Lettre ouverte à une jeune oie blanche (Editorial du Libre Arverne n°219 - 28/12/2006)
(Légende : deux familles tradilandaises posant devant un graffiti haineux sur l'église de Saint-Nicolas-du-Chardonnet. Peuple à part entière, les Tradilandais doivent avoir un état)
Pour la République, les catholiques en général et les traditionalistes en particulier sont considérés comme des « sous-hommes », discriminés dans tous les domaines qui soient. Nous avons expliqué la semaine dernière pourquoi les catholiques devaient s’abstenir de participer à la pseudo-croisade organisée par des gens qui nous haïssent. Après ma célèbre Lettre ouverte à une jeune dinde, je continue en m’adressant cette fois à la population sage et tranquille si honnie de la caste glougloutante. Après avoir fêté Thanksgiving au détriment de la dinde peureuse, parlons à ce qui se fait de plus mignon dans la basse-cour. Ce sera donc une Lettre ouverte à une oie blanche. Nous avions déjà dressé notamment dans les n°144, 147, 156, 157, 184 et 192 les principales discriminations dont sont victimes dans ce pays les catholiques et les identitaires. Poursuivons avec d’autres exemples.
A Amiens, une famille européenne des quartiers nord, catholique pratiquante, a été chassée de son domicile par la communauté maghrébine : jets de pierres, injures raciales, menaces sur la femme et les enfants. Incapable de les protéger, la police de Sarközy les a évacués en septembre dans un autre quartier et a demandé que les enfants soient scolarisés ailleurs. Leur appartement a été pillé et saccagé suite à leur départ. Trois casseurs, tous musulmans, ont été arrêtés début octobre et ont avoué avoir agi par haine religieuse. Silence des médiats, silence de Sarközy et de ses sbires, qui, au moment même où ces Français perdaient tout, allaient célébrer la fin du ramadan à la Mosquée de Paris (on verra lors du Samedi Saint si « Sartrotsky », l’homme de l’alliance de la kalach et de la menorah, célèbrera la fin du Carême…). Pire, il confie à Rabash Soushi la direction d’une véritable milice allogène dans la capitale picarde, l’UTAD. Les victimes n’avaient qu’un tort : elles étaient goïm. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Il y eut l’épisode de la loi sur le génocide arménien que nous avons évoqué ainsi que l’affaire du souvenir vendéen (voir Le Libre Arverne n°196) montrant, comme l’affaire Bodein l’avait prouvé, que nos morts sont considérés comme « inférieurs » au seul fait de leur catholicité. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Le 27 octobre, une église catholique du quartier de la Sauvegarde (9e arrondissement de Lyon) est incendiée. Silence des médiats, Sarkö manifeste son mépris. Normal, ce n’était ni une mosquée, ni une synagogue. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. L’hebdomadaire juif Marianne qui essaye de se faire passer pour républicain et laïc (mais pas au point de laisser un goy dans la direction du journal) pleure sur une éventuelle disparition de Politis, lance un appel à sauver cet hebdo d’extrême gauche mais oublie de lancer le même appel en faveur de Présent. Mais vu les articles de haine sur le gouvernement polonais déversés par Marianne, on se doute que chez eux, les catholiques, on les préfère dans les charniers. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Le 3 novembre dernier, Rivarol nous apprenait qu’en raison de son appartenance au Front National, Serge Laroze, l’un des pères de l’A-380, s’est vu victime d’une discrimination professionnelle nuisible à l’intérêt de ce qu’il croyait être son pays. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Au Sénat, le 14 octobre, Christian Poncelet remit les prix des Talents des Cités, louant « leur audace », les présentant « aux avant-postes de la création de richesses et d’emplois ». Il est vrai qu’ils ont fait beaucoup fonctionner les fabriques d’automobiles et de bus, les services hospitaliers et les services de construction de bâtiments administratifs... On attend encore qu’un ministre s’intéresse par exemple à l’Etoile du Matin, école tradilandaise où le dernier échec au bac remonte à 1981. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes.
