Identitarisme - (Editorial du Libre Arverne n°108 - 11/11/2004)
Le 7 novembre, la police de la pensée occupait la rue à Paris, Strasbourg, Lyon, Marseille et Nantes pour une démonstration de force qui a surtout, et cela nous réjouit ô combien, d’étaler ses divergences au grand jour. Le but de cette manifestation qui fut un fiasco était de défiler contre l’antisémitisme et contre une certaine forme de racisme dont la médiatisation est inversement proportionnelle à la réalité. Une fois encore, la forme de racisme la plus numériquement nombreuse (le racisme anti-blanc et anti-chrétien) n’est ni dénoncée, ni combattue. Elle est même véritablement niée. Jamais on n’a vu une mobilisation des organisations pour protester contre les très nombreuses profanations de cimetières chrétiens, d’incendie d’églises, de viol de blanches ou d’agressions racistes contre les indigènes. Preuve qu’elles cautionnent ce genre de racisme, ne serait-ce que par leur silence…
La LICRA, SOS Racisme et les organisations communautaristes juives ont refusé de s’associer aux manifestants en raison notamment de la présence de l’UOIF, organisme musulman jugé « antisémite », c’est-à-dire pas assez pro-israélien. Par contre, on y voyait la CFDT, la CFTC, la CGT, l’UNSA et des parlementaires du PCF, du PS, des Verts et de l’UMP. Partie de 14 heures à Paris, la manif organisée notamment par le MRAP a voulu recréer la fameuse alliance pan-sémite contre les autochtones accusés de racisme et ainsi effacer les tensions entre les deux demi-frères ennemis nées du conflit proche-oriental. On apprend dans Le Monde du 6 novembre les tenants et les aboutissants de cette manifestation. L’article est extrêmement constructif. On y apprend notamment qu’elle était en gestation depuis la mi-mai et que si le dimanche avait été choisi, c’est pour amadouer les Juifs afin de ne pas les faire défiler le jour du shabbat. Les catholiques étant considérés comme des citoyens de seconde zone et n’étant pas beaucoup (voire pas du tout) représentés à la tête de ces organisations, le dimanche pouvait convenir. Jusqu’au 29 juin, SOS-Racisme avait demandé un traitement particulier en ce qui concerne l’antisémitisme, mais cela fut refusé par le MRAP. Le refus définitif de Cukierman (CRIF), de Gaubert (LICRA) et de Sopo (SOS-Racisme) parvint entre le 15 et le 20 octobre. Le 5 novembre, le CRIF lançait un brûlot dans le jardin du MRAP, l’accusant « d’un certain dévoiement de l’antiracisme » et de « grande complaisance à l’égard du terrorisme palestinien ». Propos réfutés par Enzo Monsellato (Ligue de l’Enseignement) et Adeline Hazan (PS) qui les accusent de n’avoir jamais voulu participer au collectif. Bien entendu, la psychose du racisme est artificiellement entretenue par les médiats. Ainsi, dans La Montagne du 7 novembre, on pouvait lire les lignes suivantes : « Alors qu’une inquiétante recrudescence d’actes racistes ou discriminatoires apparaît en France »… Or, cette psychose est tout à fait artificielle. Pour prendre un exemple concret, il suffit par exemple de passer de 20 cas à 40 cas pour annoncer une augmentation de 100 %. A côté, passer de 1500 cas à 1550 cas n’est qu’une augmentation de 3,33 %. Pourtant, la statistique n° 2 est plus inquiétante aussi bien en quantité d’augmentation qu’en nombre de cas. Cependant, par l’habile artifice du taux d’augmentation donné hors-contexte, on peut faire croire que c’est la 1 qui prime. La propagande sur le soi-disant racisme est le digne fruit de ces méthodes. On se focalise sur les taux d’augmentation de faits marginaux pour ne pas parler du racisme anti-français autrement plus développé.
