiller sa propagande sexiste et raciste sans bénéficier d’un réseau de collaborateurs, notamment dans la presse et chez les politiciens. Parmi ceux qui légitiment les viols racistes collectifs (« tournantes »), les agressions de policiers et les appels à la djihad talibanlieusarde, on note Marc Censi (député-maire UMP de Rodez), Jacques Chirac (faisant inviter à l’Elysée le 14 juillet le vice-président de Delta Force qui, quelques jours plus tôt, invita Sniper à Rodez), Jean-Marie Bockel (député-maire PS de Mulhouse), Paul Masseron (préfet du Haut-Rhin), Daniel Le Bras (maire PS de Quimperlé), Gilles Retière (maire PS de Rezé) ; les médiats La Dépêche du Midi, Marne Hebdo, Libération, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, et bien entendu dans le milieu culturel. Il y a aussi une autre collaboration, celle de la lâcheté, faire la politique de l’autruche et être complice par son silence : Jean-Paul Alduy (sénateur-maire UMP de Perpignan), Philippe Douste-Blazy (député-maire UMP de Toulouse), Bruno Bourg-Broc (député-maire UMP de Chalons-en-Champagne), sans parler de ceux qui doivent obéir aux ordres comme le capitaine Lorand (gendarmerie de Quimperlé) obligé de protéger avec ses hommes un groupe que traite les flics de « fils de pute pétés à la vinasse, une haleine qui sent fort… sous l’uniforme ça sent le porc (animal impur dans la religion tribale prisée par Sniper dont le « chanteur » ne s’appelle pas « El Tunisiano » pour rien). Il y a des « bavures » qui deviendraient « devoir d’état ». Le profil des courageux anti-Sniper se recrute dans toutes les catégories socioprofessionnelles et dans toutes les familles nationalistes. A Perpignan, ce sont de jeunes lycéens occitans qui furent brutalisés par les soudards de Sniper. A Rodez, le Bloc Identitaire encadra des associations de citoyens. A Mulhouse, les régionalistes alsaciens et leurs homologues bretons à Quimperlé ont soutenu l’initiative antiraciste. A Chalons-en-Champagne, c’est le FN qui se fit relais de la campagne. Et pas n’importe qui au FN : Edith Erre, dont toute la vie n’a été que persécution raciale, elle qui à l’école fut appelée « la sale boche » par les instit’ laïcards et résistancialistes puis qui fut « la sale Française » pour la communauté maghrébine de la ville qui choisit délibérément son camp quand l’un des siens viola son fils de 9 ans et poussa son mari au suicide. A Nantes, c’est le catholique de tradition Arnaud de Perrier qui s’investit aux côtés des monarchistes de Catholiques & Royalistes… En dernier, enfin, les Justes. Ceux qui appuyèrent la résistance : Serge Roques (député-maire UMP de Villefranche-de-Rouergue), Maryse Joissains-Masini (député-maire UMP d’Aix-en-Provence), Philippe Gallo (chef de cabinet du maire de Les Pennes-Mirabeau), Nadine Morano (député UMP de la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle)…
Et Sarközy dans tout cela ? C’est une autre organisation, syndicale celle-là (le SGP-FO), qui l’a amené à s’occuper du cas Sniper. En pleine affaire, il est vrai que l’assassinat d’un policier en uniforme par un Maghrébin et par un Noir qui voulaient lui voler son arme de service le 6 novembre, pouvait donner raison à ses propos tenus la veille contre le groupe. Interpellé par Mme Morano, il promit qu’il portera plainte contre le groupe (on peut toujours attendre…) pour ses propos non pas racistes, non pas sexistes, mais… antisémites !!! En effet, dans leurs chansons, ils osèrent mettre sur le même plan Tsahal lâcheuse de bombes et les Palestiniens poseurs de bombes. Pour le fils du ghetto de Salonique, c’est un crime de lèse-majesté. Appeler au viol de ces « sous-créatures » que sont les gojas, ces « animaux » dont il faut absolument détruire la pureté (qui, comme dit BHL, mène à Auschwitz, et qui en « sauvageon » se traduit par « les Françaises sont des putes » et justifient les tournantes) n’est pas important. Ce qui est grave, c’est d’oser critiquer les fils de Sion. C’est de la goujaterie et même pire, c’est un crime contre la bienséance, les convenances bobos, le protocole… Dressé sur ses ergots, sûr de lui mais pas dominateur, le Nabot-léon de chef-lieu de canton, le poussin noir de Neuilly (ce n’est pas aigle, encore moins un faucon…), le petit kapo râle… Inutile de déboucher les Jéroboam, les délais sont de toutes façons prescrits et Sarkö a été rappelé à l’ordre. Tout d’abord, Libération a déclaré dans son numéro du 10 novembre que le ministre était « dans les pas d’un mauvais cheval » car il avait « embrayé sur une campagne lancée par la formation d’extrême droite Jeunesses Identitaires ». Ce faisant, il se contredit en bas de son article lorsqu’il annonce que ce qui avait fait réagir Sarközy (la chanson prétendument antisémite Jeteurs de pierre) n’avait pas suscité l’indignation des Jeunesses Identitaires. Il faudrait alors savoir !!! Outre une liste bien fournie de collabos et d’ethno-masochistes, cette affaire a permis de remettre à l’heure certaines vérités, notamment sur cette création totalement artificielle des médiats qu’est le groupe Ni putes, ni soumises. Nous avions dis dès la création de cette organisation que celle-ci répondait à un but bien précis : allumer un contre-feu médiatique à l’affaire des « tournantes », visant à relativiser celle-ci. On retrouve une fois encore la bonne vieille marque de fabrique de l’extrême gauche qui avait si bien marché pour le communisme. Rappelons comment ils avaient alors procédé : la révélation des crimes communistes et son cortège d’horreurs avait bouleversé l’opinion. Pour canaliser celle-ci dans le sens voulu, on trafiqua l’histoire en créant une inepte « idéologie stalinienne » censée avoir « dévoyé la révolution ». Ainsi, cela permettait d’assassiner une deuxième fois les victimes honnies du communisme en volant jusqu’à leur mémoire. Après des décennies de matraquage idéologique, il en est né une histoire aussi officielle que fausse où le « gentil » Trotsky, les « malheureux » compagnons de routes de Lénine et des dizaines de milliers de « bon communistes » ont été éliminés par « Staline et son culte de la personnalité ». Cette réécriture de l’histoire permet ainsi de faire passer en pertes et profits les véritables victimes du bolchevisme : les classes sociales jugées « mauvaises », les fidèles des religions catholiques et orthodoxes, les peuples entiers massacrés sont assassinés une seconde fois, dépouillés de leur propre mémoire. On avait déjà eu cela sous la révolution française, avec l’occultation des massacres des catholiques en général et des Vendéens en particulier au profit d’une « histoire » revisitée où les « pauvres victimes » s’appellent Danton, Desmoulins et compagnie. Je me demande ce que diraient les tenants de l’histoire officielle si on limitait les victimes du IIIe Reich à Röhm, au comte Ciano et à la Garde de Fer… Le mouvement « ni putes, ni soumises » répond à cette logique, selon laquelle ce qui n’est pas médiatisé n’existe pas. Ainsi, pour éviter de médiatiser la réalité des viols collectifs racistes, ce chemin de croix qu’on vécu tant de petites « de souche » dans les banlieues, pour éviter de parler de Lucie, Jeanne, Corinne, Sonia, Marlène, Bernadette, Cathy ou Claire, pour ne citer que les plus connus, on sort du chapeau une certaine Fadela Amara, qui n’a aucune qualification particulière (même pas le bac, a fortiori de diplôme dans une quelconque discipline sociale) et son amie Samira Bellil pour pratiquer ce négationnisme qui veut que seules les beurettes ont à souffrir de la barbarie tribale en vogue dans les banlieues alors que, dans de nombreux cas, ces sont les beurettes qui ont livrées les gamines ou même, dans le cas de Lucie, qui ont participé elles-mêmes au viol ! Or, il se trouve qu’Amara voyagé en Israël en compagnie de la très sioniste Anne Hidalgo. On voit tout de suite qui finance et qui paie, donc à qui cela profite… Dans l’affaire Sniper, la prétendue « dénonciatrice des tournantes » fait l’apologie de ses frères de race par le biais de l’une de ses porte-paroles, Loubna Méliane : « Ils expriment un ras-le-bol de mecs qui en ont légitimement marre d’être discriminés. Beaucoup de gens caricaturent ces jeunes en s’offusquant de la violence de leurs textes, sans même s’intéresser à l’énorme boule qu’ils sont dans l’estomac ». Or, Sniper s’est livré à l’excuse des « tournantes ». Quelle est l’idée sous-jacente de Méliane et des siennes ? Ni plus ni moins les même que celles de leurs bailleurs de fonds quand ils focalisent la délinquance banlieusarde à une prétendue recrudescence de l’antisémitisme : la manifestation du racisme le plus absolu. Les « de souches » n’ont le droit à aucune compassion. Ces gojas, ces kafiras ne sont que du gibier dont les souffrances, réelles elles, n’ont aucune espèce d’importance : seules comptent les quelques beurettes et les quelques juifs victimes du racisme. A noter que la liberté d’expression pour Sniper a été défendue par Guillaume Faye, au nom de la philosophie libertine partagée également par Maître Delcroix (nous en reparlerons la semaine prochaine lors du compte-rendu de son livre Le Théâtre de Satan). Notons également que la LCR a appelé à une action à Montpellier le 30 octobre dernier en faveur du groupe raciste et sexiste. Ce qui confirme une fois encore la collusion rouge-verte dont nous parlons ci-dessous…
