Anti ces mythes (Une des Lettres Fersanes n°67 - octobre 2006)
(Légende : bébé libanais massacré avec sa mère enceinte par les Israéliens. Voici où mène une pathologie mentale collective non soignée...)
Il y a un an, en octobre 2005, L’Homme libre publiait un article de Daniel Milan dont voici un court extrait : « L’antisémite n’est plus un homme contre lui tout est permis. On lui promet la mort. On l’insulte. On veut le lyncher. Le Procureur requiert contre lui la peine maximale, pour lui apprendre l’Histoire. Peu importe que les accusations portées contre le coupable, soient vraies, fausses ou inexactes. Le coupable, ne peut qu’être coupable. Et puis, il a une tête de coupable forcément. On déballe et on expose sa vie privée. On le met à nu. Tout a été soigneusement, et plutôt plusieurs fois qu’une, radiographié , analysé et scanérisé. On suppute. On lui impute toutes les turpitudes antisémites. On lui invente des turpitudes cachées. On se demande ce qu’il a bien pu faire dans le ventre de sa mère (…) On l’humiliera. On l’agressera. On le menacera. On le torturera. On le suicidera peut-être. Peu importe, ce n’est plus un homme. C’est un « antisémite » contre lequel tout est permis… » L’auteur parle en connaissance de cause : le 1er octobre 2001, il a été enlevé à son domicile et torturé au commissariat des Moulins à Nice pendant 48 heures, à cause d’une bande-dessinée où il dénonçait le racisme sioniste. Il peut s’estimer heureux : arrêté pour raison similaire en Bretagne, le dissident Robert Gelci fut tout simplement assassiné par la police. Dans l’une de ses chroniques du mois d’août, Philippe Randa déclarait que « le flambeau de la souffrance a changé de mains » et que désormais, les Juifs avaient « prouvé qu’ils étaient bel et bien comparables, dans leur sanglante folie guerrière, à bien d’autres peuples, qu’ils n’étaient plus les martyrs perpétuels de l’Humanité ». Ceux qui ont étudié sérieusement l’histoire du communisme ne peuvent que confirmer. Les Juifs sont terriblement humains et beaucoup moins puissants qu’ils veulent le faire croire. Plus ils serrent la vis et plus ils se rendent odieux. La répression est le symbole de leur détresse. Ils ont réussi à liguer contre eux leurs ennemis déclarés et leurs golems révoltés grâce aux formidables réseaux de communication qu’ils ne peuvent plus intégralement contrôler et contre lesquels leurs imprécations, leurs crises de furie hystériques ne pourront rien. Eternelle malédiction juive, comme si ce peuple était incapable de construire sur la durée. Le premier Israël a duré à peine cent ans avant de se fractionner en deux et d’être conquis. Le second Israël, le contemporain, ne connaîtra jamais à mon humble avis son centième anniversaire. Curieux peuple qui veut obliger les gens à les aimer mais qui n’arrive qu’à se faire détester. Et si les Juifs étaient comme ces enfants habitués à se voir tout accorder et qui piquent des colères folles quand un adulte a le malheur de vouloir lui fixer une barrière, inaptes à la vie en société (les Relations Internationales quand on est un pays). Et si c’était cela, la malédiction juive ? Un peuple-enfant immature psychologiquement, cramponné aux jupes de « maman justice » et de « papa flic de la pensée », refusant de « grandir » et se complaisant dans leur rôle hypocondriaque et infantile de « peuple martyr », incapable de reconnaître ses torts, vivant dans un monde imaginaire et onirique qu’il croit peuplé de monstres qui veulent le dévorer mais qui n’existent que dans son imagination ? Syndrome de Peter Pan étendu à tout un peuple. Les adultes qui auraient de tels handicaps, on les inciterait à se faire soigner. Mais en cas de refus, il devient nécessaire de les mettre en quarantaine car ils deviennent dangereux pour leur entourage. Même chose pour les peuples contaminés. Ceci nous éviterait qu’ils utilisent contre nous leurs pulsions tératogènes. Au risque que, livrés à eux-mêmes, seuls face à leurs démons, ils ne se complaisent dans une auto-destruction freudienne. Que Dieu ait pitié d’eux, ils en ont besoin…
1 Comments:
Un "dégât collatéral"... Mais il faut les comprendre : ils ont tellement souffert.
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