Sunday, August 13, 2006

Vaginocratie (Une des Lettres Fersanes n°39 - juin 2004)


Retenez ce nom : Aldo Naouri. C’est l’homme par qui la famille peut encore être sauvée. Il vient de publier chez Odile Jacob, le moins obéissant des éditeurs du régime, Les Pères et les mères dans lequel il s’indigne de la transformation de nos sociétés en véritables tyrannies matriarcales où les mères seraient toutes puissantes et dans lesquelles les pères seraient totalement exclus de l’éducation des enfants. Né en 1937, il fuit la Libye sous occupation allemande pour se réfugier en Algérie vichyste. Quittant l’Algérie après l’indépendance de celle-ci (massivement provoquée par ses coreligionnaires), il s’installe à Paris où il devient un pédiatre renommé. Bien entendu, nous n’avons pas eu besoin d’un Naouri pour appliquer « ses théories » qui ne sont que le plus élémentaire bon sens. Le père est là pour éviter en quelque sorte l’abus de pouvoir de la mère sur ses enfants. Il suffit d’ailleurs de voir les dommages psychologiques irréversibles infligés aussi bien aux garçons élevés en milieu féminin qu’aux filles élevées en milieu masculin… Les premiers peuvent devenir totalement dévirilisés (Lovecraft) soit au contraire rechercher dans un phénomène de bande le culte du mâle et du chef (beaucoup de skinheads sont fils de divorcés). Quant aux filles élevées en milieu masculin, elles ont une certaine tendance à devenir des garçons manqués, ce qui ne va pas faciliter leur intégration relationnelle. Sur l’éducation des enfants, je commence à en connaître un rayon. Pas de théorie, la bonne vieille expérience : 4 enfants (bientôt 5) en 6 ans de mariage, ça forme… Dans le monde du tout et n’importe quoi, il est bon de rappeler deux ou trois choses ourlées du coin du bon sens : chaque enfant est différent et à son identité propre, la fille ne s’élève pas comme le garçon, les rapports mères-filles se rapprocheront plus du rapport père-fils que du rapport mère-fils… Les féministes nous disent que le corps des femmes leur appartient. Soit. Mais le leur seul, pas celui de l’enfant, qu’il soit dans son ventre ou hors de celui-ci… Les théories de Naouri attirent la haine des féministes à la Elisabeth Badinter, véritable parasite social et qui, parce qu’elle fut une très mauvaise mère, se croit obligée de pourrir la vie des autres femmes, mais également des plus ultra féminazies rêvant d’une société d’abeilles et de bourdons, dont l’influence entre parenthèse, surgit parfois là où l’on s’y attend le moins, quelques inconscientes de nos milieux ayant conclu que le meilleur moyen d’empêcher les filles de fauter avec les garçons est encore de discréditer totalement ces derniers à leurs yeux… Où quand un discours ultra-puritain, totalement étranger et même odieux à l’âme française, rejoint les plus fanatiques gauchistes du MLF… Fin de la parenthèse. Pour Badinter, la femme est une sorte de commissaire politique en chef, de tsarine rouge, d’ange de la mort sur-puissante ayant entre ses mains la vie et la mort de la société, devenant ainsi nettement plus puissante que l’homme. Naouri est une chance à saisir car lui seul, pour des raisons ethniques, peut contrer les Bleustein-Blanchet (Badinter), Taieb (Halimi), Surduts, Venner et compagnie Ces harpies dégénérées ne sont que les maillons d’une chaîne visant ni plus, ni moins à l’éradication de notre peuple et de notre civilisation. Il est indispensable de rappeler chaque fois que le Planning familial a été fondé par une raciste, partisane de l’extermination des « races inférieures » (en gros, tout ce qui n’était pas protestant et juif), financée par la banque Rockefeller (principal support de Staline et propriétaire du terrain où est bâti l’ONU) et par les plus gros trusts apatrides dans le but de créer leur marché mondial…

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