Comme l’apprentissage n’est guère que répéter 50 fois la même chose, je vais une fois encore prêcher dans le désert. Le XXIe siècle sera celui du communauratisme, le fait est acquis. Nous avons déjà un avant-goût de la société de demain, et cette dernière n’est vraiment pas réjouissante. La République est un régime raciste. Pire encore, la République serait comme une mère qui, dans sa maison, spolierait ses enfants naturels au détriment d’enfants adoptés. Pas un enfant ne supporterait ce traitement sans sentir en lui monter la révolte, la colère, peut-être la haine. J’avais en son temps fait une comparaison entre la société française contemporaine et l’ancestrale société babylonienne et son système de castes hiérarchisées (les hommes, les mesquins, les esclaves). Nous sommes très exactement dans ce système, une sorte de hiérarchie raciale dans le traitement médiatique et la victimisation. En gros, on ne fait qu’appliquer la fameuse phrase de Pierre-Bloch : « Quand un Français tue un Arabe, c’est forcément un crime raciste, quand un Arabe tue un Français c’est forcément un fait-divers ». Avez-vous vu la LICRA, le MRAP, la LDH ou SOS-Racisme se mobiliser quand un cimetière catholique est profané par un maghrébin comme récemment encore dans la Loire ? Quand, comme la petite Nolwenn de Vigneux, une gamine sert d’esclave sexuelle à une meute de fennecs des cités parce qu’elle est une blondinette kafira donc forcément une p… bonne pour la tournante ? Quand, comme l’infirmière d’Asnières, une femme est brûlée vive par un fou d’Allah ? Quand, comme à Evreux ou à Savigny-le-Temple, un père de famille est massacré par des sauvages se croyant en Côte d’Ivoire ?
On me rétorquera : « certes mon tout bon, vous avez raison, mais que faire ? ». La solution, je l’ai dit et répété, ne viendra que de la constitution d’une organisation communautariste défendant nos droits et nos intérêts. Faire confiance aux institutions, quand on connaît le mépris, qu’elles éprouvent pour les Français, mille fois démontré par les faits, serait faire preuve d’une imbécillité criminelle. Nos bulletins de vote n’ont pas l’ombre d’un quart de commencement d’utilité. Que pèsent ces dérisoires bouts de papiers recyclés face à la puissance des lobbies financiers qui placent leurs pantins à la tête du pays ? Le Front National est un pis-aller mais est justement beaucoup trop républicain pour être le syndicat efficace des autochtones de ce pays. Comme je l’ai déjà souvent dit, si les disciples de Martin Luther King peuvent scander « Black is beautiful », nous exigeons le droit de dire « White is wonderful ». Nous devons retrouver nos racines face à ceux qui veulent nous imposer leurs valeurs. Car il y a une véritable colonisation mentale qui s’instaure et qui est entretenue, alimentée, exacerbée, par une foultitude de lois, de règlements, de dogmes inquisiteurs.
Sur Forum Politique, un tenant de la vieille droite me faisait en quelque sorte le bon vieux « chantage au patriotisme », qui nous a fait tant de mal en 1914. Je lui ai répliqué que nous attendions des gestes forts de l’état. Il est temps maintenant de préciser lesquels. Pour que nous retournions à la table des négociations avec la République, voici ce que nos exigeons : financement aux frais de l’Etat d’une campagne d’information et de devoir de mémoire qui vise à faire connaître les persécutions infligées par la République contre les catholiques dans ce pays, avec visite par les écoles – le tout avec financement du Conseil Régional – du mémorial vendéen aux Lucs-sur-Boulogne et inscription des crimes commis en Vendée comme « crime contre l’Humanité » ; rappel dans les manuels scolaires de certains passages occultés : consacrer autant de place à la Michelade qu’à la Saint-Barthélémy, autant à l’affaire des Fiches qu’à l’affaire Dreyfus, autant aux crimes de la Résistance qu’à ceux de Vichy, autant aux crimes communistes qu’aux crimes nazis… De même, nous exigeons un « donnant, donnant » à une éventuelle politique de discrimination positive : une démocratie devant assurer à chacun une représentation conforme à sa part dans la population, nous estimons que les idées nationalistes doivent être répercutés par 15 % au moins des présentateurs de télévision et 15 % de l’idéologie ambiante des téléfilms. Pareillement, nous exigeons qu’une discrimination positive envers les leucodermes soit appliquée aux équipes d’athlétisme, de football et de basket-ball. Nous exigeons également que les collaborateurs du communisme soient châtiés avec la même sévérité que ceux qui collaborèrent avec le nazisme et que les propos racistes ou haineux contre les personnes de race blanche ou l’Eglise catholique soient traités avec la même fermeté que ceux contre les autres religions. Et, last but not least, suppression de la loi Gayssot ou, au contraire, extension de celle-ci à tous les génocides de l’histoire… Mais ne rêvons pas, jamais la République ne nous donnera le quart du commencement d’une concession. Aussi, c’est par nous-mêmes et à la force du poignet que nous créerons notre nouvelle nation, où notre communauté pourra vivre en paix dans le respect de son histoire, de ses valeurs et de sa culture…