Quel rapport entre Sniper et un projet de réforme électorale en Autriche ? Il est plus évident qu’on ne le croit. La petite formation conservatrice ÖVP a eu une idée assez intéressante quoi que pas très neuve (elle avait été notamment proposée par Bruno Gollnisch au parlement en 1986) : accorder une prime aux familles nombreuses en donnant à chaque père de famille une fois de plus par garçon mineur et à chaque mère une voix de plus par fille… Proposée par le porte-parole des Jeunesses de la formation, Lukas Mandl, elle est soutenue notamment par le président du parlement Andreas Khol et le ministre de l’Economie Martin Bartenstein (6 enfants chacun). Il s’est trouvé une association de gauche, « les Amis des enfants » (nous n’aurons pas la cruauté de rappeler qu’en grec, amis des enfants se traduit très exactement par « pédophiles »…) pour protester contre ce projet qui « rappelle les années 1930 et serait une régression vers une époque sombre pour la démocratie ». Nous sommes de chauds partisans de ce projet et ce, pour plusieurs raisons. La première, pour une raison de simple justice. Il est sain pour l’avenir du pays que ses générations futures aient le droit à la parole, ne serait-ce que par procuration, et ne subissent plus le diktat d’une minorité égoïste qui ne pense, comme on disait à l’armée, qu’à « manger la grenouille (c’est à dire faire la fête avec l’argent des autres) ». Il est anormal qu’une famille composée d’une seule personne ait autant de poids dans la société qu’une famille de 8 personnes. Ensuite, parce qu’une telle loi nous favoriserait électoralement. Sociologiquement, les familles nombreuses sont plus conservatrices et plus attachées aux valeurs que les familles éclatées ou monoparentale, votant plus à gauche car privilégiant le consumérisme à l’investissement. Politiquement, cela se constaterait par un bond électoral du FN et du MPF. Deux familles du FN de ma connaissance qui ont été candidates aux dernières élections verraient leur potentiel électoral passer respectivement de 2 voix à 13 et 14 voix !!! Enfin, en accélérant la possibilité d’un vote ethnique de la part des colonies de peuplement du Tiers-Monde, ce qui a terme serait excellent pour nous en faisant surgir des réflexes identitaires au sein de la population en faisant basculer des villes entières dans l’islamisme, ce qui serait une bonne chose pour nos intérêts (soigner le mal par le mal). De plus, le poids de la réforme (1 enfant = 1 voix) pourrait nous permettre de conquérir certains petits villages autour de nos prieurés et créer l’amorce de Tradiland. L’affaire Sniper et celle de ce projet autrichien montrent que le 21e siècle sera celui du communautarisme. La seule chance de survie non seulement pour notre communauté mais également pour notre peuple tout entier est une prise de conscience identitaire, le fait que somme devenue une minorité et que nous devons donc monter toute une structure autonome par les Blancs et pour les Blancs, ni plus ni moins comme les Juifs, les Maghrébins, les Noirs et les Asiatiques ont les leurs. Nous refuser ce droit sera l’aveu de l’existence d’une discrimination officielle d’état. Au moins, les choses seraient alors d’une clarté limpide et ne ferait que montrer à la face du monde la justesse de notre action…
Et Sarközy dans tout cela ? C’est une autre organisation, syndicale celle-là (le SGP-FO), qui l’a amené à s’occuper du cas Sniper. En pleine affaire, il est vrai que l’assassinat d’un policier en uniforme par un Maghrébin et par un Noir qui voulaient lui voler son arme de service le 6 novembre, pouvait donner raison à ses propos tenus la veille contre le groupe. Interpellé par Mme Morano, il promit qu’il portera plainte contre le groupe (on peut toujours attendre…) pour ses propos non pas racistes, non pas sexistes, mais… antisémites !!! En effet, dans leurs chansons, ils osèrent mettre sur le même plan Tsahal lâcheuse de bombes et les Palestiniens poseurs de bombes. Pour le fils du ghetto de Salonique, c’est un crime de lèse-majesté. Appeler au viol de ces « sous-créatures » que sont les gojas, ces « animaux » dont il faut absolument détruire la pureté (qui, comme dit BHL, mène