Saint-Macaire étant devenu pour raisons familiales ma seconde paroisse, j’y passe quelques dimanches dans l’année. Je m’y sens chez moi, autant que dans n’importe quelle chapelle tradilandaise. Il y a quelques temps, le hasard de l’emplacement faisait qu’à trois jours d’intervalle, j’étais assis un peu en retrait de la même famille. A vu d’œil, il y avait cinq enfants dont un adolescent qui devait avoir dans les 17 ans, deux grandes fillettes, probablement entre 10 et 14 ans et une petite fille âgée de 3-4 ans. Quelques jours plus tôt, à Clermont-Ferrand, les hasards de la circulation automobile m’avaient fait me trouver à l’heure de la sortie des classes devant ce qui, tempore illis, avait été le plus prestigieux collège de la ville. La capitale auvergnate, ce n’était quand même pas le 9-3, et pourtant… Un païen aurait déclamé du Cioran : « Quand je sors dans la rue, le premier mot qui me vient à l’esprit est : extermination ». Sans aller jusqu’à ces extrémités (de toute façon, cette société se détruit toute seule), il suffit de regarder cinq minutes une classe de nos jours pour se dire que le peuple qui la fréquente n’est pas le nôtre. Ce sont nous les « étrangers ». Ce n’est pas un hasard si maintenant, les régionalismes breton, occitan, corse ont rejoint à droite de l’échiquier leurs homologues flamand, alsacien et normand et que sont nés ex nihilo des régionalismes nissards et savoyards, eux-mêmes de droite. Après tout, il n’y a plus guère de différence entre le jeune d’un collège de Clermont avec celui d’Aubervilliers. Ils sont habillés pareils, écoutent la même musique, ont les mêmes valeurs… Il y en a beaucoup plus par exemple entre les petites demoiselles précédemment citées et celles qu’un bout de papier fait leurs compatriotes et qui fréquentent les collèges de Cenon, de Libourne ou Langon.
Prenons l’une des deux petites, n’importe laquelle. Etudions-là dans la vie de tous les jours et comparons avec la petite Française de son âge. Qu’ont-elles à partager et à se dire ? Très simple, absolument rien. Elle n’ont rien en commun, ni l’histoire, ni la culture, ni l’habillement, ni les valeurs, ni les goûts, ni les loisirs, ni le physique, ni l’alimentation. Deux mondes séparés par un fossé infranchissable. Mentalement, j’associais la plus âgée des fillettes de cette famille avec l’une des collégiennes croisée dans les rues de Clermont. Gascogne et Auvergne ne sont pas pourtant des régions structurellement antagonistes. D’un côté nous avons une petite blondinette aux joues roses, fraîche comme la rosée sur les pétales blanches d’un lys un matin de printemps, dont le sang qui coule dans les veines est celui de la bonne race paysanne gauloise et qui, plus grande, la fera ressembler à une femme et non à un porte-manteau. De l’autre une fille aux cheveux de teinte indéterminée, herba vulgaris se fanant avant l’âge de par la cigarette et l’hygiène de vie déplorable, sans parler d’une probable coucherie précoce. A l’origine, le même peuple. L’un est resté ce qu’il fut, l’autre a muté. J’oserais même dire dégénéré. La différence entre une éducation qui élève l’âme, celle qui n’est dispensée exclusivement que dans les écoles tradilandaises, éducation du beau et du vrai, et l’éducation matérialiste et athée de la France républicaine, qui ne peut donner qu’une nullité totale dans les lettres, les arts, l’architecture, la res publica, se constate à vu d’œil. Les chiens ne font pas les chats. Tout est lié. La Française écoute une musique abrutissante, vautrée devant une télévision la bombardant d’images, tuant en elle tout goût, toute morale, la maintenant la tête enfoncée dans la fange…Guère étonnant ensuite de la voir fringuée de nippes dont on aurait hésité à affubler l’épouvantail par pitié pour les oiseaux, maquillée à la truelle et parlant un langage à faire rougir la Goulue elle-même… Guère étonnant ensuite de la voir ricaner comme une truie saoule au passage de notre Tradinette en kilt, chaussettes blanches et mocassins cirés, les oreilles bercées par la musique classique et pour qui Corneille est un auteur dramatique et non un saltimbanque à nationalité variable. Qu’elle ricane et dénigre tant qu’elle peut un mode de vie que son cortex volontairement atrophié est incapable de saisir : comme le disait à juste titre Jean-Pierre Maugendre lors de la 15e université d’été de Renaissance catholique : les femmes auront à jouer un rôle particulier dans le redressement national. Nul doute que le jour venu, ces courageuses enfants seront tenir leur rôle.