La LICRA, SOS Racisme et les organisations communautaristes juives ont refusé de s’associer aux manifestants en raison notamment de la présence de l’UOIF, organisme musulman jugé « antisémite », c’est-à-dire pas assez pro-israélien. Par contre, on y voyait la CFDT, la CFTC, la CGT, l’UNSA et des parlementaires du PCF, du PS, des Verts et de l’UMP. Partie de 14 heures à Paris, la manif organisée notamment par le MRAP a voulu recréer la fameuse alliance pan-sémite contre les autochtones accusés de racisme et ainsi effacer les tensions entre les deux demi-frères ennemis nées du conflit proche-oriental. On apprend dans Le Monde du 6 novembre les tenants et les aboutissants de cette manifestation. L’article est extrêmement constructif. On y apprend notamment qu’elle était en gestation depuis la mi-mai et que si le dimanche avait été choisi, c’est pour amadouer les Juifs afin de ne pas les faire défiler le jour du shabbat. Les catholiques étant considérés comme des citoyens de seconde zone et n’étant pas beaucoup (voire pas du tout) représentés à la tête de ces organisations, le dimanche pouvait convenir. Jusqu’au 29 juin, SOS-Racisme avait demandé un traitement particulier en ce qui concerne l’antisémitisme, mais cela fut refusé par le MRAP. Le refus définitif de Cukierman (CRIF), de Gaubert (LICRA) et de Sopo (SOS-Racisme) parvint entre le 15 et le 20 octobre. Le 5 novembre, le CRIF lançait un brûlot dans le jardin du MRAP, l’accusant « d’un certain dévoiement de l’antiracisme » et de « grande complaisance à l’égard du terrorisme palestinien ». Propos réfutés par Enzo Monsellato (Ligue de l’Enseignement) et Adeline Hazan (PS) qui les accusent de n’avoir jamais voulu participer au collectif. Bien entendu, la psychose du racisme est artificiellement entretenue par les médiats. Ainsi, dans La Montagne du 7 novembre, on pouvait lire les lignes suivantes : « Alors qu’une inquiétante recrudescence d’actes racistes ou discriminatoires apparaît en France »… Or, cette psychose est tout à fait artificielle. Pour prendre un exemple concret, il suffit par exemple de passer de 20 cas à 40 cas pour annoncer une augmentation de 100 %. A côté, passer de 1500 cas à 1550 cas n’est qu’une augmentation de 3,33 %. Pourtant, la statistique n° 2 est plus inquiétante aussi bien en quantité d’augmentation qu’en nombre de cas. Cependant, par l’habile artifice du taux d’augmentation donné hors-contexte, on peut faire croire que c’est la 1 qui prime. La propagande sur le soi-disant racisme est le digne fruit de ces méthodes. On se focalise sur les taux d’augmentation de faits marginaux pour ne pas parler du racisme anti-français autrement plus développé.
Comme l’apprentissage n’est guère que répéter 50 fois la même chose, je vais une fois encore prêcher dans le désert. Le XXIe siècle sera celui du communauratisme, le fait est acquis. Nous avons déjà un avant-goût de la société de demain, et cette dernière n’est vraiment pas réjouissante. La République est un régime raciste. Pire encore, la République serait comme une mère qui, dans sa maison, spolierait ses enfants naturels au détriment d’enfants adoptés. Pas un enfant ne supporterait ce traitement sans sentir en lui monter la révolte, la colère, peut-être la haine. J’avais en son temps fait une comparaison entre la société française contemporaine et l’ancestrale société babylonienne et son système de castes hiérarchisées (les hommes, les mesquins, les esclaves). Nous sommes très exactement dans ce système, une sorte de hiérarchie raciale dans le traitement médiatique et la victimisation. En gros, on ne fait qu’appliquer la fameuse phrase de Pierre-Bloch : « Quand un Français tue un Arabe, c’est forcément un crime raciste, quand un Arabe tue un Français c’est forcément un fait-divers ». Avez-vous vu la LICRA, le MRAP, la LDH ou SOS-Racisme se mobiliser quand un cimetière catholique est profané par un maghrébin comme récemment encore dans la Loire ? Quand, comme la petite Nolwenn de Vigneux, une gamine sert d’esclave sexuelle à une meute de fennecs des cités parce qu’elle est une blondinette kafira donc forcément une p… bonne pour la tournante ? Quand, comme l’infirmière d’Asnières, une femme est brûlée vive par un fou d’Allah ? Quand, comme à Evreux ou à Savigny-le-Temple, un père de famille est massacré par des sauvages se croyant en Côte d’Ivoire ?
