L'an prochain à Tradiland (Editorial du Libre Arverne n°216 - 07/12/2006)
L’assassinat de Julien Quénemer a j’espère décillé les yeux de tous les identitaires : la France n’aime pas ses enfants, pas plus que la Belgique ou l’Angleterre d’ailleurs. Le sort que vous réserve la République est similaire au nôtre : l’extermination. Votre crime ? Vous être révolté contre l’ordre ambiant. Les nouveaux éléments de l’enquête sont accablants : Antoine Granomort, le policier assassin va passer au tribunal le 20 juin 2007 pour avoir volé 13.200 euros à son beau-père et en plus avoir déposé une fausse plainte sur une séquestration et d’un viol par des dealers qui lui auraient réclamé une rançon de 15.000 euros, ce qui le rend passible de 5 ans de prison et 375.000 euros d’amende. On se demande si les soi-disant « propos racistes » qu’il a entendu ne sont pas en ficelle du même métal. Même chose pour celui qu’il a « protégé », un individu à nationalité variable proche de la Ligue de Défense Juive, un groupe terroriste protégé par la LICRA et le PS. Notons également que le club israélien, Hapoel Tel-Aviv est considéré comme l’un des clubs les plus racistes d’Europe, avec de fréquents « morts aux Arabes » scandés dans ses tribunes. Les propos glanés ça et là montre la triste réalité. Elle n’est pas bonne à dire, mais même si cela fait mal, même si cela est mal vu, les faits sont accablants : nous vivons sous une implacable dictature juive. Certains nous avaient averti en 1940, ils n’ont pas été écouté et on en paie le prix. Nous avons dépassé le stade de l’insupportable police juive de la pensée dénoncée par Annie Kriegel pour atteindre ce que Martin Peltier avait appelé la Judapo. Désormais, on peut vous abattre comme un chien si vous avez fait ombrage à un extrémiste juif. C’est le retour à l’URSS, comme d’ailleurs l’annonce le livre présenté dans la rubrique culture. C’est le symbole de toute l’imposture républicaine, démocratique et « antiraciste » : un flic véreux des « colonies » abat sans pitié un identitaire gaulois pour défendre un extrémiste juif. Cela ne nous surprend pas… Savez-vous par exemple que les gendarmes sont conditionnés à la chasse aux identitaires ? Dans le numéro 140 d’Armée d’aujourd’hui datant d’août 1989, on voyait des gendarmes formés à la répression anti-émeutes. Face à eux, dans le rôle des « méchants », le « plastron » en langage technique, des gendarmes habillés en tricolore avec des casques sur lesquels on pouvait lire « FN toujours ! ». Le tout dans le but de créer un réflexe pavlovien chez les gendarmes… Seuls les naïfs peuvent croire que la police nous est favorable. A de rares exceptions près, elle nous est hostile. 6 % des policiers sont proches de la droite nationale contre 17 % de la population, 66 % des policiers sont de gauche, 36 % de droite si on en croit les élections syndicales de novembre dernier. Elle est de plus massivement gangrenée par la F\ qui voue une haine pathologique à tout identitarisme autochtone (voir Le Libre Arverne n°79)
Plusieurs éléments révélateurs ne sont pas à prendre à la légère. Le 24 novembre, Joaquin Massanet, le secrétaire général de l’UNSA, un syndicat de policiers de gauche a déclaré sur la radio d’extrême gauche France Infos : «mais c’est quand même des racistes » pour justifier le fait qu’il y eut mort d’homme. Le même a également déclaré « il faut éradiquer (ce qui signifie éliminer physiquement) ces gens-là ». Jurisprudence du camé violent Zidane, le roi du coup de boule… Le crime au nom des « bonnes valeurs ». Toute la tradition démocratique… Le procureur de la République, c’est-à-dire l’administrateur général de la schlague étatique, Jean-Claude Marin, prétendit que les soi-disant « lyncheurs » criaient « Le Pen président », ce qui valut un légitime dépôt de plainte du parti à la flamme. Or la veille, un autre robin fourré condamnait à six mois de prison ferme un policier blanc qui avait donné des coups de pieds à des Maghrébins qui allaient lyncher ses collègues, notamment une fliquette. Commentaire du juge : « gestes inacceptables car susceptibles de briser un peu plus la relation de confiance qui doit exister entre une population et sa police ». J’espère maintenant que les identitaires n’auront plus confiance dans la police du pouvoir et auront compris que désormais, nous devons avoir notre propre police et notre propre justice pour défendre nos droits et même nos vies. L’internationale juive s’en mêla : l’American Jewish Comitte va ainsi former la police française « à la lutte contre les crimes de haine », avec l’appui des chef de la police israélienne Gideon Ezra et Moshe Karadi. Plus que jamais le slogan du GUD devient réalité : « A Paris comme à Gaza, Intifada ! ».