à Auschwitz, et qui en « sauvageon » se traduit par « les Françaises sont des putes » et justifient les tournantes) n’est pas important. Ce qui est grave, c’est d’oser critiquer les fils de Sion. C’est de la goujaterie et même pire, c’est un crime contre la bienséance, les convenances bobos, le protocole… Dressé sur ses ergots, sûr de lui mais pas dominateur, le Nabot-léon de chef-lieu de canton, le poussin noir de Neuilly (ce n’est pas aigle, encore moins un faucon…), le petit kapo râle… Inutile de déboucher les Jéroboam, les délais sont de toutes façons prescrits et Sarkö a été rappelé à l’ordre. Tout d’abord, Libération a déclaré dans son numéro du 10 novembre que le ministre était « dans les pas d’un mauvais cheval » car il avait « embrayé sur une campagne lancée par la formation d’extrême droite Jeunesses Identitaires ». Ce faisant, il se contredit en bas de son article lorsqu’il annonce que ce qui avait fait réagir Sarközy (la chanson prétendument antisémite Jeteurs de pierre) n’avait pas suscité l’indignation des Jeunesses Identitaires. Il faudrait alors savoir !!! Outre une liste bien fournie de collabos et d’ethno-masochistes, cette affaire a permis de remettre à l’heure certaines vérités, notamment sur cette création totalement artificielle des médiats qu’est le groupe Ni putes, ni soumises. Nous avions dis dès la création de cette organisation que celle-ci répondait à un but bien précis : allumer un contre-feu médiatique à l’affaire des « tournantes », visant à relativiser celle-ci. On retrouve une fois encore la bonne vieille marque de fabrique de l’extrême gauche qui avait si bien marché pour le communisme. Rappelons comment ils avaient alors procédé : la révélation des crimes communistes et son cortège d’horreurs avait bouleversé l’opinion. Pour canaliser celle-ci dans le sens voulu, on trafiqua l’histoire en créant une inepte « idéologie stalinienne » censée avoir « dévoyé la révolution ». Ainsi, cela permettait d’assassiner une deuxième fois les victimes honnies du communisme en volant jusqu’à leur mémoire. Après des décennies de matraquage idéologique, il en est né une histoire aussi officielle que fausse où le « gentil » Trotsky, les « malheureux » compagnons de routes de Lénine et des dizaines de milliers de « bon communistes » ont été éliminés par « Staline et son culte de la personnalité ». Cette réécriture de l’histoire permet ainsi de faire passer en pertes et profits les véritables victimes du bolchevisme : les classes sociales jugées « mauvaises », les fidèles des religions catholiques et orthodoxes, les peuples entiers massacrés sont assassinés une seconde fois, dépouillés de leur propre mémoire. On avait déjà eu cela sous la révolution française, avec l’occultation des massacres des catholiques en général et des Vendéens en particulier au profit d’une « histoire » revisitée où les « pauvres victimes » s’appellent Danton, Desmoulins et compagnie. Je me demande ce que diraient les tenants de l’histoire officielle si on limitait les victimes du IIIe Reich à Röhm, au comte Ciano et à la Garde de Fer… Le mouvement « ni putes, ni soumises » répond à cette logique, selon laquelle ce qui n’est pas médiatisé n’existe pas. Ainsi, pour éviter de médiatiser la réalité des viols collectifs racistes, ce chemin de croix qu’on vécu tant de petites « de souche » dans les banlieues, pour éviter de parler de Lucie, Jeanne, Corinne, Sonia, Marlène, Bernadette, Cathy ou Claire, pour ne citer que les plus connus, on sort du chapeau une certaine Fadela Amara, qui n’a aucune qualification particulière (même pas le bac, a fortiori de diplôme dans une quelconque discipline sociale) et son amie Samira Bellil pour pratiquer ce négationnisme qui veut que seules les beurettes ont à souffrir de la barbarie tribale en vogue dans les banlieues alors que, dans de nombreux cas, ces sont les beurettes qui ont livrées les gamines ou même, dans le cas de Lucie, qui ont participé elles-mêmes au viol ! Or, il se trouve qu’Amara voyagé en Israël en compagnie de la très sioniste Anne Hidalgo. On voit tout de suite qui finance et qui paie, donc à qui cela profite… Dans l’affaire Sniper, la prétendue « dénonciatrice des tournantes » fait l’apologie de ses frères de race par le biais de l’une de ses porte-paroles, Loubna Méliane : « Ils expriment un ras-le-bol de mecs qui en ont légitimement marre d’être discriminés. Beaucoup de gens caricaturent ces jeunes en s’offusquant de la violence de leurs textes, sans même s’intéresser à l’énorme