Si on scolarise la tradinette dans une école de l’Etat, publique ou pseudo-privée, la probabilité que son année scolaire soit un calvaire ponctué par les brimades des autres filles et des enseignants frôle les 100 %. Si on scolarise la Française dans une école tradilandaise, comme disait à très juste titre Luce Quenette (ou était-ce Suzanne de Pas ?) : « Mettre une pomme pourrie parmi les pommes saines, non seulement on ne la rend pas meilleure mais elle fait pourrir les autres ». Alors que faire ? Très simple : chaque fois que deux peuples ont partagé la même terre avec des valeurs antagonistes, cela s’est toujours fini en guerre civile. La solution est simple : les Tradilandais ne sont pas, ne sont plus Français. Ils doivent donc être reconnus dans leur spécificité culturelle et identitaire avec accès d’abord à l’autodétermination puis à l’indépendance. Cela peut se faire pacifiquement, mais nous n’y croyons pas un seul instant : la Gueuse est une marâtre ogresse par nature, une Saturne femelle qui ne survit qu’en dévorant non seulement ses enfants mais également toute forme de liberté. C’est une déesse sémite, une déesse jalouse qui veut l’exclusivité de l’adoration pour elle. Puisqu’on évoque la Gironde, rappelons la devise des FTP locaux, cette phrase de Saint-Just : «La démocratie, c’est la destruction de tout ce qui s’oppose à elle ». Donc, comme tout accouchement qui se respecte, la société nouvelle tradilandaise se fera dans la douleur et le sang. Pour que nos jolies fleurs poussent en paix dans nos jardins, pour que nos enfants puissent servir Dieu et le remercier de récompenser leur travail de chaque jour en leur donnant le pain, la paix et la pureté. Il y eut une nuit et un matin. Et Dieu regarda Tradiland et vit que cela était bon. C’était le huitième jour…
A Amiens, une famille européenne des quartiers nord, catholique pratiquante, a été chassée de son domicile par la communauté maghrébine : jets de pierres, injures raciales, menaces sur la femme et les enfants. Incapable de les protéger, la police de Sarközy les a évacués en septembre dans un autre quartier et a demandé que les enfants soient scolarisés ailleurs. Leur appartement a été pillé et saccagé suite à leur départ. Trois casseurs, tous musulmans, ont été arrêtés début octobre et ont avoué avoir agi par haine religieuse. Silence des médiats, silence de Sarközy et de ses sbires, qui, au moment même où ces Français perdaient tout, allaient célébrer la fin du ramadan à la Mosquée de Paris (on verra lors du Samedi Saint si « Sartrotsky », l’homme de l’alliance de la kalach et de la menorah, célèbrera la fin du Carême…). Pire, il confie à Rabash Soushi la direction d’une véritable milice allogène dans la capitale picarde, l’UTAD. Les victimes n’avaient qu’un tort : elles étaient goïm. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Il y eut l’épisode de la loi sur le génocide arménien que nous avons évoqué ainsi que l’affaire du souvenir vendéen (voir Le Libre Arverne n°196) montrant, comme l’affaire Bodein l’avait prouvé, que nos morts sont considérés comme « inférieurs » au seul fait de leur catholicité. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Le 27 octobre, une église catholique du quartier de la Sauvegarde (9e arrondissement de Lyon) est incendiée. Silence des médiats, Sarkö manifeste son mépris. Normal, ce n’était ni une mosquée, ni une synagogue. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. L’hebdomadaire juif Marianne qui essaye de se faire passer pour républicain et laïc (mais pas au point de laisser un goy dans la direction du journal) pleure sur une éventuelle disparition de Politis, lance un appel à sauver cet hebdo d’extrême gauche mais oublie de lancer le même appel en faveur de Présent. Mais vu les articles de haine sur le gouvernement polonais déversés par Marianne, on se doute que chez eux, les catholiques, on les préfère dans les charniers. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Le 3 novembre dernier, Rivarol nous apprenait qu’en raison de son appartenance au Front National, Serge Laroze, l’un des pères de l’A-380, s’est vu victime d’une discrimination professionnelle nuisible à l’intérêt de ce qu’il croyait être son pays. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes. Au Sénat, le 14 octobre, Christian Poncelet remit les prix des Talents des Cités, louant « leur audace », les présentant « aux avant-postes de la création de richesses et d’emplois ». Il est vrai qu’ils ont fait beaucoup fonctionner les fabriques d’automobiles et de bus, les services hospitaliers et les services de construction de bâtiments administratifs... On attend encore qu’un ministre s’intéresse par exemple à l’Etoile du Matin, école tradilandaise où le dernier échec au bac remonte à 1981. En République, les catholiques et les vrais indigènes sont des sous-hommes.