La presse rivalisera d’ignominie. Quand on relève les noms des patrons et des financiers de ces torchons régimistes, rien de bien surprenant. Sur France 3 le 25 novembre, le très gauchisant Bernard Pivot louait le criminel, le déclarait « en état de légitime défense face aux nervis fascistes, suant de haine qui prennent le foot en otage ». Rien de moins. Ce qui prouve qu’hélas, on peut être supporter de l’AS Saint-Etienne et être une parfaite crapule… On ne l’entend pas protester contre les lynchages quotidiens de policiers et d’autochtones en banlieue, autrement plus violents, meurtrièrs et dangereux. Mais dans ce cas-là, c’est du racisme casher. Dans Libération, un commis aux écritures de chez Rothschild s’indigne que le président du PSG, Alain Caysac, ait promis de payer une partie des frais d’hospitalisation du blessé, membre des Tigris, un groupe de supporters gauchistes qui passèrent le match à agiter des drapeaux palestiniens. Nous étudierons le cas de Marianne (pas un goy dans la direction) dans le n°219 et celui de la presse sportive (L’Equipe et France Football) dans le n°218.
Je ne suis pas un aficionado de la violence dans les stades. Je comprends ce qui pousse certains à pousser des cris de singes dans les tribunes, une forme de vengeance contre l’oppression raciale du régime et des colons. Je comprends, je compatis, mais je désapprouve. Je trouve ce geste à la fois hypocrite et con. Hypocrite parce que je n’ai jamais compris pourquoi le même type pouvait « faire le singe » quand un noir d’un autre club touche la balle et applaudir quand Bernard Mendy… non, mauvais exemple. Bernard Mendy n’a jamais rien fait méritant des applaudissements. Je reprends.. et applaudir quand Edouard Cissé… non plus en fait. Bon, mettons Amara Diané. Et applaudir quand Amara Diané joue bien. Ensuite, con car contre-productif, nihiliste même. En effet, cela ne peut que faire le jeu du régime, je nous explique pas comment, je crois que la mort de Julien vous a ouvert les yeux. Investissez-vous plutôt dans des actions utiles en frappant vos vrais ennemis et non en insultant des gladiateurs dont le salaire est certes une insulte à la misère ambiante mais qui ne font que profiter d’un système que vous cautionnez quelque part en allant au stade. Au passage, je n’aurais pas la cruauté de vous rappeler que Thiriez, le patron de la Ligue, vient de la LCR… je souscris totalement à l’analyse de mon confrère René Blanc dans Rivarol : « La police bâillonnée, menottée, désarmée face à la délinquance immigrée peut se défouler sur les mimiles d’autoroute, les paysans, ouvriers-chômeurs, pompiers, artisans et commerçants, tous affiliés aux dernières corporations non encore racialement désintégrées (…) Toutes les études sociologique le montrent, les gradins les plus agités sont occupés par ces parias qu’a dépossédés la société multiraciale et auxquels on dénie par la diffamation, la calomnie, la perfidie, jusqu’à la fierté de posséder un passé. Tandis que de puissantes mécaniques falsifient leur Histoire, mis au banc des médiats qui les agonissent d’insultes, ils perçoivent que ceux qui les ont expulsés de leur quartier, de leur école, de leur emploi, disposent en sus de micros et de cameras pour gommer toute trace de leur identité ». La France ne veut pas de vous. Tradiland, par contre, est prête à vous adopter.
