Le linge sale se lave en famille... (Editorial des Lettres Fersanes n°70 - janvier 2007)
La presse du régime se jeta sur l’information comme un Somalien sur un sac de riz : Guillaume de Villiers, aîné des fils du vicomte, doit rendre des comptes à la justice sur les rapports homosexuels qu’il aurait infligé dans le passé à son jeune frère Laurent, plus jeune des garçons et cinquième enfant du président du MPF, faits remontant à l’époque où le premier était adolescent et le second garçonnet. Je ne suis pas, loin s’en faut, un fan de celui que l’avais surnommé «la galinette cendrée » et « veau le vicomte », mais je trouve ce tapage pour le moins déplacé. C’est tout le drame de de Villiers qui est assis le derrière entre deux chaises inexorablement éloignées. De Villiers est sincère dans ce qu’il est et je ne mets pas en doute ses convictions, que ce soit dans son amour profond pour ce qu’il croit être son pays et son combat contre l’Islam. Mais voilà, il a attrapé (il n’est pas le premier et ne sera certainement pas le dernier… Jean-Marie Le Chevallier en mourût politiquement) un virus extrêmement sournois qui frappe beaucoup de catholiques : l’esprit mondain. Comme dit l’enseignement traditionnel de l’Eglise : « Si le monde vous approuve, vous n’êtes pas chrétien, un chrétien doit détonner ». A force de s’acoquiner avec les plus vils filous de la droite saumon pour sauver sa présidence de Conseil Général, de voir le Vendéen cracher sur le Chouan pour plaire aux Bleus, aux Loges et à la Synagogue, on devient progressivement comme ceux que l’on fréquente et on pourrit sa descendance. Dis-moi qui tu hantes et je te dirai ce que tu deviendras. Nos prières pour la famille de Villiers éprouvée par ce drame. Car c’est un adversaire, non un ennemi…
1 Comments:
De Villiers, sous marin Sarköziste destiné à dépouiller Jean Marie Lepen, les vrais patriotes ne s'y laisseront pas prendre.
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