Saint-Macaire étant devenu pour raisons familiales ma seconde paroisse, j’y passe quelques dimanches dans l’année. Je m’y sens chez moi, autant que dans n’importe quelle chapelle tradilandaise. Il y a quelques temps, le hasard de l’emplacement faisait qu’à trois jours d’intervalle, j’étais assis un peu en retrait de la même famille. A vu d’œil, il y avait cinq enfants dont un adolescent qui devait avoir dans les 17 ans, deux grandes fillettes, probablement entre 10 et 14 ans et une petite fille âgée de 3-4 ans. Quelques jours plus tôt, à Clermont-Ferrand, les hasards de la circulation automobile m’avaient fait me trouver à l’heure de la sortie des classes devant ce qui, tempore illis, avait été le plus prestigieux collège de la ville. La capitale auvergnate, ce n’était quand même pas le 9-3, et pourtant… Un païen aurait déclamé du Cioran : « Quand je sors dans la rue, le premier mot qui me vient à l’esprit est : extermination ». Sans aller jusqu’à ces extrémités (de toute façon, cette société se détruit toute seule), il suffit de regarder cinq minutes une classe de nos jours pour se dire que le peuple qui la fréquente n’est pas le nôtre. Ce sont nous les « étrangers ». Ce n’est pas un hasard si maintenant, les régionalismes breton, occitan, corse ont rejoint à droite de l’échiquier leurs homologues flamand, alsacien et normand et que sont nés ex nihilo des régionalismes nissards et savoyards, eux-mêmes de droite. Après tout, il n’y a plus guère de différence entre le jeune d’un collège de Clermont avec celui d’Aubervilliers. Ils sont habillés pareils, écoutent la même musique, ont les mêmes valeurs… Il y en a beaucoup plus par exemple entre les petites demoiselles précédemment citées et celles qu’un bout de papier fait leurs compatriotes et qui fréquentent les collèges de Cenon, de Libourne ou Langon.