Je lance cet appel à ceux dont la France, ou du moins ce qui l’a remplacée, ne veut plus. L’heure est venue d’unir nos forces, nous avons tant à partager. Nous Tradilandais avons réalisé avec des moyens dérisoires des choses qui sont susceptibles de vous intéresser et qui pourront devenir de grandes choses quand nous aurons un état. Nous avons un système éducatif performant qui peut séduire les jeunes parents que vous êtes ou aller devenir. Nous avons un réseau culturel développé, nous sommes un peuple courageux et entreprenant à qui ne manque qu’un état. Nous avons tout sauf deux choses : l’argent et le territoire. L’argent nous permettrait l’indépendance totale : nous aurions notre banque et nous pourrions développer notre culture (notamment en créant une industrie cinématographique libre) Le territoire, bien sûr, nous permettrait de vivre libres. Je vous propose une alliance : vous nous aidez à obtenir notre indépendance et en contre-partie, nous vous aiderons à la reconquête de votre pays. Où, pourquoi pas, vivre ensemble dans le même pays libre. La cohabitation entre nos deux peuples pourrait se faire harmonieusement une fois que nous serons débarrassés des facteurs allogènes de pourrissement et de décadence. Quelques personnes peuvent faire la charnière entre nos deux communautés, c’est plus que jouable. L’argent, on pourrait l’avoir en le prenant aux parasites du sport, de la culture, de la publicité, de la haute fonction publique, des médiats et de certaines associations. Reprendre ce qui nous a été volé, y compris nos églises ancestrales accaparées par la secte conciliaire.
Puisque j’en suis à lancer des appels, je me tourne maintenant vers les identitaires noirs de feue la Tribu Ka. La récente visite de Dieudonné aux BBR a amené une redistribution des cartes, à tel point que la presse aux ordres s’en est alarmée (il suffit de lire l’article dégoulinant de haine marque de fabrique du gras et suant Claude Askolovitch dans Le Nouvel Observateur intitulé Dieudonné chez son maître). Monsieur Seba, tout d’abord une petite demande d’ordre sémantique. Vous vous considérez comme kémite et vous revendiquez comme tel. Soit, je suis prêt à vous appeler comme cela si de votre côté vous abandonniez l’inutile « leucoderme » pour le terme « aryen » qui nous a toujours qualifié. J’ai appris que vous allez vous présenter aux élections municipales contre Dominique Strauss-Kahn à Sarcelles et je ne peux que vous y encourager. J’ai lu plusieurs de vos entretiens et en ai retenu une phrase concernant Hitler, quelque chose disant en gros que les nazis avaient plus aimé l’Allemagne que l’Allemagne ne s’aimait elle-même. Vous avez mieux compris le nazisme que 90 % des Blancs ! Inutile de tourner autour du pot : votre désir admirable de vous épanouir vous et les vôtres dans votre savane ancestrale est digne d’éloge. Le corollaire étant que nous puissions faire de même dans nos forêts. Vous les fils de Cham et nous les fils de Japhet avons été opprimés et spoliés par le troisième frère, Sem, qui nous a même souvent monté l’un contre l’autre. Vous avez, et c’est tout à votre honneur, brisé le carcan intellectuel. Sans remonter jusqu’aux années soixante et au soutien apporté aux Afro-américains par Défense de l’Occident dans leurs revendications identitaires, je vous propose une alliance : vous nous aidez à obtenir notre indépendance et en contre-partie, on vous appuiera dans votre retour vers votre patrie africaine.