boule qu’ils sont dans l’estomac ». Or, Sniper s’est livré à l’excuse des « tournantes ». Quelle est l’idée sous-jacente de Méliane et des siennes ? Ni plus ni moins les même que celles de leurs bailleurs de fonds quand ils focalisent la délinquance banlieusarde à une prétendue recrudescence de l’antisémitisme : la manifestation du racisme le plus absolu. Les « de souches » n’ont le droit à aucune compassion. Ces gojas, ces kafiras ne sont que du gibier dont les souffrances, réelles elles, n’ont aucune espèce d’importance : seules comptent les quelques beurettes et les quelques juifs victimes du racisme. A noter que la liberté d’expression pour Sniper a été défendue par Guillaume Faye, au nom de la philosophie libertine partagée également par Maître Delcroix (nous en reparlerons la semaine prochaine lors du compte-rendu de son livre Le Théâtre de Satan). Notons également que la LCR a appelé à une action à Montpellier le 30 octobre dernier en faveur du groupe raciste et sexiste. Ce qui confirme une fois encore la collusion rouge-verte dont nous parlons ci-dessous…
Quel rapport entre Sniper et un projet de réforme électorale en Autriche ? Il est plus évident qu’on ne le croit. La petite formation conservatrice ÖVP a eu une idée assez intéressante quoi que pas très neuve (elle avait été notamment proposée par Bruno Gollnisch au parlement en 1986) : accorder une prime aux familles nombreuses en donnant à chaque père de famille une fois de plus par garçon mineur et à chaque mère une voix de plus par fille… Proposée par le porte-parole des Jeunesses de la formation, Lukas Mandl, elle est soutenue notamment par le président du parlement Andreas Khol et le ministre de l’Economie Martin Bartenstein (6 enfants chacun). Il s’est trouvé une association de gauche, « les Amis des enfants » (nous n’aurons pas la cruauté de rappeler qu’en grec, amis des enfants se traduit très exactement par « pédophiles »…) pour protester contre ce projet qui « rappelle les années 1930 et serait une régression vers une époque sombre pour la démocratie ». Nous sommes de chauds partisans de ce projet et ce, pour plusieurs raisons. La première, pour une raison de simple justice. Il est sain pour l’avenir du pays que ses générations futures aient le droit à la parole, ne serait-ce que par procuration, et ne subissent plus le diktat d’une minorité égoïste qui ne pense, comme on disait à l’armée, qu’à « manger la grenouille (c’est à dire faire la fête avec l’argent des autres) ». Il est anormal qu’une famille composée d’une seule personne ait autant de poids dans la société qu’une famille de 8 personnes. Ensuite, parce qu’une telle loi nous favoriserait électoralement. Sociologiquement, les familles nombreuses sont plus conservatrices et plus attachées aux valeurs que les familles éclatées ou monoparentale, votant plus à gauche car privilégiant le consumérisme à l’investissement. Politiquement, cela se constaterait par un bond électoral du FN et du MPF. Deux familles du FN de ma connaissance qui ont été candidates aux dernières élections verraient leur potentiel électoral passer respectivement de 2 voix à 13 et 14 voix !!! Enfin, en accélérant la possibilité d’un vote ethnique de la part des colonies de peuplement du Tiers-Monde, ce qui a terme serait excellent pour nous en faisant surgir des réflexes identitaires au sein de la population en faisant basculer des villes entières dans l’islamisme, ce qui serait une bonne chose pour nos intérêts (soigner le mal par le mal). De plus, le poids de la réforme (1 enfant = 1 voix) pourrait nous permettre de conquérir certains petits villages autour de nos prieurés et créer l’amorce de Tradiland. L’affaire Sniper et celle de ce projet autrichien montrent que le 21e siècle sera celui du communautarisme. La seule chance de survie non seulement pour notre communauté mais également pour notre peuple tout entier est une prise de conscience identitaire, le fait que somme devenue une minorité et que nous devons donc monter toute une structure autonome par les Blancs et pour les Blancs, ni plus ni moins comme les Juifs, les Maghrébins, les Noirs et les Asiatiques ont les leurs. Nous refuser ce droit sera l’aveu de l’existence d’une discrimination officielle d’état. Au moins, les choses seraient alors d’une clarté limpide et ne ferait que montrer à la face du monde la justesse de notre action…
Labels: décadence, droite nationale, Europe, racisme anti-blanc, Tradiland, viol ethnique
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