Prenons l’une des deux petites, n’importe laquelle. Etudions-là dans la vie de tous les jours et comparons avec la petite Française de son âge. Qu’ont-elles à partager et à se dire ? Très simple, absolument rien. Elle n’ont rien en commun, ni l’histoire, ni la culture, ni l’habillement, ni les valeurs, ni les goûts, ni les loisirs, ni le physique, ni l’alimentation. Deux mondes séparés par un fossé infranchissable. Mentalement, j’associais la plus âgée des fillettes de cette famille avec l’une des collégiennes croisée dans les rues de Clermont. Gascogne et Auvergne ne sont pas pourtant des régions structurellement antagonistes. D’un côté nous avons une petite blondinette aux joues roses, fraîche comme la rosée sur les pétales blanches d’un lys un matin de printemps, dont le sang qui coule dans les veines est celui de la bonne race paysanne gauloise et qui, plus grande, la fera ressembler à une femme et non à un porte-manteau. De l’autre une fille aux cheveux de teinte indéterminée, herba vulgaris se fanant avant l’âge de par la cigarette et l’hygiène de vie déplorable, sans parler d’une probable coucherie précoce. A l’origine, le même peuple. L’un est resté ce qu’il fut, l’autre a muté. J’oserais même dire dégénéré. La différence entre une éducation qui élève l’âme, celle qui n’est dispensée exclusivement que dans les écoles tradilandaises, éducation du beau et du vrai, et l’éducation matérialiste et athée de la France républicaine, qui ne peut donner qu’une nullité totale dans les lettres, les arts, l’architecture, la res publica, se constate à vu d’œil. Les chiens ne font pas les chats. Tout est lié. La Française écoute une musique abrutissante, vautrée devant une télévision la bombardant d’images, tuant en elle tout goût, toute morale, la maintenant la tête enfoncée dans la fange…Guère étonnant ensuite de la voir fringuée de nippes dont on aurait hésité à affubler l’épouvantail par pitié pour les oiseaux, maquillée à la truelle et parlant un langage à faire rougir la Goulue elle-même… Guère étonnant ensuite de la voir ricaner comme une truie saoule au passage de notre Tradinette en kilt, chaussettes blanches et mocassins cirés, les oreilles bercées par la musique classique et pour qui Corneille est un auteur dramatique et non un saltimbanque à nationalité variable. Qu’elle ricane et dénigre tant qu’elle peut un mode de vie que son cortex volontairement atrophié est incapable de saisir : comme le disait à juste titre Jean-Pierre Maugendre lors de la 15e université d’été de Renaissance catholique : les femmes auront à jouer un rôle particulier dans le redressement national. Nul doute que le jour venu, ces courageuses enfants seront tenir leur rôle.
Si on scolarise la tradinette dans une école de l’Etat, publique ou pseudo-privée, la probabilité que son année scolaire soit un calvaire ponctué par les brimades des autres filles et des enseignants frôle les 100 %. Si on scolarise la Française dans une école tradilandaise, comme disait à très juste titre Luce Quenette (ou était-ce Suzanne de Pas ?) : « Mettre une pomme pourrie parmi les pommes saines, non seulement on ne la rend pas meilleure mais elle fait pourrir les autres ». Alors que faire ? Très simple : chaque fois que deux peuples ont partagé la même terre avec des valeurs antagonistes, cela s’est toujours fini en guerre civile. La solution est simple : les Tradilandais ne sont pas, ne sont plus Français. Ils doivent donc être reconnus dans leur spécificité culturelle et identitaire avec accès d’abord à l’autodétermination puis à l’indépendance. Cela peut se faire pacifiquement, mais nous n’y croyons pas un seul instant : la Gueuse est une marâtre ogresse par nature, une Saturne femelle qui ne survit qu’en dévorant non seulement ses enfants mais également toute forme de liberté. C’est une déesse sémite, une déesse jalouse qui veut l’exclusivité de l’adoration pour elle. Puisqu’on évoque la Gironde, rappelons la devise des FTP locaux, cette phrase de Saint-Just : «La démocratie, c’est la destruction de tout ce qui s’oppose à elle ». Donc, comme tout accouchement qui se respecte, la société nouvelle tradilandaise se fera dans la douleur et le sang. Pour que nos jolies fleurs poussent en paix dans nos jardins, pour que nos enfants puissent servir Dieu et le remercier de récompenser leur travail de chaque jour en leur donnant le pain, la paix et la pureté. Il y eut une nuit et un matin. Et Dieu regarda Tradiland et vit que cela était bon. C’était le huitième jour…
1 Comments:
Je découvre votre blog.
J'avoue que j'en ai le souffle coupé.
Quel talent !
Continuez, faites vous connaître.
Moi aussi, je crois de plus en plus qu'il faudra -au niveau de l'Europe du reste- créer un "homeland"pour les vrais Européens enracinés comme les Juifs ont pu en bénéficier suite à la Déclaration Balfour en 1921;
Que de combats en perspectives! tout le contraire de "la fin de l'histoire" que croyait prévoir Fukuyama...
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