Tous unis contre l’ennemi commun : le régime et ses sbires qui assurent la répression (flics, juges), l’endoctrinement (profs, médiats, culture) ou la reproduction du système (énarchie du public ou du privé). Sans oublier bien sûr les tenants de l’ordre planétarien tyrannique, mercantile et obscurantiste. Nous devons nous abstenir de toute pitié vis-à-vis de cette engeance. L’ennemi est là et nul part ailleurs et non les demi-sels qui sévissent dans les banlieues. Ce qui n’empêche pas, évidemment, que l’on protège les nôtres de leurs exactions. Le sang de nos martyrs, assassinés par le système, se sont mélangés et ont édifié le temple du respect mutuel. Vous pleurez un jeune homme, nous pleurons des enfants. Comme en Espagne en 1936, soyons unis malgré nos différences et nous renverserons le régime.
J’ai sonné à la porte de la grande maison, j'attendais la belle femme en robe blanche qui devait m'apporter le réconfort. La porte s'ouvrit. « Bonjour, je dois voir madame Justice ». « Désolée, elle ne peut pas vous recevoir, en fait, elle n'en n'a pas envie... » Je tourne les talons, dépité... « Attendez, il y a ici ,une autre belle femme qui elle va vous recevoir.... » La jeune femme est devant moi, une robe rouge, des cheveux noirs et un sourire plein de dents... « Te voilà enfin, je t'attendais depuis si longtemps... Justice n'est qu'une catin, elle se vend, et toi mon pauvre, tu n'as pas un sou en poche... Moi, je m'offre et je sais que tu as envie de ma compagnie ». « Mais mademoiselle, quelle est votre nom ? ». Elle sourit, ses dents ont l'air de crocs... « Je suis la bâtarde, la demi-sœur de Justice... Je m'appelle Vengeance ! »
Plusieurs éléments révélateurs ne sont pas à prendre à la légère. Le 24 novembre, Joaquin Massanet, le secrétaire général de l’UNSA, un syndicat de policiers de gauche a déclaré sur la radio d’extrême gauche France Infos : «mais c’est quand même des racistes » pour justifier le fait qu’il y eut mort d’homme. Le même a également déclaré « il faut éradiquer (ce qui signifie éliminer physiquement) ces gens-là ». Jurisprudence du camé violent Zidane, le roi du coup de boule… Le crime au nom des « bonnes valeurs ». Toute la tradition démocratique… Le procureur de la République, c’est-à-dire l’administrateur général de la schlague étatique, Jean-Claude Marin, prétendit que les soi-disant « lyncheurs » criaient « Le Pen président », ce qui valut un légitime dépôt de plainte du parti à la flamme. Or la veille, un autre robin fourré condamnait à six mois de prison ferme un policier blanc qui avait donné des coups de pieds à des Maghrébins qui allaient lyncher ses collègues, notamment une fliquette. Commentaire du juge : « gestes inacceptables car susceptibles de briser un peu plus la relation de confiance qui doit exister entre une population et sa police ». J’espère maintenant que les identitaires n’auront plus confiance dans la police du pouvoir et auront compris que désormais, nous devons avoir notre propre police et notre propre justice pour défendre nos droits et même nos vies. L’internationale juive s’en mêla : l’American Jewish Comitte va ainsi former la police française « à la lutte contre les crimes de haine », avec l’appui des chef de la police israélienne Gideon Ezra et Moshe Karadi. Plus que jamais le slogan du GUD devient réalité : « A Paris comme à Gaza, Intifada ! ».
