Une petite fille (Editorial du Libre Arverne - 18/12/2003)
C’était une petite fille de 11 ans. Car à onze ans, on est encore une petite fille, aussi bien sur le plan mental que sur le plan physique. Elle était scolarisée au collège La Garriole à Perpignan, en classe de 6e. Pendant un an, elle a été violée par une bande de petites racailles, profitant de sa déficience mentale. Je vais me faire gronder par le prêtre de ma paroisse qui va lire ces lignes, mais comme disait mes ancêtres Me ne frego. Rien à faire. Le seul sentiment qui prévaut quand on lit l’histoire de cette petite gamine, c’est la haine. Non pas la haine latine, impulsive, fanfaronne, haute en couleur. C’est plutôt la haine germanique, froide et implacable. Pour parler comme Achille Talon, l’inénarrable sciençophage immortalisé par Greg, après avoir réduit son voisin Hilarion Lefuneste à l’état d’épave humaine : « Il était temps cher voisin d’aplanir les quelques différents pouvant exister entre nous ». J’ai souvent dans ces colonnes revêtu la toge d’avocat, cette fois, c’est plutôt celle du procureur que je vais extraire de ma garde-robe. J’accuse le monde entier et sa proche banlieue d’être coupable du calvaire subi par cette pauvre simplette occitane… J’accuse l’Education Nationale de l’avoir laissée martyriser par son incompétence et son sectarisme racial, en privant cette enfant déjà démunie naturellement d’un cadre de protection dans lequel elle aurait pu être sauvée. Comme tolérer qu’une gamine arrive à l’école en plein hiver, à ONZE ANS, avec un débardeur et une jupe tellement courte que l’on voyait sa petite culotte ? C’est justement pour éviter ce genre d’incident que, premièrement, il faut rétablir les uniformes à l’école et deuxièmement, en finir avec la mixité. Il n’y a donc pas de règlement interne dans ce collège ? Une seule assistance sociale pour 800 élèves ? A quoi servent donc tous ces inutiles à « Bac plus trop » diplômés en sociologie ? Mais il est vrai que vu la marxisation avancée de cette profession, rien à attendre d’elle en matière de secours. J’accuse ses parents d’être des irresponsables coupables du malheur de leur fille. Comment ont-ils pu la laisser sortir à l’école à l’âge qu’elle avait en s’habillant dans une tenue que même une putain n’aurait osé mettre dans un bordel du début du siècle dernier. Ah, c’est vrai, il est interdit d’interdire. Je crois que la seule chose qui aurait alarmé les parents, c’est de voir leur petiote s’afficher avec le FNJ… J’accuse la télévision et les médiats de par leurs campagnes permanentes pour la débauche, d’avoir été à l’origine des viols multiples subis par cette enfant. Elle était, selon ce qu’en ont dit les experts, très immature. Ce sont vos fausses stars qui lui ont mis dans la tête cette mode vestimentaire atroce. Comme on dit par chez nous, en Auvergne : « Chauffe un marron, ça le fait péter ». Traduction : aguiche les garçons et ne t’étonne pas du résultat… Dans un monde où la pornographie est reine, comment ne pas s’étonner que de jeunes mâles, dont la prédisposition ethnique à un surplus de sécrétion de testostérone amène une précocité sexuelle et des appétits plus grands que la moyenne, gavés de saloperies télévisuelles, ne soient pas tentés par mettre en pratique ce qu’ils voient à la télé ? Ne nos inducas in tentationem. Qui, sinon les torchons qu’est la presse adolescente dont les rédacteurs devraient être pendus sans pitié avec de la corde à piano en place publique, ont fait croire à la gamine qu’il fallait bazarder sa virginité le plus tôt possible sous peine de passer pour une « oie blanche », une « coincée », une « petite pucelle ? ». On sait qui en France mène croisade contre la pureté, je l’ai assez répété ici, mais je précise qu’ils méritent une correction à vous faire voir danser les étoiles jaunes et valser les chandelles par groupe