On me rétorquera : « certes mon tout bon, vous avez raison, mais que faire ? ». La solution, je l’ai dit et répété, ne viendra que de la constitution d’une organisation communautariste défendant nos droits et nos intérêts. Faire confiance aux institutions, quand on connaît le mépris, qu’elles éprouvent pour les Français, mille fois démontré par les faits, serait faire preuve d’une imbécillité criminelle. Nos bulletins de vote n’ont pas l’ombre d’un quart de commencement d’utilité. Que pèsent ces dérisoires bouts de papiers recyclés face à la puissance des lobbies financiers qui placent leurs pantins à la tête du pays ? Le Front National est un pis-aller mais est justement beaucoup trop républicain pour être le syndicat efficace des autochtones de ce pays. Comme je l’ai déjà souvent dit, si les disciples de Martin Luther King peuvent scander « Black is beautiful », nous exigeons le droit de dire « White is wonderful ». Nous devons retrouver nos racines face à ceux qui veulent nous imposer leurs valeurs. Car il y a une véritable colonisation mentale qui s’instaure et qui est entretenue, alimentée, exacerbée, par une foultitude de lois, de règlements, de dogmes inquisiteurs.
Sur Forum Politique, un tenant de la vieille droite me faisait en quelque sorte le bon vieux « chantage au patriotisme », qui nous a fait tant de mal en 1914. Je lui ai répliqué que nous attendions des gestes forts de l’état. Il est temps maintenant de préciser lesquels. Pour que nous retournions à la table des négociations avec la République, voici ce que nos exigeons : financement aux frais de l’Etat d’une campagne d’information et de devoir de mémoire qui vise à faire connaître les persécutions infligées par la République contre les catholiques dans ce pays, avec visite par les écoles – le tout avec financement du Conseil Régional – du mémorial vendéen aux Lucs-sur-Boulogne et inscription des crimes commis en Vendée comme « crime contre l’Humanité » ; rappel dans les manuels scolaires de certains passages occultés : consacrer autant de place à la Michelade qu’à la Saint-Barthélémy, autant à l’affaire des Fiches qu’à l’affaire Dreyfus, autant aux crimes de la Résistance qu’à ceux de Vichy, autant aux crimes communistes qu’aux crimes nazis… De même, nous exigeons un « donnant, donnant » à une éventuelle politique de discrimination positive : une démocratie devant assurer à chacun une représentation conforme à sa part dans la population, nous estimons que les idées nationalistes doivent être répercutés par 15 % au moins des présentateurs de télévision et 15 % de l’idéologie ambiante des téléfilms. Pareillement, nous exigeons qu’une discrimination positive envers les leucodermes soit appliquée aux équipes d’athlétisme, de football et de basket-ball. Nous exigeons également que les collaborateurs du communisme soient châtiés avec la même sévérité que ceux qui collaborèrent avec le nazisme et que les propos racistes ou haineux contre les personnes de race blanche ou l’Eglise catholique soient traités avec la même fermeté que ceux contre les autres religions. Et, last but not least, suppression de la loi Gayssot ou, au contraire, extension de celle-ci à tous les génocides de l’histoire… Mais ne rêvons pas, jamais la République ne nous donnera le quart du commencement d’une concession. Aussi, c’est par nous-mêmes et à la force du poignet que nous créerons notre nouvelle nation, où notre communauté pourra vivre en paix dans le respect de son histoire, de ses valeurs et de sa culture…
Labels: juifs, parti français chrétiens, racisme anti-blanc, Tradiland
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