La presse rivalisera d’ignominie. Quand on relève les noms des patrons et des financiers de ces torchons régimistes, rien de bien surprenant. Sur France 3 le 25 novembre, le très gauchisant Bernard Pivot louait le criminel, le déclarait « en état de légitime défense face aux nervis fascistes, suant de haine qui prennent le foot en otage ». Rien de moins. Ce qui prouve qu’hélas, on peut être supporter de l’AS Saint-Etienne et être une parfaite crapule… On ne l’entend pas protester contre les lynchages quotidiens de policiers et d’autochtones en banlieue, autrement plus violents, meurtrièrs et dangereux. Mais dans ce cas-là, c’est du racisme casher. Dans Libération, un commis aux écritures de chez Rothschild s’indigne que le président du PSG, Alain Caysac, ait promis de payer une partie des frais d’hospitalisation du blessé, membre des Tigris, un groupe de supporters gauchistes qui passèrent le match à agiter des drapeaux palestiniens. Nous étudierons le cas de Marianne (pas un goy dans la direction) dans le n°219 et celui de la presse sportive (L’Equipe et France Football) dans le n°218.
Je ne suis pas un aficionado de la violence dans les stades. Je comprends ce qui pousse certains à pousser des cris de singes dans les tribunes, une forme de vengeance contre l’oppression raciale du régime et des colons. Je comprends, je compatis, mais je désapprouve. Je trouve ce geste à la fois hypocrite et con. Hypocrite parce que je n’ai jamais compris pourquoi le même type pouvait « faire le singe » quand un noir d’un autre club touche la balle et applaudir quand Bernard Mendy… non, mauvais exemple. Bernard Mendy n’a jamais rien fait méritant des applaudissements. Je reprends.. et applaudir quand Edouard Cissé… non plus en fait. Bon, mettons Amara Diané. Et applaudir quand Amara Diané joue bien. Ensuite, con car contre-productif, nihiliste même. En effet, cela ne peut que faire le jeu du régime, je nous explique pas comment, je crois que la mort de Julien vous a ouvert les yeux. Investissez-vous plutôt dans des actions utiles en frappant vos vrais ennemis et non en insultant des gladiateurs dont le salaire est certes une insulte à la misère ambiante mais qui ne font que profiter d’un système que vous cautionnez quelque part en allant au stade. Au passage, je n’aurais pas la cruauté de vous rappeler que Thiriez, le patron de la Ligue, vient de la LCR… je souscris totalement à l’analyse de mon confrère René Blanc dans Rivarol : « La police bâillonnée, menottée, désarmée face à la délinquance immigrée peut se défouler sur les mimiles d’autoroute, les paysans, ouvriers-chômeurs, pompiers, artisans et commerçants, tous affiliés aux dernières corporations non encore racialement désintégrées (…) Toutes les études sociologique le montrent, les gradins les plus agités sont occupés par ces parias qu’a dépossédés la société multiraciale et auxquels on dénie par la diffamation, la calomnie, la perfidie, jusqu’à la fierté de posséder un passé. Tandis que de puissantes mécaniques falsifient leur Histoire, mis au banc des médiats qui les agonissent d’insultes, ils perçoivent que ceux qui les ont expulsés de leur quartier, de leur école, de leur emploi, disposent en sus de micros et de cameras pour gommer toute trace de leur identité ». La France ne veut pas de vous. Tradiland, par contre, est prête à vous adopter.