de sept… J’accuse ses camarades de collège d’avoir colporté les pires ragots à son encontre, la faisant passer pour « une fille facile », une sorte de paillasson sur lequel les garçons essuyaient autre chose que leurs pieds. Il ne s’est trouvé personne, pas une seule de ces petites merdeuses qui se prétendent démocrates, antiracistes, antifascistes mais qui ont un intellect oscillant entre celui du lemming et de l’amibe, pour l’aider, lui faire comprendre qu’elle se trompait, au lieu de la sacrifier comme une sorte de bouc émissaire bien commode. J’accuse la mafia immigrationniste (en un mot ou en deux, c’est vous qui voyez) de faciliter ce genre d’horreur par sa propagande omniprésente, incitant les filles blanches à céder à tous les allogènes qui les harcèlent sous peine de passer pour une vilaine raciste, sans oublier que les ennemis de la pureté et les partisans de cette forme d’esclavage sexuel sont les mêmes personnes. Au siècle dernier, il y eut des lois pour nous protéger contre ces gens-là… J’accuse les féministes de ne s’intéresser au sort des femmes uniquement que lorsque celui-ci sert leur cause, leur haine pathologique de l’homme blanc et chrétien. J’accuse la droite nationale surtout celle de ce département, de perdre son temps en querelles stériles et en chicanerie politicarde au lieu de remplir ce qui doit être sa mission première : défendre nos frères et sœurs de sang, surtout les plus faibles. Comme disait un autre personnage de la littérature, Monsieur Prudhomme : « Si cela continue, faudra que cela cesse ». Voilà mesdames et messieurs le produit de votre société, le régime de paix et de tolérance (pets et tollé rance plutôt) que vous nous imposez depuis 1945. Vous êtes coupables, point barre. Mane, hecel, Phares. Comme dit la chanson : « Une seule solution pour toi : 357 Magnum. Un seul verdict contre toi : 357 Magnum. Seule justice contre toi : 357 Magnum. Juste exécution pour toi : 357 Magnum ». Cette société mérite la mort, comptez sur moi pour aider à l’application du verdict !
Labels: culture de mort, décadence, racisme anti-blanc, viol ethnique
1 Comments:
" Qui, sinon les torchons qu’est la presse adolescente dont les rédacteurs devraient être pendus sans pitié avec de la corde à piano en place publique, ont fait croire à la gamine qu’il fallait bazarder sa virginité le plus tôt possible sous peine de passer pour une « oie blanche », une « coincée », une « petite pucelle ? ». "
j'avais déja remarqué depuis longtemps l'état de pourriture de la presse destinée aux ados... conseils pour se faire avorter sans que les parents soient au courant et hors delais légeaux, articles pronant la frenesie sexuelle... quand on sait qu'une sexualité trop intensive vide l'individu de son energie creatrice et de force vitalle, on se dit que c'est un exellent moyen d'épuiser psychiquement et spirituellement un peuple, en vidant ses batteries au niveau de l'invisible.
la corde a piano ? ach... mais non, vous n'y connaissez rien, c'est bien trop rapide... ca coupe net la trachée les carotides et les jugulaires jusqu'aux cervicalles... :)
la corde doit etre d'un gros diametre et il ne faut pas de chute (long drop), mais faire comme en iran, tirer avec une grue. le tout en sur les chmps élysées. pour le coté éducatif.
"J’accuse la mafia immigrationniste (en un mot ou en deux, c’est vous qui voyez) de faciliter ce genre d’horreur par sa propagande omniprésente, incitant les filles blanches à céder à tous les allogènes qui les harcèlent sous peine de passer pour une vilaine raciste"
par contre a deauville... hé non, c'est une idéologie uniquement destiné a l'exportation. :) remarquez on en veut pas.
quand aux ordures qui font des tournantes je preconise de les faire juger par des courts de justice islamiques. pas de recidive.
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