Thursday, August 17, 2006

Sartre n'est pas un chien, c'est une hyène (Une des Lettres Fersanes n°62 - mai 2006)

« Tout anticommuniste est un chien ! », éructait le louchon au Café de Flore pendant que des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants étaient exterminés dans les camps de la mort soviétiques. Dans deux téléfilms de pure propagande diffusé sur les chaînes France 2 et France 3, on le montre comme une grande conscience, un modèle à suivre selon la chaîne publique. Au nom du devoir de mémoire et de la vérité historique, nous devons montrer quelle crapule est Sartre. D’abord, le mythe de « Sartre résistant ». Outre qu’il fit jouer ses pièces, notamment Huis Clos, devant un parterre d’officiers allemands, y compris de la SS, il accepta sans sourcilier de prendre la place d’Henri Dreyfus-Le Foyer exclu du Lycée Condorcet à cause du numerus clausus imposé aux juifs et appliqué dans l’enseignement avec plus de rigueur qu’ ailleurs. Sartre, comme Beauvoir (et Françoise Giroud…) signa d’ailleurs un papier déclarant qu’il n’était ni juif, ni maçon. Sartre le « résistant » aurait dû figurer sur la liste noire du CNE en 1944. D’autres l’ont été pour moins que cela… Mais Sartre n’a pas été seulement un faux résistant, il a aussi été un vrai collabo du stalinisme et un négationniste du Goulag auteur de phrases immortelles. Dans La Lune et le Caudillo de Jeannine Verdès-Leroux et L’Adieu à Sartre de Michel-Antoine Burnier, on lit la prose nauséabonde de JPS, qui, selon la jurisprudence Brasillach, lui vaudrait au moins dix fois le peloton d’exécution. Il nia l’existence du Goulag, il parla de « l’agression de la Corée du Nord par la Corée du Sud », se livra à l’apologie de l’extermination des Européens dans les colonies, à la négation des persécutions religieuses en URSS, à l’apologie de la peine de mort dans un régime communiste, à l’apologie de la terreur stalinienne, à l’appel à la soumission des intellectuels au Parti, à l’apologie de la Révolution Culturelle de Mao…Sartre l’humaniste était surtout l’apologiste des pires atrocités. Mais cela ne lui suffisait pas. Non comptant d’être un lâche professionnel, une crapule politique, il lui fallait cumuler le maximum de titres. A tout ceci, il fallait ajouter l’ordure dans la vie privée. Sartre, le moins que l’on puisse dire, avait une certaine inclinaison pour la pédophilie, comme sa compagne Beauvoir. Une de leurs victimes, une petite juive nommée Bianca Lamblin, raconta dans sa biographie Mémoires d’une jeune fille dérangée comment elle était tombée dans les filets de ce couple de pervers : Beauvoir attirait de très jeunes lycéennes, qu’elle pressentait vierge. Sartre adorait déflorer les gamines. Une fois ces dernières quasiment violées et traumatisées, Simone de Beauvoir avait beau jeu ensuite de manipuler la gamine pour lui imposer une relation saphique. Notons que les Sartre eurent une attitude courageuse avec Bianca. Quand celle-ci leur demanda de l’aide sous l’Occupation, les deux « belles consciences » lui dirent d’aller se faire déporter ailleurs. Comme fit le stalinien Malraux avec sa première femme juive. Bien sûr, on se souviendra que le 26 janvier 1977, le couple signa avec d’autres grands humanistes (Glucksman, Kouchner, Lang…) une pétition demandant la légalisation de la pédophilie dans les colonnes du quotidien Le Monde… Hélas, il est désormais trop tard pour fusiller Sartre et Beauvoir, mais la moindre décence est de supprimer tout ce qui porte leur nom et de laisser tomber dans l’oubli leur « œuvre littéraire ». Pendant des années, Sartre, Beauvoir et leurs complices ont infecté le milieu intellectuel français. Il sera temps d’y injecter un puissant vaccin…Quand aux « intellectuels » qui disent « on s’est trompé », qu’ils fassent la première des actions réparatrices : se taire définitivement…

5 Comments:

Anonymous Anonymous said...

Tu as la date du monde où cette pétition a été signée?

2:00 PM  
Blogger Enzo said...

C'est écrit dans l'article...26 janvier 1977

1:10 PM  
Anonymous Anonymous said...

Quel étalage de haine! Ce que sont les auteurs dans leur vie privée n'affecte en rien leurs écrits et leur talent, Sartre était un grand philosophe et écrivain peu importe qu'il ai vraiment été une "crapule" ses écrits sont importants et font partis de l'histoire littéraire française, Céline était le pire des salauds et ça ne l'a pas empêcher d'écrire des chef-d'oeuvres. Et même si tout ça est vrai faut-il "boycoter" toutes ses oeuvres et les oeuvres de tous ses amis, ses défenseurs,...? Et si je peux me permettre, mettre littéraire entre guillemets en parlant de vrais littéraire, c'est un peu gonflé, si vous aviez été impregné de toute cette culture "littéraire" peut être auriez vous fait moins de fautes d'orthographe!!!

5:16 AM  
Blogger Enzo said...

On voit que le Goulag est votre horizon culturel.

L'idéologie puante de Sartre a mené à cela.

On voit qu'avec des gens comme vous la relève de la peste rouge et de ses 300 millions de morts (et non 100 millions comme le prétend Courtois) est tristement assurée.

On ne peut pas comparer Céline et Sartre. Sur le plan humain, personnel, le docteur Destouches était un homme foncièrement bon. Sartre était non seulement une ordure dans ses écrits qui, en tant que PHILOSOPHE vitriolaient la société et rendait sa haine criminelle et dangereuse, mais également en privé.

Normal que la gauche l'affectionne tant, qui se ressemble s'assemble.

9:59 AM  
Anonymous Anonymous said...

argumentaire un peu faible et surtout hors sujet! Est-il besoin de mêler la politique à la morale? ce débat s'annonce comme un dialogue de sourds... Ce que j'ai dit ne justifie en rien ce qu'a pu faire Sartre, le message est : ne mélangons pas tout!!! Mais apparement ça n'est pas passé, encore un amalgame, décidement... Et pour information je ne suis pas de gauche, mais il fallait bien trouver quelque chose n'est ce pas?

11:03 AM  

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