Je lance cet appel à ceux dont la France, ou du moins ce qui l’a remplacée, ne veut plus. L’heure est venue d’unir nos forces, nous avons tant à partager. Nous Tradilandais avons réalisé avec des moyens dérisoires des choses qui sont susceptibles de vous intéresser et qui pourront devenir de grandes choses quand nous aurons un état. Nous avons un système éducatif performant qui peut séduire les jeunes parents que vous êtes ou aller devenir. Nous avons un réseau culturel développé, nous sommes un peuple courageux et entreprenant à qui ne manque qu’un état. Nous avons tout sauf deux choses : l’argent et le territoire. L’argent nous permettrait l’indépendance totale : nous aurions notre banque et nous pourrions développer notre culture (notamment en créant une industrie cinématographique libre) Le territoire, bien sûr, nous permettrait de vivre libres. Je vous propose une alliance : vous nous aidez à obtenir notre indépendance et en contre-partie, nous vous aiderons à la reconquête de votre pays. Où, pourquoi pas, vivre ensemble dans le même pays libre. La cohabitation entre nos deux peuples pourrait se faire harmonieusement une fois que nous serons débarrassés des facteurs allogènes de pourrissement et de décadence. Quelques personnes peuvent faire la charnière entre nos deux communautés, c’est plus que jouable. L’argent, on pourrait l’avoir en le prenant aux parasites du sport, de la culture, de la publicité, de la haute fonction publique, des médiats et de certaines associations. Reprendre ce qui nous a été volé, y compris nos églises ancestrales accaparées par la secte conciliaire.
Puisque j’en suis à lancer des appels, je me tourne maintenant vers les identitaires noirs de feue la Tribu Ka. La récente visite de Dieudonné aux BBR a amené une redistribution des cartes, à tel point que la presse aux ordres s’en est alarmée (il suffit de lire l’article dégoulinant de haine marque de fabrique du gras et suant Claude Askolovitch dans Le Nouvel Observateur intitulé Dieudonné chez son maître). Monsieur Seba, tout d’abord une petite demande d’ordre sémantique. Vous vous considérez comme kémite et vous revendiquez comme tel. Soit, je suis prêt à vous appeler comme cela si de votre côté vous abandonniez l’inutile « leucoderme » pour le terme « aryen » qui nous a toujours qualifié. J’ai appris que vous allez vous présenter aux élections municipales contre Dominique Strauss-Kahn à Sarcelles et je ne peux que vous y encourager. J’ai lu plusieurs de vos entretiens et en ai retenu une phrase concernant Hitler, quelque chose disant en gros que les nazis avaient plus aimé l’Allemagne que l’Allemagne ne s’aimait elle-même. Vous avez mieux compris le nazisme que 90 % des Blancs ! Inutile de tourner autour du pot : votre désir admirable de vous épanouir vous et les vôtres dans votre savane ancestrale est digne d’éloge. Le corollaire étant que nous puissions faire de même dans nos forêts. Vous les fils de Cham et nous les fils de Japhet avons été opprimés et spoliés par le troisième frère, Sem, qui nous a même souvent monté l’un contre l’autre. Vous avez, et c’est tout à votre honneur, brisé le carcan intellectuel. Sans remonter jusqu’aux années soixante et au soutien apporté aux Afro-américains par Défense de l’Occident dans leurs revendications identitaires, je vous propose une alliance : vous nous aidez à obtenir notre indépendance et en contre-partie, on vous appuiera dans votre retour vers votre patrie africaine.
Tous unis contre l’ennemi commun : le régime et ses sbires qui assurent la répression (flics, juges), l’endoctrinement (profs, médiats, culture) ou la reproduction du système (énarchie du public ou du privé). Sans oublier bien sûr les tenants de l’ordre planétarien tyrannique, mercantile et obscurantiste. Nous devons nous abstenir de toute pitié vis-à-vis de cette engeance. L’ennemi est là et nul part ailleurs et non les demi-sels qui sévissent dans les banlieues. Ce qui n’empêche pas, évidemment, que l’on protège les nôtres de leurs exactions. Le sang de nos martyrs, assassinés par le système, se sont mélangés et ont édifié le temple du respect mutuel. Vous pleurez un jeune homme, nous pleurons des enfants. Comme en Espagne en 1936, soyons unis malgré nos différences et nous renverserons le régime.
J’ai sonné à la porte de la grande maison, j'attendais la belle femme en robe blanche qui devait m'apporter le réconfort. La porte s'ouvrit. « Bonjour, je dois voir madame Justice ». « Désolée, elle ne peut pas vous recevoir, en fait, elle n'en n'a pas envie... » Je tourne les talons, dépité... « Attendez, il y a ici ,une autre belle femme qui elle va vous recevoir.... » La jeune femme est devant moi, une robe rouge, des cheveux noirs et un sourire plein de dents... « Te voilà enfin, je t'attendais depuis si longtemps... Justice n'est qu'une catin, elle se vend, et toi mon pauvre, tu n'as pas un sou en poche... Moi, je m'offre et je sais que tu as envie de ma compagnie ». « Mais mademoiselle, quelle est votre nom ? ». Elle sourit, ses dents ont l'air de crocs... « Je suis la bâtarde, la demi-sœur de Justice... Je m'appelle Vengeance ! »
Labels: droite nationale, héros et martyrs, Tradiland
10 Comments:
"Quand tous trahirons, nous resterons fidèles"
Boulogne Boys
Contre les flics qui ont la gachette facile sur les fils du peuple (qu'ils se nomment Mounir ou Julien), contre les Prefets qui interdisent les distributions de soupes populaires au cochon, contre ces élites cosmopolites décadentes qui accaparent le pouvoir et les richesses, contre les mafias qui mettent notre pays à l'amende, contre ces propagandistes obsédés de la race qui tentent de nous faire accroire que quand on sera tous métissés on sera moins c...,
au Printemps 2007:
EMEUTE DANS LES URNES!!!!
Pourquoi ne pas contacter directement Monsieur Kémi Séba via son mail, puisqu'il a déjà traité avec des Aryens?
...parce que c'est une lettre ouverte ...
Extrême mais toujours excellent.
Très bon texte comme d'habitude...
J'espére toutefois que "l'an prochain à Tradiland" se réalisera plus vite pour les Tradilandais que l'exhortation mosaïque...
(Sinon la photo, c'est toi ?)
Je te trouve camarade d'un optimisme confondant! Sans doute la vertu intime d'une foi que je ne partage pas? En tout cas, je ne vois pas comment pourait commencer de se concrétiser ce rêve de Tradiland. C'est pourtant là qu'est la seule voie que nous pouvons emprunter. Mais l'Etat français ne se laissera évidemment pas faire... Notre grande chance, c'est justement la poussée des communautarismes conjugués qui finiront par affaiblir la gueuse... Mais cette fois, nous formerons nous aussi un Etat confédéré...
Ce communautarisme ne peut pas, ici et maintenant, prendre la forme de la sécession. C'est plutôt par le renforcement de la communauté des identitaires, structurée par les cathos tradis, qu'il faut commencer. Une sorte d'exil intérieur, de sécession douce, prélude à la grande partition qui, nous pouvons l'espérer, interviendra quand le système s'effondrera. C'est en outre un bon moyen de remobiliser les energies décues, lasses des défaites inévitables que génère la Démocratie. Un programme auquel chacun peut collaborarer.
Analyse pertinante à laquelle je souscris
Joyeux Noel....!
Huhu le problème avec votre Blog, c'est que pour l'instant il n'attire que des adeptes...
Quand j'ai vu marqué "Tradiland" j'ai pas pu résisté à l'envie de vous adressez un petit message de tendre haine ^__^. Donc voilà, c'est fait. Bon okay, c'est pas très constructif, mais faut dire qu'en tant que fénéant de gauche, j'ai pas lu votre article en entier, mais j'en suppose le fond...
Amicalement, et en espérant que Tradiland n'existe jamais.
Fainéant et gauchiste, c'est un pléonasme.
Sinon, comme je suis ouvert d'esprit puisque fasciste, je vais te donner ma position avec des références que tu connais, à savoir le chanteur Renaud :
"Toi tu m'fous les glandes
et t'as rien à foutre dans mon monde
arraches-toi d'là t'es pas d'ma bande
Casses toi tu pues et marche à l'ombre..."
découvert ton blog récemment et mis dans mes favoris.Et pour toute la famille.
Post a Comment
<< Home